"Le Turkménistan est l'un des pays les plus fermés au monde. À la recherche d'attractions pour faire venir les touristes, il mise sur un cratère géant, qui crache du feu depuis quarante ans.
En 1971, les géologues soviétiques ont commencé à forer pour prospecter. "En forant, ils sont tombés dans une poche souterraine, le matériel de forage y a disparu, mais heureusement personne n'est mort. Comme ils craignaient que le cratère n'émette des gaz empoisonnés, ils ont décidé d'y mettre feu", raconte à l'AFP Anatoli Bouchmakine, géologue turkmène."
http://www.bfmtv.com/planete/les-portes ... 98781.html
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L'erreur est humaine...
40 ans de gaspillage de gaz
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Re: 40 ans de gaspillage de gaz
Ecrit le 23 juin14, 02:26l'erreur et humaine et le gaspillage aussi.
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Re: 40 ans de gaspillage de gaz
Ecrit le 23 juin14, 08:46L'erreur est humaine...
Vous voyez l'attitude nauséabonde qui encourage au préjugés les plus stupides ? L'affaire est simple, le gouvernement a peur que le gaz s’échappe et empoisonne la population et mette le feu au puits (car la combustion détruit le gaz). Plus tard... deux personnes viennent nous dire que le désir de protéger une population entière contre un nuage de gaz était "une erreur". Je suis sidéré.l'erreur et humaine et le gaspillage aussi.
Celui-là observa en silence la marque indélébile de ces deux vies ancestrales qui tracèrent de leur souffle l'histoire et la vie d'Alliance, une histoire qui contemple chaque pierre posé pour la paix et la prospérité.
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Re: 40 ans de gaspillage de gaz
Ecrit le 24 juin14, 23:52TOURISME
Les «Portes de l'Enfer» se trouvent au Turkménistan
Mis à jour le 24.06.14
Le pays, l'un des plus isolé au monde, veut attirer les touristes grâce à un cratère géant qui flambe depuis près de 40 ans à 270 km de la capitale.
(Photo: AFP)
Surnommé les «portes de l'Enfer», un cratère géant crache du feu depuis quarante ans. Le Turkménistan, l'un des pays les plus fermés au monde, veut en faire une attraction touristique au coeur du désert de Karakoum.
«Ca coupe le souffle et ça fait très peur!», dit Goziel Iazkoulieva, 34 ans, qui est venue d'Achkhabad observer pour la première fois le puits de flamme en combustion continue depuis 1971.«Je comprends pourquoi on appelle ce lieu les portes de l'Enfer. Cela fait vraiment un sacré effet! On pense directement à nos péchés et on ressent le besoin de prier», raconte-t-elle en souriant.
Aujourd'hui aucun signe ne signale le cratère quand on traverse en jeep le désert du Karakoum, dont le nom veut dire Sables noirs, et qui couvre près de 80% de l'ex-république soviétique d'Asie centrale. En été le température y atteint 50 degrés, en hiver elle tombe à moins 20 degrés. Mais les guides savent où bifurquer pour s'approcher du cratère de Darvaza, à 270 kilomètres de la capitale, Achkhabad, par une piste traversant des dunes de sable.
Visible depuis le ciel
Une lueur jaune et orange est visible dans le ciel et guide les rares touristes qui s'aventurent jusqu'au monstre crachant du feu.Le Turkménistan, qui reste un des pays les plus isolés du monde 25 ans après l'effondrement de l'URSS, reçoit chaque année seulement quelque 12 à 15'000 touristes, de plus de cinquante pays, selon une source au sein du comité gouvernemental du tourisme. «Un peu plus que pendant l'époque soviétique».
Le gouvernement turkmène veut développer le tourisme destiné aux amateurs de sensations extrêmes, ou aux amoureux de la nature. Des safaris en jeep, en quad ou à dos de chameau pourraient bientôt être organisés afin d'amener les touristes près du cratère.Des langues de feu lèchent constamment les parois du cratère, profond de 20 mètres et de 70 mètres de diamètre, et des bourrasques d'air brûlant s'en échappent. La chaleur extrême et le grondement sourd du feu font tourner la tête, bien qu'on ne sente pas de gaz dans l'air.
Aucune protection
Malgré le danger, aucune grille ni protection n'entoure le cratère où rien n'empêche les touristes les plus intrépides de s'approcher du bord. A leurs risques et périls, car le sol de sable s'effondre par endroits.Le phénomène est le résultat d'une erreur de calcul des savants soviétiques.
«En 1971, les géologues soviétiques ont commencé à forer pour prospecter. Personne n'aurait pu deviner qu'au final, ils allaient percer des couches souterraines qui contenaient du gaz», raconte Anatoli Bouchmakine, géologue turkmène.«En forant, ils sont tombés dans une poche souterraine, le matériel de forage y a disparu, mais heureusement personne n'est mort. Comme ils craignaient que le cratère n'émette des gaz empoisonnés, ils ont décidé d'y mettre feu», explique-t-il.
Les scientifiques soviétiques espéraient ainsi brûler le gaz jusqu'à son extinction. Mais les flammes ne se sont pas éteintes depuis maintenant 40 ans. Elles sont devenues le symbole de l'étendue des réserves de gaz du Turkménistan, les quatrièmes plus vastes au monde.
(afp)
Les «Portes de l'Enfer» se trouvent au Turkménistan
Mis à jour le 24.06.14
Le pays, l'un des plus isolé au monde, veut attirer les touristes grâce à un cratère géant qui flambe depuis près de 40 ans à 270 km de la capitale.
(Photo: AFP)
Surnommé les «portes de l'Enfer», un cratère géant crache du feu depuis quarante ans. Le Turkménistan, l'un des pays les plus fermés au monde, veut en faire une attraction touristique au coeur du désert de Karakoum.
«Ca coupe le souffle et ça fait très peur!», dit Goziel Iazkoulieva, 34 ans, qui est venue d'Achkhabad observer pour la première fois le puits de flamme en combustion continue depuis 1971.«Je comprends pourquoi on appelle ce lieu les portes de l'Enfer. Cela fait vraiment un sacré effet! On pense directement à nos péchés et on ressent le besoin de prier», raconte-t-elle en souriant.
Aujourd'hui aucun signe ne signale le cratère quand on traverse en jeep le désert du Karakoum, dont le nom veut dire Sables noirs, et qui couvre près de 80% de l'ex-république soviétique d'Asie centrale. En été le température y atteint 50 degrés, en hiver elle tombe à moins 20 degrés. Mais les guides savent où bifurquer pour s'approcher du cratère de Darvaza, à 270 kilomètres de la capitale, Achkhabad, par une piste traversant des dunes de sable.
Visible depuis le ciel
Une lueur jaune et orange est visible dans le ciel et guide les rares touristes qui s'aventurent jusqu'au monstre crachant du feu.Le Turkménistan, qui reste un des pays les plus isolés du monde 25 ans après l'effondrement de l'URSS, reçoit chaque année seulement quelque 12 à 15'000 touristes, de plus de cinquante pays, selon une source au sein du comité gouvernemental du tourisme. «Un peu plus que pendant l'époque soviétique».
Le gouvernement turkmène veut développer le tourisme destiné aux amateurs de sensations extrêmes, ou aux amoureux de la nature. Des safaris en jeep, en quad ou à dos de chameau pourraient bientôt être organisés afin d'amener les touristes près du cratère.Des langues de feu lèchent constamment les parois du cratère, profond de 20 mètres et de 70 mètres de diamètre, et des bourrasques d'air brûlant s'en échappent. La chaleur extrême et le grondement sourd du feu font tourner la tête, bien qu'on ne sente pas de gaz dans l'air.
Aucune protection
Malgré le danger, aucune grille ni protection n'entoure le cratère où rien n'empêche les touristes les plus intrépides de s'approcher du bord. A leurs risques et périls, car le sol de sable s'effondre par endroits.Le phénomène est le résultat d'une erreur de calcul des savants soviétiques.
«En 1971, les géologues soviétiques ont commencé à forer pour prospecter. Personne n'aurait pu deviner qu'au final, ils allaient percer des couches souterraines qui contenaient du gaz», raconte Anatoli Bouchmakine, géologue turkmène.«En forant, ils sont tombés dans une poche souterraine, le matériel de forage y a disparu, mais heureusement personne n'est mort. Comme ils craignaient que le cratère n'émette des gaz empoisonnés, ils ont décidé d'y mettre feu», explique-t-il.
Les scientifiques soviétiques espéraient ainsi brûler le gaz jusqu'à son extinction. Mais les flammes ne se sont pas éteintes depuis maintenant 40 ans. Elles sont devenues le symbole de l'étendue des réserves de gaz du Turkménistan, les quatrièmes plus vastes au monde.
(afp)
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