Dieu étant Lui-même, Il est en Lui-même.
Posté : 04 juil.14, 10:42
Nous nous proposons dans ce qui suit de révéler Dieu, non sans implorer son aide dans cette quête à la fois difficile et passionnante.
Nous commencerons, c'est nécessaire, par traiter de l’univers afin de préciser ce que nous entendons désigner par ce vocable et ce que cette notion d’univers implique. Nous déclarons univers ce qui fait Un, même s’il en est « plusieurs » liés ensemble. Mais s’ils sont en nombre et indépendants, nous appellerons dans notre propos univers notre univers, les autres nous important peu. Et s’il plait à quelque partie de considérer nos galaxies sans lien les unes aux autres, notre univers sera alors notre galaxie.
Nous appelons donc univers ce qui est UN, ce qui est d’ailleurs un truisme, la notion d’unicité étant déjà, il me semble, comprise dans l’idée d’univers.
Mais cette notion d’unicité doit être encore précisée. Dans notre propos l’unicité ne désigne pas ce qui est unique en son genre, bien que cela ne l’exclut pas, mais ce qui fait corps, c'est-à-dire un organisme, un ensemble intégré, c'est-à-dire dont les parties sont interdépendantes, intimement imbriquées, se soutenant et subissant les influences les unes des autres.
En un mot, l’univers est un monde autonome intégré et non un ensemble d’éléments hétéroclites en déshérence.
Notre monde est-il celui-là ? Indéniablement, oui ! De la particule, de l’atome, de la molécule, du minéral, du végétal, de l’animal, du gazeux, du liquide et du solide, jusqu’aux planètes et au-delà, tout est nécessaire et tout se tient par la main pour danser une ronde.
Mais Dieu où est-il ? J’appelle Dieu « ce quelque chose », cet aimant qui fait que le monde est un ensemble intégré, qui fait que moi-même ne sois pas en ce moment désintégré en milliards de particules, mais soudé à moi-même et échangeant par la respiration et la digestion, le nerf et l’onde… avec cet univers.
Ce Dieu n’est toutefois pas encore Dieu et pourrait bien n’être que la Nature.
Que lui manque-t-il ? Il lui manque encore d'être sensible.
Or, sensible, il l’est. Il l’est, car tout ce qui est sentiment et pensée appartient à cet univers ; est, tout autant que le reste, en lui, par lui et de lui, résultat de causes et d’effets et de mouvements internes, peu importe les canaux, cœur ou cerveau, que sentiments et pensées empruntent. En lui, par lui et de lui, tout cela est, car en dehors de l’univers, il n’est nul ailleurs qui pourrait laisser supposer que tout cela pourrait venir d’ailleurs.
Voilà donc notre Dieu bien là, indéniablement. Tel que nous l’avons toujours imaginé à travers et malgré nos diverses versions, tenant lié tout à tout et en même temps pensant et sentant tout comme l’homme.
Il est le Miracle des miracles, invisible bien qu’il n’est nulle place où il ne soit.
Gloire à Toi, Ô Toi le Vainqueur, l’Unique, l’Eternel, qui triompha des ténèbres et vint à la lumière.
Nous commencerons, c'est nécessaire, par traiter de l’univers afin de préciser ce que nous entendons désigner par ce vocable et ce que cette notion d’univers implique. Nous déclarons univers ce qui fait Un, même s’il en est « plusieurs » liés ensemble. Mais s’ils sont en nombre et indépendants, nous appellerons dans notre propos univers notre univers, les autres nous important peu. Et s’il plait à quelque partie de considérer nos galaxies sans lien les unes aux autres, notre univers sera alors notre galaxie.
Nous appelons donc univers ce qui est UN, ce qui est d’ailleurs un truisme, la notion d’unicité étant déjà, il me semble, comprise dans l’idée d’univers.
Mais cette notion d’unicité doit être encore précisée. Dans notre propos l’unicité ne désigne pas ce qui est unique en son genre, bien que cela ne l’exclut pas, mais ce qui fait corps, c'est-à-dire un organisme, un ensemble intégré, c'est-à-dire dont les parties sont interdépendantes, intimement imbriquées, se soutenant et subissant les influences les unes des autres.
En un mot, l’univers est un monde autonome intégré et non un ensemble d’éléments hétéroclites en déshérence.
Notre monde est-il celui-là ? Indéniablement, oui ! De la particule, de l’atome, de la molécule, du minéral, du végétal, de l’animal, du gazeux, du liquide et du solide, jusqu’aux planètes et au-delà, tout est nécessaire et tout se tient par la main pour danser une ronde.
Mais Dieu où est-il ? J’appelle Dieu « ce quelque chose », cet aimant qui fait que le monde est un ensemble intégré, qui fait que moi-même ne sois pas en ce moment désintégré en milliards de particules, mais soudé à moi-même et échangeant par la respiration et la digestion, le nerf et l’onde… avec cet univers.
Ce Dieu n’est toutefois pas encore Dieu et pourrait bien n’être que la Nature.
Que lui manque-t-il ? Il lui manque encore d'être sensible.
Or, sensible, il l’est. Il l’est, car tout ce qui est sentiment et pensée appartient à cet univers ; est, tout autant que le reste, en lui, par lui et de lui, résultat de causes et d’effets et de mouvements internes, peu importe les canaux, cœur ou cerveau, que sentiments et pensées empruntent. En lui, par lui et de lui, tout cela est, car en dehors de l’univers, il n’est nul ailleurs qui pourrait laisser supposer que tout cela pourrait venir d’ailleurs.
Voilà donc notre Dieu bien là, indéniablement. Tel que nous l’avons toujours imaginé à travers et malgré nos diverses versions, tenant lié tout à tout et en même temps pensant et sentant tout comme l’homme.
Il est le Miracle des miracles, invisible bien qu’il n’est nulle place où il ne soit.
Gloire à Toi, Ô Toi le Vainqueur, l’Unique, l’Eternel, qui triompha des ténèbres et vint à la lumière.