[catho]Blaise Pascal, génie du catholicisme
Posté : 26 mars14, 22:49
On ne présente plus Blaise Pascal, mondialement connu, père des Probabilités, de la mécanique des fluides, génial inventeur de la première machine à calculer, "la pascaline", génial physicien qui eut l'idée de concevoir la brouette qui resta inconnue donc durant toute l'antiquité et le Moyen-Age !
On connait le grand maitre de la littérature française, moins bien le génie du catholicisme en lui. C'est notre sujet de ce jour.
Une crise mystique identique à celle de St Paul sur le chemin de Damas, en octobre 16546, lui change par Christ la vie radicalement. Il devient le grand philosophe du XVII siècle et mena une vie religieuse de saint, encore mal connue. Il écrit pendant cette période Les Provinciales et un ouvrage resté inachevé par sa mort trop soudaine, "Apologie du christianisme". Son maitre en grec, Nicole, en fit un recueil qu'il traduisit en latin pour sa première édition, sous le titre de "Pensées", choix alternatif. Ces dernières n’étant publiées qu’après sa mort qui survient deux mois après son 39e anniversaire, peu savent que l'original de Nicole est en latin. Car au XVII siècle, on écrivait en France toujours dans le cadre philosophique et théologique, en latin ! Pour preuve, les "Meditationes de prima philosophia" de Descartes, en latin. Puis Pascal, oublié par l'affaire des jansénistes, sur laquelle je reviendrai longuement, dans le cadre de l'Enseignement catholique traditionnel pour les séminaristes, resta une référentiel en usage pour le grand public, sans être bien compris.
Nous produirons les Mémoires de sa soeur, des Lettres, la construction des Provinciales, et nous entrerons dans la complexité mal maitrisée par Wikipedia France, malgré les efforts de Serin, louables.
Le vrai visage de Pascal ne fut connu qu'autour des années 1980, le portait officiel présenté aux étudiants des écoles et lycées laïques étant hélas celui du Maistre de Sacy :
Voici le vrai portrait et le vrai visage peu différent de Blaise Pascal :
Cette erreur est toujours produite, ainsi que trop d'autres, tant Pascal, comme aimer à le rappeler Louis XIV, fut de son vivant, "mal connu".
Puisse ce travail sur Pascal à sa mémoire être enfin une référence francophone des plus sérieuses.
On connait le grand maitre de la littérature française, moins bien le génie du catholicisme en lui. C'est notre sujet de ce jour.
Une crise mystique identique à celle de St Paul sur le chemin de Damas, en octobre 16546, lui change par Christ la vie radicalement. Il devient le grand philosophe du XVII siècle et mena une vie religieuse de saint, encore mal connue. Il écrit pendant cette période Les Provinciales et un ouvrage resté inachevé par sa mort trop soudaine, "Apologie du christianisme". Son maitre en grec, Nicole, en fit un recueil qu'il traduisit en latin pour sa première édition, sous le titre de "Pensées", choix alternatif. Ces dernières n’étant publiées qu’après sa mort qui survient deux mois après son 39e anniversaire, peu savent que l'original de Nicole est en latin. Car au XVII siècle, on écrivait en France toujours dans le cadre philosophique et théologique, en latin ! Pour preuve, les "Meditationes de prima philosophia" de Descartes, en latin. Puis Pascal, oublié par l'affaire des jansénistes, sur laquelle je reviendrai longuement, dans le cadre de l'Enseignement catholique traditionnel pour les séminaristes, resta une référentiel en usage pour le grand public, sans être bien compris.
Nous produirons les Mémoires de sa soeur, des Lettres, la construction des Provinciales, et nous entrerons dans la complexité mal maitrisée par Wikipedia France, malgré les efforts de Serin, louables.
Le vrai visage de Pascal ne fut connu qu'autour des années 1980, le portait officiel présenté aux étudiants des écoles et lycées laïques étant hélas celui du Maistre de Sacy :
Voici le vrai portrait et le vrai visage peu différent de Blaise Pascal :
Cette erreur est toujours produite, ainsi que trop d'autres, tant Pascal, comme aimer à le rappeler Louis XIV, fut de son vivant, "mal connu".
Puisse ce travail sur Pascal à sa mémoire être enfin une référence francophone des plus sérieuses.