Appels à honorer le jeune héros qui s'est jeté sur un kamika
Posté : 10 janv.14, 09:25
Appels à honorer le jeune héros qui s'est jeté sur un kamikaze
Aitzaz Hassan, un adolescent de 15 ans de la petite ville chiite d'Ibrahimzai situé dans le district de Hangu de la province du Khyber Pakhtunkhwa, avait intercepté lundi le kamikaze qui s'apprêtait à attaquer l'école locale fréquentée par près de 1000 étudiants.
itzaz, un ado rondouillard de 15 ans, avait intercepté lundi un kamikaze qui s'apprêtait à perpétrer un attentat dans son école fréquentée par près de 1.000 étudiants dans la ville chiite d'Ibrahimzai située dans le district de Hangu de la province du Khyber Pakhtunkhwa, bastion taliban dans le nord-ouest.
Le kamikaze avait été contraint de se faire exploser à 150 mètres de l'école épargnant ainsi tous les élèves et les professeurs de l'établissement à l'exception d'Aitzaz, propulsé héros posthume pour son sacrifice.
Ce jour-là, Aitzaz avait peut-être rendez-vous avec son «destin». Arrivé en retard il avait été tenu à l'écart de ses premiers cours, à l'extérieur de l'école, ce qui lui a permis de voir le kamikaze s'approcher des lieux et de se jeter sur lui.
«Il voulait devenir médecin, mais ce n'était pas la volonté de Dieu», a confié à l'AFP son cousin, Mudassir, décrivant un étudiant à la fois brillant et compétitif.
Le chef de la police du Khyber Pakhtunkhwa, province la plus touchée par les attentats des talibans et située à la frontière de l'Afghanistan, Nasir Khan Durrani, a écrit jeudi soir aux autorités pour demander que Aitzaz reçoive à titre posthume les plus hauts honneurs pour un civil au Pakistan.
Aitzaz Hassan, un adolescent de 15 ans de la petite ville chiite d'Ibrahimzai situé dans le district de Hangu de la province du Khyber Pakhtunkhwa, avait intercepté lundi le kamikaze qui s'apprêtait à attaquer l'école locale fréquentée par près de 1000 étudiants.
itzaz, un ado rondouillard de 15 ans, avait intercepté lundi un kamikaze qui s'apprêtait à perpétrer un attentat dans son école fréquentée par près de 1.000 étudiants dans la ville chiite d'Ibrahimzai située dans le district de Hangu de la province du Khyber Pakhtunkhwa, bastion taliban dans le nord-ouest.
Le kamikaze avait été contraint de se faire exploser à 150 mètres de l'école épargnant ainsi tous les élèves et les professeurs de l'établissement à l'exception d'Aitzaz, propulsé héros posthume pour son sacrifice.
Ce jour-là, Aitzaz avait peut-être rendez-vous avec son «destin». Arrivé en retard il avait été tenu à l'écart de ses premiers cours, à l'extérieur de l'école, ce qui lui a permis de voir le kamikaze s'approcher des lieux et de se jeter sur lui.
«Il voulait devenir médecin, mais ce n'était pas la volonté de Dieu», a confié à l'AFP son cousin, Mudassir, décrivant un étudiant à la fois brillant et compétitif.
Le chef de la police du Khyber Pakhtunkhwa, province la plus touchée par les attentats des talibans et située à la frontière de l'Afghanistan, Nasir Khan Durrani, a écrit jeudi soir aux autorités pour demander que Aitzaz reçoive à titre posthume les plus hauts honneurs pour un civil au Pakistan.