l'identité du pharaon de l'exode dévoilée
Posté : 23 mai14, 11:41
Je suis Mr Ekwe Mardochée Roger, chercheur en histoire. Camerounais de nationalité, je suis de la tribu Basa et mes recherches sur l'origine de ma tribu dont les origines remontent en Égypte et qui font l'objet d'un ouvrage en chantier, conduisent aux conclusions suivantes: les noms Basa, Massa et Maya se rapportent au même peuple. Ces trois noms sont les diminutifs de Basashou, Basahou, Basaou, Masashou, Massahou, Massaou, Mayashou, Mayahou et Mayaou lié au culte de shou, dont le lieu de culte principal fut Saïs et Tanis, dont la région était connue sous les noms Sashou, Sahou Saou, Yashou, Yahou, Yaou, Sau, Zan, Sa et Za qui signifie " fils de Shou" ou "adorateurs de la lumière". Lorsque l'influence du grand prêtre de Shou appelé Ekayeshou ou Ekayahou conduit à la solarisation de tous les dieux d’Égypte sous le règne d'Aménophis II (1427-1393), le dieu Shou va devenir Shou-Ra ou Shouré. Cette évolution va, sous l’influence des différentes langues égyptiennes et des peuples voisins avoir des conséquences sur le nom des originaires de Saïs, adorateurs du dieu Shou, devenu Shou-Ré ou Shou-Ra. D’où Masaouré, Mashaoura, Basaouré, Bayahoura, Bayaouré, Saouré, Saoura, Yaoura, Yahouda, Yahouré, Yahoueh qui signifie "fils ou adorateurs de la lumière du soleil". Partie d’Égypte sous la direction du Sha Aï (nous pouvons démontrer par la linguistique que Moshe, c'est Aï, c'est Shadaï le dieu des hébreux. C'est son souvenir qui donne le nom au Lac Tchad (Shadaï, Shada puis Tchad) l'une des étapes de la civilisation Sao) après le bannissement du Culte Atonien, ce mouvement qui va prendre le nom de sa caste de prêtres ( Massaoura, Bassaouré, Yaoura, Yaouda, Yaouré et plus tard Phout, Pouta) après l'étape du Mont Sinaï ( Sin-Aï = montagne de Aï) va prendre trois directions principales; Canaan (Yaouda et Hébreux), Libye (Libou et Massaoura), Yemen, puis l'Ethiopie ( Sabé, Saba, Phout, Pout, Beta, Massawa, Habassa, Issa ...). il est donc claire qu'autant que les Basaou (Basa), les Yaouda (Yaou ou Yaoura) ne furent jamais les esclavages en Égypte, mais des grands architectes, bâtisseurs de l’Égypte. la tourbe nombreuse mentionnée dans la bible qui accompagnait la caste des prêtres Basaou (Ba-Saou = les Saou) ou Yaou était composée des convertis à la religion Atonien, chassés d’Égypte sous Horemheb.
Nous n'allons pas nous attardés ici sur tous les détails de cette histoire et les vestiges (toponymes) laissés le long des différentes migrations de ce mouvement. Toutefois par cette recherche, nous pouvons aujourd'hui démontrer l'origine commune des hébreux, des Juif et de la plupart des peuples au Sud du Sahara, adorateurs du dieu Solaire Shou-Rê, devenu Aton sous Akhenaton (Bantu, Kirdi, Foulbé,Yaoussa...). Au Cameroun, les toponymes qui attestent ce passé sont identifiables du nord au Sud: Biafarae, Biafara, Biafra, Biafar, Biascar, Giafar, Maffra, Mabra, Mascha, Mesche, Saou, Sao, Tchada, Tsadé, Tchad, Tcheré, Chari, Sara, Adamaoua, Mandara, Mora, Maroua, Bifara, Ngaoundere, Benoué, Yagoua, Yagoué, Yaoundé, Yangeré, Jamoua, Jamour, Bertoua, Batouri, Kanouri, Houri, Wouri, Sawa, Bétaré-Oya, Mberé, Benê, Dara, Bata, Beti, Eton, Aton, Hé, Zé, Pous, Bedova, Hiidé....
L’auteur du livre est le promoteur d'une Fondation qui œuvre pour la promotion culturelle. La "Fondation Espoir" a déjà à son actif deux livres publiés: l'Origine Basaa du Ngondo et du nom Sawa et l'Origine Basaa du nom et du groupe Douala. Trois albums produits (Bill Jojo, groupe BIVINDI, Lambert Loko). Nous sommes aussi promoteur du site internet Sawabassa.com qui fait dans l’investigation historique. Nos ouvrages à paraître: ÉVOLUTION ET ENJEUX POLITIQUES AU CENTRE DE L’AFRIQUE DU XVe AU XXIe SIÈCLE (le cas du Cameroun); LE CAMEROUN UN ET INDIVISIBLE ou l'origine Saou des Hébreux, des Bantu, des Kirdi, des Haoussa..., JÉSUS, un Africain noir.
Pour une bonne lecture du passé Égyptien, nous convions les Égyptologues à diriger leurs recherches au Sud du Sahara et de porter une attention particulière aux travaux de recherches qui lient les populations de cette région à l'Égypte et aux langues de ces peuples qui peuvent être d’un apport considérable dans la réécriture de l’histoire de Égypte. Par les toponymes laissés par les descendants Saou au centre de l'Afrique, il est démontrable que la vocalisation du Tétragramme YHW du dieu des Hébreux en Jéhovah, Yahoué ou Yehouva par les linguistes est exacte. Elle a seulement été victime de la coutume qui interdit d’écrire le nom de dieu chez les Hébreux qui, chez les Basa, interdit d’écrire et de prononcer le son « R », qui trahi le penchant religieux des familles de ce mouvement. Il suffit donc de replacer la consonne « R » dans les noms Jehovah, Yahoué, Yehouva pour découvrir le penchant religieux du peuple Hébreux (Hebré) : Jeho(r)ah ; Yahou(r)é ; Yehou(r)a. même avec l’érosion syllabique nous retrouvons encore au cameroun les noms qui rappellent cette origine tout en prenant en compte que dans les langues Bantu Be = Ye = Ya = Ba : Bénoué = Behouré ; Yagoua = Yahoura, Jamoua = Yahoura, Jamour = Yaou, Saoua ou Sawa = Saoura. Quant aux toponymes, Mandara, Adamaoua, Maroua, Bertoua, Batouri, Kanouri, Houri, Wouri, avec leur déterminatif « oura » ou « ouri », aucun linguiste ne peut nier leur relation avec la lumière du soleil. Les noms de certains tribus Mandé ; Yaouré, Baoulé, Gouro... apportent une preuve supplémentaire sur la question. relevons qu'en araméen, Nahouri, Naouri, Nahori signifie "mon soleil".
Nous avons besoin de votre aide pour nos recherches. Pour l'édition de nos prochains ouvrages, la fondation espoir a besoin de vos dons. Pour toute information sur les relations entre les Hébreux, les Juif, les Incas, les Maya, les Aztèques, les Mandchous (chine), les dravidiens (Inde), les Papous, la langue Bahasa ou Basa en Indonésie.... et les différents peuples Africains adorateurs du soleil, nous joindre au 99 86 35 07/ 79 78 41 28 ou à sawabassa@yahoo.fr. Pour nous simplifier les choses, faits vos dons par western Union à l'ordre du promoteur de la Fondation: Ekwe Mardochée Roger, Douala-Cameroun.
Nous n'allons pas nous attardés ici sur tous les détails de cette histoire et les vestiges (toponymes) laissés le long des différentes migrations de ce mouvement. Toutefois par cette recherche, nous pouvons aujourd'hui démontrer l'origine commune des hébreux, des Juif et de la plupart des peuples au Sud du Sahara, adorateurs du dieu Solaire Shou-Rê, devenu Aton sous Akhenaton (Bantu, Kirdi, Foulbé,Yaoussa...). Au Cameroun, les toponymes qui attestent ce passé sont identifiables du nord au Sud: Biafarae, Biafara, Biafra, Biafar, Biascar, Giafar, Maffra, Mabra, Mascha, Mesche, Saou, Sao, Tchada, Tsadé, Tchad, Tcheré, Chari, Sara, Adamaoua, Mandara, Mora, Maroua, Bifara, Ngaoundere, Benoué, Yagoua, Yagoué, Yaoundé, Yangeré, Jamoua, Jamour, Bertoua, Batouri, Kanouri, Houri, Wouri, Sawa, Bétaré-Oya, Mberé, Benê, Dara, Bata, Beti, Eton, Aton, Hé, Zé, Pous, Bedova, Hiidé....
L’auteur du livre est le promoteur d'une Fondation qui œuvre pour la promotion culturelle. La "Fondation Espoir" a déjà à son actif deux livres publiés: l'Origine Basaa du Ngondo et du nom Sawa et l'Origine Basaa du nom et du groupe Douala. Trois albums produits (Bill Jojo, groupe BIVINDI, Lambert Loko). Nous sommes aussi promoteur du site internet Sawabassa.com qui fait dans l’investigation historique. Nos ouvrages à paraître: ÉVOLUTION ET ENJEUX POLITIQUES AU CENTRE DE L’AFRIQUE DU XVe AU XXIe SIÈCLE (le cas du Cameroun); LE CAMEROUN UN ET INDIVISIBLE ou l'origine Saou des Hébreux, des Bantu, des Kirdi, des Haoussa..., JÉSUS, un Africain noir.
Pour une bonne lecture du passé Égyptien, nous convions les Égyptologues à diriger leurs recherches au Sud du Sahara et de porter une attention particulière aux travaux de recherches qui lient les populations de cette région à l'Égypte et aux langues de ces peuples qui peuvent être d’un apport considérable dans la réécriture de l’histoire de Égypte. Par les toponymes laissés par les descendants Saou au centre de l'Afrique, il est démontrable que la vocalisation du Tétragramme YHW du dieu des Hébreux en Jéhovah, Yahoué ou Yehouva par les linguistes est exacte. Elle a seulement été victime de la coutume qui interdit d’écrire le nom de dieu chez les Hébreux qui, chez les Basa, interdit d’écrire et de prononcer le son « R », qui trahi le penchant religieux des familles de ce mouvement. Il suffit donc de replacer la consonne « R » dans les noms Jehovah, Yahoué, Yehouva pour découvrir le penchant religieux du peuple Hébreux (Hebré) : Jeho(r)ah ; Yahou(r)é ; Yehou(r)a. même avec l’érosion syllabique nous retrouvons encore au cameroun les noms qui rappellent cette origine tout en prenant en compte que dans les langues Bantu Be = Ye = Ya = Ba : Bénoué = Behouré ; Yagoua = Yahoura, Jamoua = Yahoura, Jamour = Yaou, Saoua ou Sawa = Saoura. Quant aux toponymes, Mandara, Adamaoua, Maroua, Bertoua, Batouri, Kanouri, Houri, Wouri, avec leur déterminatif « oura » ou « ouri », aucun linguiste ne peut nier leur relation avec la lumière du soleil. Les noms de certains tribus Mandé ; Yaouré, Baoulé, Gouro... apportent une preuve supplémentaire sur la question. relevons qu'en araméen, Nahouri, Naouri, Nahori signifie "mon soleil".
Nous avons besoin de votre aide pour nos recherches. Pour l'édition de nos prochains ouvrages, la fondation espoir a besoin de vos dons. Pour toute information sur les relations entre les Hébreux, les Juif, les Incas, les Maya, les Aztèques, les Mandchous (chine), les dravidiens (Inde), les Papous, la langue Bahasa ou Basa en Indonésie.... et les différents peuples Africains adorateurs du soleil, nous joindre au 99 86 35 07/ 79 78 41 28 ou à sawabassa@yahoo.fr. Pour nous simplifier les choses, faits vos dons par western Union à l'ordre du promoteur de la Fondation: Ekwe Mardochée Roger, Douala-Cameroun.