L'histoire d'une non-juive
Posté : 10 août04, 07:27
Salut les COOLS!!!
Je vois vous raconter une breve histoire d'une femme que j'ai eu l'occasion de rencontrer. Du temps où nous fréquentions le même cercle d'amis, elle vivait au dépend de la société, et fut hébergée chez des amis à elle où en échange de sa pension elle offrait ses service en tant que bonne de toutes les 8 membres de cette famille là.
Elle vint me trouver un jour pour partager avec moi son vécu. Elle s'identifia comme étant une survivantes des victimes des Nazi de l'Allemange Hitlerrienne. C'est là qu'elle me dit que ce n'était pas seulement les Juifs qui furent leurs martyres, mais aussi une large partie d'autres groupes de personnes qui furent ciblées et identifiées qui non-Aériens, comme ne faisant pas partie de la race supérieure.
(...)
Un jour, me raconta-t-elle, lorsque j'étais petite, j'étais heureuse, j'étais près de mère. J'étais sous sa jupes et son bébé adorée, étant fille unique. Lorsque tout changea soudainement.
Les Allemands entra dans mon petit village accompagnée des S.S. Ils firent beaucoup de bruit, ils était à la recherche d'Allemand Aériens de pure race qui se porterait volontaires pour la cause. Ils firent sortirent de force tout le monde du village dans les rues. Et ils les passèrent en revue minitieusement. Le mauvais docteur S.S. examinait tout le monde de la tête aux pieds.
Lorsqu'ils arrivèrent à nous, à ma mère et moi, ils nous examinèrent nous aussi de la tête aux pieds. Et puis ils nous forcèrent à embarquer dans leurs camions. J'étais alors âgée de 7 ans.
La raison pour laquelle nous devions embarquer dans le gros camion des soldats S.S., c'est parce que ma mère et moi étions tous les deux des blondes aux yeux bleux ciel, et notre peau été tellement blanche que n'y voyait que des veines.
Alors à l'hôpital psychiatrique, le lieu où il nous forçaient de vivre tout le temps, ils venait souvent chercher ma mère toute seule, et d'autre fois, moi toute seule, et d'autre fois ma mère et moi ensemble. Ils faisaient des expériences sur nous deux afin de démontrer la supériorité de la race Arienne au dessus de celles des Juifs.
Celà était horrifiques ce qu'ils nous faisaient. À ma mère, toujours en même temps qu'une madame Juive du même que ma mère. Et puis à moi, toujours en même temps qu'une petite fillette Juive du même âge que moi-même. Ça nous faisait tous, chacunes de nous, crier beaucoup et très fort.
Mais encore pire que celà m'arriva à moi, et ils auraient eu sûrement subient le même sort que ma mère et moi cette mère et cette fille Juive.
Ce fut horrifique!!!
Un jour, ils sont venu nous chercher ma mère et moi et nous emmena dans la cours de l'hôpital psychiatrique. Il parlèrent entre eux les docteurs S.S. à propos de quelque chose qui avait rapport avec mesurer le niveau de tolérance à la douleur de la fille Arienne par rapport à la capacité mensurable de la tolérance du dueille de la mère Arienne. Et c'est alors que l'odieux docteur s'apporcha de moi en donnant des instructions à ma mère de bien me regarder. Et il me mis le fusil à ma tête et me tira.
Je suis évidemment pas morte. Mais au début, l'on me donna aucune soins médicaux. L'on ne faisait que mesurer ma capacité d'endurer et de survivre.
Et puis, un jour les Américains arrivèrent et eux ils me mirent une plaque de métal dans la tête. Et je suis venir vivre ici au Canada avec les familles Québécoise parce je ne parlait que le Français.
Que Dieu vous bénissent tous, et mon grand-père flammand aussi.
Je vois vous raconter une breve histoire d'une femme que j'ai eu l'occasion de rencontrer. Du temps où nous fréquentions le même cercle d'amis, elle vivait au dépend de la société, et fut hébergée chez des amis à elle où en échange de sa pension elle offrait ses service en tant que bonne de toutes les 8 membres de cette famille là.
Elle vint me trouver un jour pour partager avec moi son vécu. Elle s'identifia comme étant une survivantes des victimes des Nazi de l'Allemange Hitlerrienne. C'est là qu'elle me dit que ce n'était pas seulement les Juifs qui furent leurs martyres, mais aussi une large partie d'autres groupes de personnes qui furent ciblées et identifiées qui non-Aériens, comme ne faisant pas partie de la race supérieure.
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Un jour, me raconta-t-elle, lorsque j'étais petite, j'étais heureuse, j'étais près de mère. J'étais sous sa jupes et son bébé adorée, étant fille unique. Lorsque tout changea soudainement.
Les Allemands entra dans mon petit village accompagnée des S.S. Ils firent beaucoup de bruit, ils était à la recherche d'Allemand Aériens de pure race qui se porterait volontaires pour la cause. Ils firent sortirent de force tout le monde du village dans les rues. Et ils les passèrent en revue minitieusement. Le mauvais docteur S.S. examinait tout le monde de la tête aux pieds.
Lorsqu'ils arrivèrent à nous, à ma mère et moi, ils nous examinèrent nous aussi de la tête aux pieds. Et puis ils nous forcèrent à embarquer dans leurs camions. J'étais alors âgée de 7 ans.
La raison pour laquelle nous devions embarquer dans le gros camion des soldats S.S., c'est parce que ma mère et moi étions tous les deux des blondes aux yeux bleux ciel, et notre peau été tellement blanche que n'y voyait que des veines.
Alors à l'hôpital psychiatrique, le lieu où il nous forçaient de vivre tout le temps, ils venait souvent chercher ma mère toute seule, et d'autre fois, moi toute seule, et d'autre fois ma mère et moi ensemble. Ils faisaient des expériences sur nous deux afin de démontrer la supériorité de la race Arienne au dessus de celles des Juifs.
Celà était horrifiques ce qu'ils nous faisaient. À ma mère, toujours en même temps qu'une madame Juive du même que ma mère. Et puis à moi, toujours en même temps qu'une petite fillette Juive du même âge que moi-même. Ça nous faisait tous, chacunes de nous, crier beaucoup et très fort.
Mais encore pire que celà m'arriva à moi, et ils auraient eu sûrement subient le même sort que ma mère et moi cette mère et cette fille Juive.
Ce fut horrifique!!!
Un jour, ils sont venu nous chercher ma mère et moi et nous emmena dans la cours de l'hôpital psychiatrique. Il parlèrent entre eux les docteurs S.S. à propos de quelque chose qui avait rapport avec mesurer le niveau de tolérance à la douleur de la fille Arienne par rapport à la capacité mensurable de la tolérance du dueille de la mère Arienne. Et c'est alors que l'odieux docteur s'apporcha de moi en donnant des instructions à ma mère de bien me regarder. Et il me mis le fusil à ma tête et me tira.
Je suis évidemment pas morte. Mais au début, l'on me donna aucune soins médicaux. L'on ne faisait que mesurer ma capacité d'endurer et de survivre.
Et puis, un jour les Américains arrivèrent et eux ils me mirent une plaque de métal dans la tête. Et je suis venir vivre ici au Canada avec les familles Québécoise parce je ne parlait que le Français.
Que Dieu vous bénissent tous, et mon grand-père flammand aussi.