Evolutionnisme physiologique et évolution spirituelle.
Posté : 09 janv.15, 09:50
Si pour l’évolutionnisme il n’y a pas de déterminisme dans l’évolution, c'est-à-dire qu’elle n’est pas dirigée par un dieu, si pour l’évolutionnisme le hasard joue un rôle déterminant, si pour l’évolutionnisme c’est un fait qu’on ne va pas vers de plus en plus de complexité, qu’il n’y a pas de hiérarchie entre les espèces, qu’aucune espèce n’est supérieure à une autre et qu’elles sont toutes seulement différentes les unes des autres, que l’homme n’est qu’un simple animal ni plus ni moins évolué que les autres et que, en conséquence, l’idée d’un créateur intelligent ayant sciemment créé l’homme et poursuivant un dessein déterminé est donc infirmée.
Si donc telles sont les conclusions de l'évolutionnisme, il existe cependant un autre phénomène qui échappe à la paléontologie et qu’il faut plus que tout le reste prendre en considération : l’apparition de la conscience.
Quelle conscience et conscience de quoi ? La conscience est propre à l’homme, c’est cette faculté d’injecter du sens dans le monde, sans laquelle la signification du monde disparaitrait, cette faculté, cette lumière qui donne sens à chaque chose, qui dit ceci est un arbre et cela une vache et tant d'autres choses, qui reconnait chaque chose comme on reconnait la lettre d’un alphabet ou le mot d’une langue.
C’est cette faculté qui lui permet de voir du sens et de donner du sens, c’est elle qui lui dit que le monde a un sens, que la vie en a un, qu’il y a un Dieu ayant un dessein ; car sans Dieu et le dessein, il n’y aurait de sens nulle part, rien n'aurait de sens, alors qu’il y a cette phénoménale faculté réceptacle du sens, apparue après une longue évolution, mais certainement pas en vain.
Dès lors, il s’avère que, contrairement aux conclusions de l’évolutionnisme, il y a bien une évolution orientée, linéaire et progressive allant du plus simple au plus complexe, de l’obscurité à la lumière, graduellement lumineuse, avec deux pôles majeures : d’abord apparitions des organes sensoriels pour percevoir le monde, ses sons et ses lumières, c'est-à-dire son langage, après les ténèbres d’une nuit longues de plusieurs milliards d’années ; ensuite l’apparition de la conscience, lumière des lumières, pour dire à l’homme qu’il y a du sens en toute chose et qu’il y en a donc aussi pour la vie et pour le monde, c'est-à-dire qu’il y a un Dieu.
Si donc telles sont les conclusions de l'évolutionnisme, il existe cependant un autre phénomène qui échappe à la paléontologie et qu’il faut plus que tout le reste prendre en considération : l’apparition de la conscience.
Quelle conscience et conscience de quoi ? La conscience est propre à l’homme, c’est cette faculté d’injecter du sens dans le monde, sans laquelle la signification du monde disparaitrait, cette faculté, cette lumière qui donne sens à chaque chose, qui dit ceci est un arbre et cela une vache et tant d'autres choses, qui reconnait chaque chose comme on reconnait la lettre d’un alphabet ou le mot d’une langue.
C’est cette faculté qui lui permet de voir du sens et de donner du sens, c’est elle qui lui dit que le monde a un sens, que la vie en a un, qu’il y a un Dieu ayant un dessein ; car sans Dieu et le dessein, il n’y aurait de sens nulle part, rien n'aurait de sens, alors qu’il y a cette phénoménale faculté réceptacle du sens, apparue après une longue évolution, mais certainement pas en vain.
Dès lors, il s’avère que, contrairement aux conclusions de l’évolutionnisme, il y a bien une évolution orientée, linéaire et progressive allant du plus simple au plus complexe, de l’obscurité à la lumière, graduellement lumineuse, avec deux pôles majeures : d’abord apparitions des organes sensoriels pour percevoir le monde, ses sons et ses lumières, c'est-à-dire son langage, après les ténèbres d’une nuit longues de plusieurs milliards d’années ; ensuite l’apparition de la conscience, lumière des lumières, pour dire à l’homme qu’il y a du sens en toute chose et qu’il y en a donc aussi pour la vie et pour le monde, c'est-à-dire qu’il y a un Dieu.