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" Je vous recommande notre soeur Phoebé, qui est diaconesse de l'Eglise de Cenchrées." (Romains 16:1) NBS
"Je vous recommande Phœbé notre sœur, qui est ministre de la congrégation qui est à Cenchrées," (Romains 16:1) TDMN

Un ministre ou une diaconesse a des responsabilité dans la congrégation.

Donc, au premier siècle, il y avait bien des femmes ministres dans la congrégation du premier siècle...

Voir it-2 p. 287-290...

Personne pour répondre ?

Bonne remarque, cependant Paul est clair sur le rôle de la femme, elle ne peut pas diriger et enseigner une congrégation.

Peut-être que c'était une congrégation de femmes seulement, ils séparaient homme et femme en 2 congrégations et quelle fut ministre de celle des femmes...

Peut être qu'elle avait ce titre pour être la femme du ministre, mais que c'était juste un titre honorifique...

Je sais pas...

C'est possible, par contre, pour le titre honorifique, je ne le pense pas, car Paul la recommande...

Romains 16:2 " pour que vous l’accueilliez+ dans [le] Seigneur d’une manière digne des saints, et que vous l’assistiez en toute affaire où elle peut avoir besoin de vous+, car elle aussi s’est faite le défenseur de beaucoup, oui, de moi-même."

Il est possible que ce ne soit qu'une congrégation de femmes...

1 Corinthiens 11:5,6 : " mais toute femme qui prie ou qui prophétise+ la tête découverte* fait honte à son chef+, car c’est exactement comme si elle était une [femme] à la tête rasée*+. 6 Car si une femme ne se couvre pas, qu’elle se tonde aussi ; mais s’il est honteux pour une femme d’être tondue ou rasée+, qu’elle soit couverte"

Comment vous représentez-vous Phœbé ? En train d’officier devant la congrégation de Cenchrées ? Quel ministère exerçait-elle réellement ? Dans sa lettre aux Philippiens, Paul écrit que certaines femmes ont “ combattu avec [lui] pour répandre la Bonne Nouvelle ”. Philippiens 4:2, 3, Bible en français courant.
Les premiers chrétiens propageaient la bonne nouvelle essentiellement “ en public et de maison en maison ”. (Actes 20:20.) Ceux qui participaient à cette œuvre étaient des ministres. Parmi eux figuraient des femmes telles que Priscille. Cette croyante et son mari “ exposèrent plus exactement la voie de Dieu ” à un homme qui craignait Dieu, mais n’avait pas encore reçu le baptême chrétien (Actes 18:25, 26). Comme Phœbé et de nombreuses autres femmes, Priscille était manifestement un ministre efficace.

Pour phoebé, l'apôtre insiste sur le fait qu'elle avait besoin de soutien dans des affaires... il s'agit plus que de prédication là...

bonjour a tous ,

franck , ne dit ont pas que les chrétiens ont un ministere a accomplire ?

apres , si tu penses qu'elle occupait des résponsabilitée dans la congrégation , peut etre n y avait il pas assez d hommes a l époque ( nous somme au debut du christianisme ) ayant les qualitées requises pour exercé ses fonction , l apotre paul ne rentre pas dans les détail............

de plus , venant de l apotre paul , il y aurait comme ont dit une contradiction sur le role de la femme , donc l idée que ministre semble désigné , ni plus ni moins , un predicateur semble bonne , meme si on est sur de rien.........

L'apôtre dit qu'elle doit voir des anciens pour des affaires...

Je suis d'accord avec toi pour dire qu'un ministère englobe beaucoup de choses. mais même si l'apôtre dit que les femmes ne doivent pas enseigner dans la congrégation, il dit aussi que si une femme prophétise, elle doit être couverte... Une prophétie est une forme d'enseignement...

franck17360 a écrit :L'apôtre dit qu'elle doit voir des anciens pour des affaires...

Je suis d'accord avec toi pour dire qu'un ministère englobe beaucoup de choses. mais même si l'apôtre dit que les femmes ne doivent pas enseigner dans la congrégation, il dit aussi que si une femme prophétise, elle doit être couverte... Une prophétie est une forme d'enseignement...

ou il est dit que cette femme enseignait dans la congrégation ?

franck17360 a écrit :" Je vous recommande notre soeur Phoebé, qui est diaconesse de l'Eglise de Cenchrées." (Romains 16:1) NBS
"Je vous recommande Phœbé notre sœur, qui est ministre de la congrégation qui est à Cenchrées," (Romains 16:1) TDMN

Un ministre ou une diaconesse a des responsabilité dans la congrégation.

Donc, au premier siècle, il y avait bien des femmes ministres dans la congrégation du premier siècle...

Voir it-2 p. 287-290...

Ni Paul ni les autres apôtres n’ont parlé d’une fonction de “diaconesse” (diakonissa), des conditions qu’une femme doit remplir pour occuper une telle fonction, ou de la manière de désigner de telles diaconesses. Certes, dans Romains 16:1, Paul applique à une femme le terme “ministre” (grec, diakonos, sans l’article féminin hê), en ces termes : “Je vous recommande Phœbé notre sœur, qui est ministre [diakonos] de la congrégation qui est à Cenchrées.” Il n’est cependant pas précisé dans quel sens Phœbé était “ministre” ; elle servait probablement comme les femmes mentionnées dans Luc 8:1-3, où il est question de celles qui accompagnaient Jésus pendant qu’il prêchait. Ce passage déclare : “Et les douze [apôtres] étaient avec lui, et certaines femmes qui avaient été guéries (...) et beaucoup d’autres femmes, qui les servaient [diakonéïn] sur leurs biens.” La Bible de Darby parle de Phœbé comme d’une “servante”, alors que la Bible de Crampon et la Bible de Jérusalem nous la présentent comme une “diaconesse”. Rien n’indique qu’en tant que “ministre”, Phœbé occupât une position de service dans la congrégation de Cenchrées. Dans son Encyclopédie de littérature biblique (angl.), Kitto suggère qu’elle a pu n’être qu’une simple portière ou femme préposée au nettoyage du lieu de culte.

Le terme diakonissa (diaconesse) ne figure pas dans les Écritures grecques chrétiennes inspirées. L’écrivain et gouverneur romain Pline le Jeune écrivit à l’empereur Trajan vers l’an 104 de notre ère, et fit mention de deux ministræ (femmes-ministres), et Tertullien, écrivain religieux du troisième siècle, en parla à maintes reprises et expliqua les qualités qu’elles devaient posséder. Selon ses écrits Ad uxorem et De virginibus, une veuve ne pouvait pas être élue si elle avait eu plus d’un mari. Il est souvent question de diaconesses dans les Constitutions apostoliques, du quatrième siècle, qui différencient les “diaconesses” d’avec les “veuves” et les “vierges”, et expliquent leurs devoirs. Elles parlent aussi d’une forme d’ordination des diaconesses par un surveillant. Mais toutes ces allusions aux diaconesses après les temps apostoliques ne prouvent pas qu’au premier siècle, du vivant des apôtres, il existait une fonction féminine de diaconesse. C’est pourquoi l’un des rédacteurs du Dictionnaire de la Bible (angl.) de William Smith exprime l’avis que très vraisemblablement “certains écrivains ont transféré aux premiers temps de l’Église l’organisation d’une époque ultérieure”.

ami de la verite a écrit :
Ni Paul ni les autres apôtres n’ont parlé d’une fonction de “diaconesse” (diakonissa), des conditions qu’une femme doit remplir pour occuper une telle fonction, ou de la manière de désigner de telles diaconesses. Certes, dans Romains 16:1, Paul applique à une femme le terme “ministre” (grec, diakonos, sans l’article féminin hê), en ces termes : “Je vous recommande Phœbé notre sœur, qui est ministre [diakonos] de la congrégation qui est à Cenchrées.” Il n’est cependant pas précisé dans quel sens Phœbé était “ministre” ; elle servait probablement comme les femmes mentionnées dans Luc 8:1-3, où il est question de celles qui accompagnaient Jésus pendant qu’il prêchait. Ce passage déclare : “Et les douze [apôtres] étaient avec lui, et certaines femmes qui avaient été guéries (...) et beaucoup d’autres femmes, qui les servaient [diakonéïn] sur leurs biens.” La Bible de Darby parle de Phœbé comme d’une “servante”, alors que la Bible de Crampon et la Bible de Jérusalem nous la présentent comme une “diaconesse”. Rien n’indique qu’en tant que “ministre”, Phœbé occupât une position de service dans la congrégation de Cenchrées. Dans son Encyclopédie de littérature biblique (angl.), Kitto suggère qu’elle a pu n’être qu’une simple portière ou femme préposée au nettoyage du lieu de culte.

Le terme diakonissa (diaconesse) ne figure pas dans les Écritures grecques chrétiennes inspirées. L’écrivain et gouverneur romain Pline le Jeune écrivit à l’empereur Trajan vers l’an 104 de notre ère, et fit mention de deux ministræ (femmes-ministres), et Tertullien, écrivain religieux du troisième siècle, en parla à maintes reprises et expliqua les qualités qu’elles devaient posséder. Selon ses écrits Ad uxorem et De virginibus, une veuve ne pouvait pas être élue si elle avait eu plus d’un mari. Il est souvent question de diaconesses dans les Constitutions apostoliques, du quatrième siècle, qui différencient les “diaconesses” d’avec les “veuves” et les “vierges”, et expliquent leurs devoirs. Elles parlent aussi d’une forme d’ordination des diaconesses par un surveillant. Mais toutes ces allusions aux diaconesses après les temps apostoliques ne prouvent pas qu’au premier siècle, du vivant des apôtres, il existait une fonction féminine de diaconesse. C’est pourquoi l’un des rédacteurs du Dictionnaire de la Bible (angl.) de William Smith exprime l’avis que très vraisemblablement “certains écrivains ont transféré aux premiers temps de l’Église l’organisation d’une époque ultérieure”.

Encore une fois, ami de la vérité, tu interprètes la Bible.

Romains 16:1,2: "Je vous recommande* Phœbé notre sœur, qui est ministre*+ de la congrégation qui est à Cenchrées+, 2 pour que vous l’accueilliez+ dans [le] Seigneur d’une manière digne des saints, et que vous l’assistiez en toute affaire où elle peut avoir besoin de vous+, car elle aussi s’est faite le défenseur de beaucoup, oui, de moi-même."

medico a écrit : ou il est dit que cette femme enseignait dans la congrégation ?

Qui a dit que cette femme enseignait ?

franck17360 a écrit : Qui a dit que cette femme enseignait ?

donc nous somme d'accord.