il n'y a pas pire sacrilège pour le fidèle musulman
Posté : 28 déc.13, 07:16
il n'y a pas pire sacrilège pour le fidèle musulman que d’obéir aux lois des impies
Les frères musulmans se plaignent que les lois islamiques ne sont plus appliquées en Égypte depuis 1919 depuis la chute de l’Empire génocidaire et raciste ottoman. Ils affirment que le projet d’une nouvelle constitution est inopportun puisqu il y a le Coran qui est au-dessus des lois. Car une constitution ne peut être faite par les hommes seul Allah en est l’architecte, or, l’idée même de constitution est en soi un sacrilège.
Les hommes n’ont pas à codifier les lois qui les gouvernent. Ils ont le devoir de se soumettre aux lois qu’Allah a édicté pour eux.
Légiférer est par conséquent un acte d’insubordination à Allah. Une offense à Allah punissable de la peine de mort.
Le fidèle musulman a une obligation absolue de ne pas exprimer le choix du régime qui convient à sa conception et sa vision du monde, faudrait-il qu’il en ait une. Seul Allah est censé en être pourvu.
Un soumis à sa foi et à la vie guidée par les seuls prescrits de son créateur ne doit pas être en mesure de tracer le cadre juridique dans lequel il doit évoluer avec des règles spécifiques pour chacun des domaines de la vie sociale, personnelle, économique, sexuelle, économique, sécuritaire, internationale, politique, culturelle, interpersonnelle, éducative.
Il ne peut y avoir d’autres fondateurs de lois en dehors d’Allah, ce qui en toute logique interdit aux musulmans de se substituer à Lui et de s’auto-octroyer ses attributs ses prérogatives.
Dans l’islam on ne se concerte pas, on ne discute pas non plus de l’application des lois, ni rechercher un consensus autour des lois qui sont déjà pré établies, immuables et intemporelles, valables pour l’éternité. Non sujettes au débat de leur temporalité et actualité. Les lois doivent rester figées comme les moeurs, les us et coutumes. Les remettre en question est pire qu’apostasier l’islam. Comme si elles étaient une vérité absolue et ne doivent jamais être frappées d’obsolescence ou rendues caduques. Elles sont l’oeuvre d’Allah et l’expression de sa volonté immanente et doivent perdurer tant que perdure son univers.
Des lois infaillibles et en vigueur partout et tout le temps, résistantes aux évolutions du monde, aux bouleversements politiques, aux révolutions, aux remous de toutes sortes. Le curseur doit rester inamovible, statique et inactif. Les musulmans doivent tous graviter autour de lui, toute leur action doit être menée dans le contre-sens de l’aiguille d’une montre. L’islam n’est pas une machine à remonter le temps, il est une machine qui paralyse le temps et le statufie.
Ses lois sont comme un fil d’Ariane pour éviter à ces enfants perdus et désorientés, immatures et fragiles la séparation avec leur vrai Concepteur-géniteur. Les enfants qui naissent sont son oeuvre. C’est pourquoi les musulmans sont sa chose, son bien, qui pour eux naître musulmans est une bénédiction divine et toute rupture de lien expose l’insolent à la malédiction d’Allah.
Allah leur a taillé un uniforme qu’ils doivent endosser, qu’il soit ample ou étriqué, les musulmans ne doivent y apporter aucune retouche ni modification pour l’adapter à leurs mensurations.
L’islam est un pluriel au singulier. Les fidèles sont tenus à emprunter une seule et unique voie qui n’admet aucune déviation, ni réajustement. Une voie qui se veut parfaite et intemporelle qu’ils doivent pérenniser et diffuser.
Ils n’ont pas à donner du sens à leur propre que seul Allah est censé lui donner du sens. N’existant pas par eux-mêmes et pour eux-mêmes, ils sont au service de Celui qui est leur Maïtre et Guide. Jamais maîtres de leur choix ou de leur décision. Même quand ils accomplissent l’irréparable, c’est Allah qui les a élus pour ça. Une chance inouïe pour les musulman d’avoir été désignés pour exécuter les sombres desseins pour l’humanité de ce dieu apocalyptique et sanguinaire.
Quand on est un digne fidèle de l’islam, on ne doit jamais se soumettre à des lois qui ne sont pas consubstantiellement d’origine musulmane. Quels que soient la portée et le bien fondé des lois qui ne sont pas l’expression de la volonté d’Allah, l’unique et le vrai législateur, elles ne peuvent qu’être impures et hérétiques.
Un musulman est en droit par conséquent de les snober, les ignorer et les transgresser. Il a obligation de les combattre afin de les abolir pour leur substituer les lois de l’islam appelé à devenir un jour le nouvel ordre mondial.
Forts de leurs convictions que l’islam est la seule voie pour l’humanité, ses fidèles doivent surtout concourir à sa propagation et s’activer à éliminer les obstacles qui contrarient son expansion. Le paradis est au prix de leur investissement inconditionnel, jusqu’au-boutiste, ultra-violent, suicidaire et aveugle dans la victoire finale de la voix de l’islam.
Seuls les naïfs et les capitulards croient que les fidèles musulmans ne présentent aucun danger pour les lois des assemblées humaines. Toutes ces lois sont jugées comme étant contraires aux lois d’Allah, elles doivent disparaître pour ne pas polluer l’environnement musulman par leur présence.
Malins et futés, les fidèles musulmans vivant en Occident appelé aire de la guerre, dar al harab, les fidèles musulmans tout en piétinant les codes pénaux ont un art consommé de tirer profit des lois sociales avantageuses et généreuses de cet ennemi à abattre qui creuse lui-même sa propre tombe en contribuant lui-même à sa propre perte, à cause de son laxisme et son absence de discernement.
Source :
http://salembenammar.wordpress.com/2013 ... es-impies/
Les frères musulmans se plaignent que les lois islamiques ne sont plus appliquées en Égypte depuis 1919 depuis la chute de l’Empire génocidaire et raciste ottoman. Ils affirment que le projet d’une nouvelle constitution est inopportun puisqu il y a le Coran qui est au-dessus des lois. Car une constitution ne peut être faite par les hommes seul Allah en est l’architecte, or, l’idée même de constitution est en soi un sacrilège.
Les hommes n’ont pas à codifier les lois qui les gouvernent. Ils ont le devoir de se soumettre aux lois qu’Allah a édicté pour eux.
Légiférer est par conséquent un acte d’insubordination à Allah. Une offense à Allah punissable de la peine de mort.
Le fidèle musulman a une obligation absolue de ne pas exprimer le choix du régime qui convient à sa conception et sa vision du monde, faudrait-il qu’il en ait une. Seul Allah est censé en être pourvu.
Un soumis à sa foi et à la vie guidée par les seuls prescrits de son créateur ne doit pas être en mesure de tracer le cadre juridique dans lequel il doit évoluer avec des règles spécifiques pour chacun des domaines de la vie sociale, personnelle, économique, sexuelle, économique, sécuritaire, internationale, politique, culturelle, interpersonnelle, éducative.
Il ne peut y avoir d’autres fondateurs de lois en dehors d’Allah, ce qui en toute logique interdit aux musulmans de se substituer à Lui et de s’auto-octroyer ses attributs ses prérogatives.
Dans l’islam on ne se concerte pas, on ne discute pas non plus de l’application des lois, ni rechercher un consensus autour des lois qui sont déjà pré établies, immuables et intemporelles, valables pour l’éternité. Non sujettes au débat de leur temporalité et actualité. Les lois doivent rester figées comme les moeurs, les us et coutumes. Les remettre en question est pire qu’apostasier l’islam. Comme si elles étaient une vérité absolue et ne doivent jamais être frappées d’obsolescence ou rendues caduques. Elles sont l’oeuvre d’Allah et l’expression de sa volonté immanente et doivent perdurer tant que perdure son univers.
Des lois infaillibles et en vigueur partout et tout le temps, résistantes aux évolutions du monde, aux bouleversements politiques, aux révolutions, aux remous de toutes sortes. Le curseur doit rester inamovible, statique et inactif. Les musulmans doivent tous graviter autour de lui, toute leur action doit être menée dans le contre-sens de l’aiguille d’une montre. L’islam n’est pas une machine à remonter le temps, il est une machine qui paralyse le temps et le statufie.
Ses lois sont comme un fil d’Ariane pour éviter à ces enfants perdus et désorientés, immatures et fragiles la séparation avec leur vrai Concepteur-géniteur. Les enfants qui naissent sont son oeuvre. C’est pourquoi les musulmans sont sa chose, son bien, qui pour eux naître musulmans est une bénédiction divine et toute rupture de lien expose l’insolent à la malédiction d’Allah.
Allah leur a taillé un uniforme qu’ils doivent endosser, qu’il soit ample ou étriqué, les musulmans ne doivent y apporter aucune retouche ni modification pour l’adapter à leurs mensurations.
L’islam est un pluriel au singulier. Les fidèles sont tenus à emprunter une seule et unique voie qui n’admet aucune déviation, ni réajustement. Une voie qui se veut parfaite et intemporelle qu’ils doivent pérenniser et diffuser.
Ils n’ont pas à donner du sens à leur propre que seul Allah est censé lui donner du sens. N’existant pas par eux-mêmes et pour eux-mêmes, ils sont au service de Celui qui est leur Maïtre et Guide. Jamais maîtres de leur choix ou de leur décision. Même quand ils accomplissent l’irréparable, c’est Allah qui les a élus pour ça. Une chance inouïe pour les musulman d’avoir été désignés pour exécuter les sombres desseins pour l’humanité de ce dieu apocalyptique et sanguinaire.
Quand on est un digne fidèle de l’islam, on ne doit jamais se soumettre à des lois qui ne sont pas consubstantiellement d’origine musulmane. Quels que soient la portée et le bien fondé des lois qui ne sont pas l’expression de la volonté d’Allah, l’unique et le vrai législateur, elles ne peuvent qu’être impures et hérétiques.
Un musulman est en droit par conséquent de les snober, les ignorer et les transgresser. Il a obligation de les combattre afin de les abolir pour leur substituer les lois de l’islam appelé à devenir un jour le nouvel ordre mondial.
Forts de leurs convictions que l’islam est la seule voie pour l’humanité, ses fidèles doivent surtout concourir à sa propagation et s’activer à éliminer les obstacles qui contrarient son expansion. Le paradis est au prix de leur investissement inconditionnel, jusqu’au-boutiste, ultra-violent, suicidaire et aveugle dans la victoire finale de la voix de l’islam.
Seuls les naïfs et les capitulards croient que les fidèles musulmans ne présentent aucun danger pour les lois des assemblées humaines. Toutes ces lois sont jugées comme étant contraires aux lois d’Allah, elles doivent disparaître pour ne pas polluer l’environnement musulman par leur présence.
Malins et futés, les fidèles musulmans vivant en Occident appelé aire de la guerre, dar al harab, les fidèles musulmans tout en piétinant les codes pénaux ont un art consommé de tirer profit des lois sociales avantageuses et généreuses de cet ennemi à abattre qui creuse lui-même sa propre tombe en contribuant lui-même à sa propre perte, à cause de son laxisme et son absence de discernement.
Source :
http://salembenammar.wordpress.com/2013 ... es-impies/