Et si le Coran était le Nouvelle Torah: "Tora el Gaoula"!?
Posté : 31 janv.15, 07:27
Parmi les événements tragiques qui s’étaient déroulés un 17 Tamouz, Moché a cassé les premières Tables de la loi à la vue du veau d’or que les Bnei Israel avaient fait pendant qu’il recevait de H’ la Torah. Dans le Hayom Yom du 17 Tamouz, le Rabbi de Loubavitch rapporte plusieurs différences entre les premières et les deuxièmes Tables de la loi, parmi lesquelles :
1- "Lors du don de la Torah, mille lumières furent offertes en cadeau à Moché. Après la faute du Veau d’Or, elles lui furent retirées et ne lui furent pas restituées avec les secondes Tables de la Loi, (à l’exception du Chabbat, comme l’explique le Peri Ets ’Haïm). Les secondes Tables de la Loi possédèrent néanmoins une grande qualité : elles furent données avec les Hala’hot, le Midrach, les Agadot. " 2- "La qualité de la gravure, telle que l’expliquent nos Sages (Erouvin 54A), était possédée uniquement par les premières [Tables] . "
En constatant que les Bnei Israel ont commis la faute du veau d’or, alors que tout le peuple était témoin de la sortie d’Egypte avec les 10 plaies contre les Egyptiens, de l’ouverture de la Mer Morte, du don de la Torah au Mont Sinaï, et un certain nombre d’autres miracles, Moché Rabeinou a estimé que la Torah n’avait pas encore été intériorisée en eux. Ils l’avaient reçu au Mont Sinaï mais étaient encore trop imprégné de la culture idolâtre d’Egypte, que le passage par les eaux profondes de la Mer Morte n’avait pas suffi à épurer. Or les lettres gravées dans les Tables (il y a 600 000 lettres dans la Torah) représentent les 600 000 sources d’âmes d’Israel (600 000 hébreux sont sortis d’Egypte pour recevoir la Torah), et l’intériorisation de la Torah qu’ils reçoivent au point qu’elle soit gravée en eux. Dans ces Tables, les lettres y étaient gravées (cf. point 2) comme devaient être gravés la confiance en H’ et les enseignements de Torah reçus au Mont Sinaï. Il fallait alors pour les Bnei Israel, non encore prêts à un tel niveau d’intériorisation de la Torah, une Torah écrite par Moché, Torah d’une Lumière moins éblouissante (cf point 1), mais pour autant ayant un caractère supérieur (cf. point 1). Cette Torah nous préparerait à recevoir la "Torah nouvelle qui sortira de moi", selon la vision prophétique.
De la destruction du 2ème Beith Hamikdach, à l’instar des premières Tables, peut naître une construction plus haute, au jour où les sources profondes de la Torah auront été diffusées au sein du peuple d’Israel. C’est là le sens des prophéties d’Isaïe et des midrachim que rapporte le Rabbi : "Dans les prophéties d’Isaïe relatives à la Délivrance messianique, il est dit « Car la Torah sortira de Moi » (Isaïe 51, 4). Les Sages ont enseigné à ce propos dans le Midrache « Une nouvelle Torah sortira de Moi, une compréhension nouvelle de la Torah sortira de Moi » (Midrache Vayikra Rabba 13, 3), « Dans les Temps futurs, D-ieu siégera et expliquera la Torah nouvelle qui sera donnée à travers le Machia’h » (Midrache Yalkout Chimoni § 429). " (Discours du Rabbi du 2e jour de Chavouot 5751)
Le mois qui suit Tamouz est le mois d’Av, durant lequel le Beith Hamikdach a été détruit. Et ce même mois deviendra, selon la vision prophétique, un mois de consolation, appelé "Mena’hem Av", "consolation de Av", car Machia’h se révélera.
1- "Lors du don de la Torah, mille lumières furent offertes en cadeau à Moché. Après la faute du Veau d’Or, elles lui furent retirées et ne lui furent pas restituées avec les secondes Tables de la Loi, (à l’exception du Chabbat, comme l’explique le Peri Ets ’Haïm). Les secondes Tables de la Loi possédèrent néanmoins une grande qualité : elles furent données avec les Hala’hot, le Midrach, les Agadot. " 2- "La qualité de la gravure, telle que l’expliquent nos Sages (Erouvin 54A), était possédée uniquement par les premières [Tables] . "
En constatant que les Bnei Israel ont commis la faute du veau d’or, alors que tout le peuple était témoin de la sortie d’Egypte avec les 10 plaies contre les Egyptiens, de l’ouverture de la Mer Morte, du don de la Torah au Mont Sinaï, et un certain nombre d’autres miracles, Moché Rabeinou a estimé que la Torah n’avait pas encore été intériorisée en eux. Ils l’avaient reçu au Mont Sinaï mais étaient encore trop imprégné de la culture idolâtre d’Egypte, que le passage par les eaux profondes de la Mer Morte n’avait pas suffi à épurer. Or les lettres gravées dans les Tables (il y a 600 000 lettres dans la Torah) représentent les 600 000 sources d’âmes d’Israel (600 000 hébreux sont sortis d’Egypte pour recevoir la Torah), et l’intériorisation de la Torah qu’ils reçoivent au point qu’elle soit gravée en eux. Dans ces Tables, les lettres y étaient gravées (cf. point 2) comme devaient être gravés la confiance en H’ et les enseignements de Torah reçus au Mont Sinaï. Il fallait alors pour les Bnei Israel, non encore prêts à un tel niveau d’intériorisation de la Torah, une Torah écrite par Moché, Torah d’une Lumière moins éblouissante (cf point 1), mais pour autant ayant un caractère supérieur (cf. point 1). Cette Torah nous préparerait à recevoir la "Torah nouvelle qui sortira de moi", selon la vision prophétique.
De la destruction du 2ème Beith Hamikdach, à l’instar des premières Tables, peut naître une construction plus haute, au jour où les sources profondes de la Torah auront été diffusées au sein du peuple d’Israel. C’est là le sens des prophéties d’Isaïe et des midrachim que rapporte le Rabbi : "Dans les prophéties d’Isaïe relatives à la Délivrance messianique, il est dit « Car la Torah sortira de Moi » (Isaïe 51, 4). Les Sages ont enseigné à ce propos dans le Midrache « Une nouvelle Torah sortira de Moi, une compréhension nouvelle de la Torah sortira de Moi » (Midrache Vayikra Rabba 13, 3), « Dans les Temps futurs, D-ieu siégera et expliquera la Torah nouvelle qui sera donnée à travers le Machia’h » (Midrache Yalkout Chimoni § 429). " (Discours du Rabbi du 2e jour de Chavouot 5751)
Le mois qui suit Tamouz est le mois d’Av, durant lequel le Beith Hamikdach a été détruit. Et ce même mois deviendra, selon la vision prophétique, un mois de consolation, appelé "Mena’hem Av", "consolation de Av", car Machia’h se révélera.