Christianisme des origines
Posté : 22 oct.13, 18:03
Les chrétiens des origines d’aujourd’hui ne sont ni des fanatiques, ni des personnes coupées de la réalité quotidienne. Ils ont les pieds sur terre, mais leurs pensées sont orientées vers les Cieux.
Les signes qui caractérisent leur vie sont les suivants :
Ils ne prétendent pas être parfaits ! Comme beaucoup, les chrétiens des origines restent encore de petits, voire de grands pécheurs. Cependant ils recherchent d’abord en eux-mêmes leur part de fautes et d’infractions à la Loi de Dieu, de l’amour et de la Vie, qu’avec l’aide du Christ de Dieu ils trouvent, pour mettre en ordre leurs erreurs et ne plus répéter des choses semblables ou similaires. Ainsi, ils se relient toujours plus à l’étincelle divine au plus profond de l’être en leur prochain.
Dans leur quête des Cieux, les chrétiens des origines s’orientent sur les Commandements de Dieu et le Sermon sur la Montagne de Jésus, du Christ, qui contient, outre la prière du Notre Père, ces paroles :
« C’est pourquoi, celui qui entend mes paroles et les met en pratique, sera semblable à un homme avisé qui a bâti sa maison sur le roc. »
Cette phrase donne des directives claires aux chrétiens des origines. Jésus nous a donc invités à mettre en pratique Son enseignement, que le Christ de Dieu, par la parole prophétique pour notre époque, à travers Gabriele, redonne aux hommes.
Pour les chrétiens des origines, l’amour pour Dieu et pour le prochain signifie aussi vivre en unité avec les animaux, les plantes, les minéraux, toutes les formes de vie sur Terre et dans tout l’univers. Ils s’efforcent de rester unis avec l’être intérieur en leur prochain, quelle que soit sa manière de penser ou de se comporter. Ils ne sont pas des « béni-oui-oui », mais disent ce qu’il y a lieu de dire. Ils ne cherchent pas à avoir raison à tout prix.
Les chrétiens des origines laissent les autres libres, de leurs pensées et de leurs actes, mais revendiquent également cette même liberté pour eux-mêmes. Ils observent le commandement « Donnez à César ce qui revient à César et à Dieu ce qui revient à Dieu », ce qui signifie qu’ils s’acquittent de leurs impôts, etc. Etant donné qu’ils observent les lois promulguées par l’empereur, ils s’adressent à lui, si nécessaire, afin d’obtenir justice devant les tribunaux.
Pour les chrétiens des origines de notre époque, le principe essentiel à la base de leur pensée et de leur vie est d’agir selon le christianisme des origines. Quand des personnes abusent du nom de Jésus, du Christ, les chrétiens des origines rectifient. Dans les entreprises qui se réclament du christianisme des origines, ils construisent selon l’adage qui dit : « Sois toujours fidèle et intègre », ainsi que sur les paroles de Jésus : « Ce que tu ne veux pas que l’on te fasse, ne le fais pas non plus aux autres. » Les chrétiens des origines travaillent en commun et vivent dans des communautés d’habitation qui rassemblent des célibataires, ou des couples authentiques. Le fruit de leur travail sert avant tout à la construction de la Terre de paix et à la réparation des torts causés à la nature et aux animaux.
Dieu est l’Esprit libre et, à ce titre, Il est étranger à toute religion extérieure, aux églises institutionnelles. Les églises institutionnelles ont imprégné l’image de Dieu de leurs propres conceptions ainsi que la façon dont il faudrait, selon elles, s’adresser à lui. Ainsi ont elles transmises leurs conceptions de Dieu à leurs fidèles, à commencer par le baptême des nourrissons. Tout ceci forme les conceptions extérieures de Dieu, la représentation de Dieu, qu’offrent les églises institutionnelles, mais cela n’a rien à voir avec l’Un véritable, Dieu.
Les religions extérieures ont élevé au pinacle leur conception de Dieu ainsi que leurs traditions respectives. Cependant, dans le Royaume de Dieu il n’existe aucune religion extérieure et encore moins de traditions. Les autorités ecclésiastiques et nombre de leurs fidèles sont prisonniers de leurs traditions.
C’est ainsi que beaucoup d’entre eux ne remarquent même plus à quel point le contenu des enseignements confessionnels exprime du mépris envers les hommes. Pour eux, il va de soi que ce qui est écrit dans l’Ancien Testament constitue une règle immuable.
Par exemple, ils font dire au prophète Moïse que Dieu lui-même aurait exigé la peine de mort (à l’époque par lapidation) dans les cas suivants : contre quelqu’un qui aurait maudit ses parents, contre les personnes adultères, contre ceux qui s’opposaient au versement de la dîme à la caste des prêtres, contre les homosexuels et dans beaucoup d’autres cas encore. De même, Dieu aurait inspiré certains types de conduite plus fourbes les uns que les autres. Par exemple, pour surprendre un adversaire afin de mieux s’en débarrasser, il conviendrait tout d’abord d’endormir son attention et de gagner sa sympathie. Tout au long des pages de l’Ancien Testament, on nous explique également quelles directives le monde divin aurait soi disant révélé concernant les privilèges à accorder aux prêtres ou encore comment ces derniers devraient procéder avec les animaux offert en sacrifice, pour les torturer, les mettre à mort, les dépecer et les brûler dans les règles de l’art, de sorte que, comme il est dit « s’élève un doux parfum qui plaise à Dieu »… (Moïse 3. 3,5)
Tout ceci constitue des enseignements issus de la religion extérieure. Et l’histoire a montré quels fruits ont apporté ces conceptions, que l’on se réfère seulement aux croisades, aux persécutions contre les juifs et les hérétiques, à l’inquisition, aux bûchers sur lesquels ont péri tant de sorcières, et à tant d’autres choses encore.
Et qu’en est-il du positionnement de la religion extérieure envers les animaux, ces créatures qui sont vos semblables ?
Bien que Jésus ait très clairement condamné le fait de tuer sous quelque forme que ce soit – ce qui inclut donc le fait de tuer les animaux – les autorités ecclésiastiques encouragent leur abattage ou leur utilisation en tant que cobayes pour des expérimentations scientifiques, ainsi que les manipulations génétiques et jusqu’aux rituels les plus cruels et barbares sur les animaux.
Les signes qui caractérisent leur vie sont les suivants :
Ils ne prétendent pas être parfaits ! Comme beaucoup, les chrétiens des origines restent encore de petits, voire de grands pécheurs. Cependant ils recherchent d’abord en eux-mêmes leur part de fautes et d’infractions à la Loi de Dieu, de l’amour et de la Vie, qu’avec l’aide du Christ de Dieu ils trouvent, pour mettre en ordre leurs erreurs et ne plus répéter des choses semblables ou similaires. Ainsi, ils se relient toujours plus à l’étincelle divine au plus profond de l’être en leur prochain.
Dans leur quête des Cieux, les chrétiens des origines s’orientent sur les Commandements de Dieu et le Sermon sur la Montagne de Jésus, du Christ, qui contient, outre la prière du Notre Père, ces paroles :
« C’est pourquoi, celui qui entend mes paroles et les met en pratique, sera semblable à un homme avisé qui a bâti sa maison sur le roc. »
Cette phrase donne des directives claires aux chrétiens des origines. Jésus nous a donc invités à mettre en pratique Son enseignement, que le Christ de Dieu, par la parole prophétique pour notre époque, à travers Gabriele, redonne aux hommes.
Pour les chrétiens des origines, l’amour pour Dieu et pour le prochain signifie aussi vivre en unité avec les animaux, les plantes, les minéraux, toutes les formes de vie sur Terre et dans tout l’univers. Ils s’efforcent de rester unis avec l’être intérieur en leur prochain, quelle que soit sa manière de penser ou de se comporter. Ils ne sont pas des « béni-oui-oui », mais disent ce qu’il y a lieu de dire. Ils ne cherchent pas à avoir raison à tout prix.
Les chrétiens des origines laissent les autres libres, de leurs pensées et de leurs actes, mais revendiquent également cette même liberté pour eux-mêmes. Ils observent le commandement « Donnez à César ce qui revient à César et à Dieu ce qui revient à Dieu », ce qui signifie qu’ils s’acquittent de leurs impôts, etc. Etant donné qu’ils observent les lois promulguées par l’empereur, ils s’adressent à lui, si nécessaire, afin d’obtenir justice devant les tribunaux.
Pour les chrétiens des origines de notre époque, le principe essentiel à la base de leur pensée et de leur vie est d’agir selon le christianisme des origines. Quand des personnes abusent du nom de Jésus, du Christ, les chrétiens des origines rectifient. Dans les entreprises qui se réclament du christianisme des origines, ils construisent selon l’adage qui dit : « Sois toujours fidèle et intègre », ainsi que sur les paroles de Jésus : « Ce que tu ne veux pas que l’on te fasse, ne le fais pas non plus aux autres. » Les chrétiens des origines travaillent en commun et vivent dans des communautés d’habitation qui rassemblent des célibataires, ou des couples authentiques. Le fruit de leur travail sert avant tout à la construction de la Terre de paix et à la réparation des torts causés à la nature et aux animaux.
Dieu est l’Esprit libre et, à ce titre, Il est étranger à toute religion extérieure, aux églises institutionnelles. Les églises institutionnelles ont imprégné l’image de Dieu de leurs propres conceptions ainsi que la façon dont il faudrait, selon elles, s’adresser à lui. Ainsi ont elles transmises leurs conceptions de Dieu à leurs fidèles, à commencer par le baptême des nourrissons. Tout ceci forme les conceptions extérieures de Dieu, la représentation de Dieu, qu’offrent les églises institutionnelles, mais cela n’a rien à voir avec l’Un véritable, Dieu.
Les religions extérieures ont élevé au pinacle leur conception de Dieu ainsi que leurs traditions respectives. Cependant, dans le Royaume de Dieu il n’existe aucune religion extérieure et encore moins de traditions. Les autorités ecclésiastiques et nombre de leurs fidèles sont prisonniers de leurs traditions.
C’est ainsi que beaucoup d’entre eux ne remarquent même plus à quel point le contenu des enseignements confessionnels exprime du mépris envers les hommes. Pour eux, il va de soi que ce qui est écrit dans l’Ancien Testament constitue une règle immuable.
Par exemple, ils font dire au prophète Moïse que Dieu lui-même aurait exigé la peine de mort (à l’époque par lapidation) dans les cas suivants : contre quelqu’un qui aurait maudit ses parents, contre les personnes adultères, contre ceux qui s’opposaient au versement de la dîme à la caste des prêtres, contre les homosexuels et dans beaucoup d’autres cas encore. De même, Dieu aurait inspiré certains types de conduite plus fourbes les uns que les autres. Par exemple, pour surprendre un adversaire afin de mieux s’en débarrasser, il conviendrait tout d’abord d’endormir son attention et de gagner sa sympathie. Tout au long des pages de l’Ancien Testament, on nous explique également quelles directives le monde divin aurait soi disant révélé concernant les privilèges à accorder aux prêtres ou encore comment ces derniers devraient procéder avec les animaux offert en sacrifice, pour les torturer, les mettre à mort, les dépecer et les brûler dans les règles de l’art, de sorte que, comme il est dit « s’élève un doux parfum qui plaise à Dieu »… (Moïse 3. 3,5)
Tout ceci constitue des enseignements issus de la religion extérieure. Et l’histoire a montré quels fruits ont apporté ces conceptions, que l’on se réfère seulement aux croisades, aux persécutions contre les juifs et les hérétiques, à l’inquisition, aux bûchers sur lesquels ont péri tant de sorcières, et à tant d’autres choses encore.
Et qu’en est-il du positionnement de la religion extérieure envers les animaux, ces créatures qui sont vos semblables ?
Bien que Jésus ait très clairement condamné le fait de tuer sous quelque forme que ce soit – ce qui inclut donc le fait de tuer les animaux – les autorités ecclésiastiques encouragent leur abattage ou leur utilisation en tant que cobayes pour des expérimentations scientifiques, ainsi que les manipulations génétiques et jusqu’aux rituels les plus cruels et barbares sur les animaux.