Commémoration du Martyr de Sayyidatana Fatima Zahra sa
Posté : 04 mars15, 08:46
Commémoration du Martyr de Sayyidatana Fatima Zahra sa
Fatima Az -* Zahraa
Az-Zahrâ’ (Que la Paix de Dieu soit sur elle) : Incarnation vivante des valeurs spirituelles et humaines
Az-Zahrâ’ (Que la Paix de Dieu soit sur elle) : Communion spirituelle avec le Messager (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille)
Dieu, le Très Haut, dit dans Son Noble Livre : (( Dieu ne veut qu’écarter de vous la souillure, ô Gens de la Famille et vous purifier totalement )) (Coran XXXIII, 33 ). Notre Dame la Sainte Purifiée az-Zahrâ’ (Que la Paix de Dieu soit sur elle) est selon maintes Traditions Prophétiques, « la Maîtresse des femmes des mondes », « la Maîtresse des femmes des croyants », « la Maîtresse des femmes du Paradis » et « la Maîtresse de femmes de cette Nation ». Nous assistons à l’anniversaire de son passage à l’Autre-Monde.
Car d’après l’Imam Jaafar as-Sadeq (Que la Paix de Dieu soit sur lui), elle a vécu après la mort de son père, le Messager de Dieu (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille), pendant 75 jours. On rapporte qu’elle s’est présentée auprès du Prophète (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) alors qu’il agonisait ; Il l’a prise dans ses bras et, lui chuchotant quelque chose dans l’oreille, elle s’est mise à pleurer, puis il l’a prise dans ses bras et, lui chuchotant encore quelque chose dans l’oreille, elle a souri. On lui a dit alors : « Pourquoi tu as pleuré et pourquoi, ensuite, tu as souri ? ». Az-Zahrâ’ (Que la Paix de Dieu soit sur elle) a répondu : « Je ne suis pas celle qui divulgue le secret du Messager de Dieu (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) alors qu’il est encore en vie ».
Après sa mort, elle s’est expliquée ainsi : « La première fois, il m’a dit qu’il était sur le point de mourir ; et cela m’a fait pleuré. La seconde fois, il m’a dit que je serais la première des Membres de sa Famille à le rejoindre, et cela m’a fait sourire ». Elle voulait dire que leur séparation ne sera pas pour longtemps et qu’ils se rencontreront très prochainement.
Cela suggère la présence d’une relation spirituelle entre le Messager de Dieu (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) et az-Zahrâ’ (Que la Paix de Dieu soit sur elle). Imaginez une jeune femme de dix-huit ans qui est une épouse qui aime son époux et qui est aimée par son époux, qui est une mère qui aime ses enfants et qui est aimée par ses enfants qui sont encore à un âge où ils ont besoin de ses soins … et qui rit lorsque son père lui annonce qu’elle mourra de si peu. Cela s’explique par l’état spirituel que Fâtimah (Que la Paix de Dieu soit sur elle) vivait avec le Messager (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) qu’elle couvait de toute sa tendresse depuis la mort de sa mère. Depuis ses plus tendres années, elle le surveillait et l’accompagnait lorsqu’il allait à la mosquée pour faire sa prière. Elle voyait comment il était maltraité par les polythéistes et, petite fille, elle le soutenait de ses larmes. Il l’appelait « la Mère de son père ». Après l’hégire, elle vivait avec lui dans une même maison. Elle était la dernière à le voir lorsqu’il voyageait et la première à le voir lorsqu’il rentrait. Le Messager (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) retrouvait repos, calme, sérénité et tendresse dans la Maison d'Ali (Que la Paix de Dieu soit sur lui) et de Fâtimah (Que la Paix de Dieu soit sur elle), car cette maison incarnait l’Islam dans toutes ses valeurs, dans toutes ses significations, dans toute sa spiritualité et dans tout son jihad.
Au plus fort du sacrifice et d’altruisme:
Il savait que sa fille vivait avec le Seigneur toute la nuit jusqu’à l’aube. Selon son fils l’Imam al-Hassan (Que la Paix de Dieu soit sur lui) qui, très jeune enfant, la regardait tout en veillant, « elle priait jusqu’à voir ses pieds s’enfler ». Intelligent et particulièrement conscient, il était étonné de l’entendre prier pour les croyants et les croyantes sans le faire pour elle-même, elle qui est était fragile et faible à cause de son travail ménager et ses souffrances en faisant face à la déviance, et lui en demandant la raison, elle lui disait « Ô mon fils, le voisin avant la maison ».
Tels sont les caractères des Gens de la Famille (Que la Paix de Dieu soit sur eux). Leur satisfaction était celle de Dieu et leur colère était celle de Dieu. Le Prophète (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) a dit : « Fâtimah fait partie de moi ; celui qui la met en colère me met en colère », car -comme le Prophète (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille)- Fâtimah (Que la Paix de Dieu soit sur elle) n’était en colère contre quelqu’un que lorsqu’il s’éloignait de la vérité. Selon une autre Tradition, le Prophète (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) a dit : « Ma fille Fâtimah fait partie de moi ; ce qui ne lui plaît pas ne me plaît pas et ce qui lui porte préjudice me porte préjudice ». Ces Traditions sont transmises par al-Bukhârî et Muslim dans leurs deux « sihâh » (Authentiques).
source,: imane
Fatima Az -* Zahraa
Az-Zahrâ’ (Que la Paix de Dieu soit sur elle) : Incarnation vivante des valeurs spirituelles et humaines
Az-Zahrâ’ (Que la Paix de Dieu soit sur elle) : Communion spirituelle avec le Messager (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille)
Dieu, le Très Haut, dit dans Son Noble Livre : (( Dieu ne veut qu’écarter de vous la souillure, ô Gens de la Famille et vous purifier totalement )) (Coran XXXIII, 33 ). Notre Dame la Sainte Purifiée az-Zahrâ’ (Que la Paix de Dieu soit sur elle) est selon maintes Traditions Prophétiques, « la Maîtresse des femmes des mondes », « la Maîtresse des femmes des croyants », « la Maîtresse des femmes du Paradis » et « la Maîtresse de femmes de cette Nation ». Nous assistons à l’anniversaire de son passage à l’Autre-Monde.
Car d’après l’Imam Jaafar as-Sadeq (Que la Paix de Dieu soit sur lui), elle a vécu après la mort de son père, le Messager de Dieu (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille), pendant 75 jours. On rapporte qu’elle s’est présentée auprès du Prophète (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) alors qu’il agonisait ; Il l’a prise dans ses bras et, lui chuchotant quelque chose dans l’oreille, elle s’est mise à pleurer, puis il l’a prise dans ses bras et, lui chuchotant encore quelque chose dans l’oreille, elle a souri. On lui a dit alors : « Pourquoi tu as pleuré et pourquoi, ensuite, tu as souri ? ». Az-Zahrâ’ (Que la Paix de Dieu soit sur elle) a répondu : « Je ne suis pas celle qui divulgue le secret du Messager de Dieu (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) alors qu’il est encore en vie ».
Après sa mort, elle s’est expliquée ainsi : « La première fois, il m’a dit qu’il était sur le point de mourir ; et cela m’a fait pleuré. La seconde fois, il m’a dit que je serais la première des Membres de sa Famille à le rejoindre, et cela m’a fait sourire ». Elle voulait dire que leur séparation ne sera pas pour longtemps et qu’ils se rencontreront très prochainement.
Cela suggère la présence d’une relation spirituelle entre le Messager de Dieu (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) et az-Zahrâ’ (Que la Paix de Dieu soit sur elle). Imaginez une jeune femme de dix-huit ans qui est une épouse qui aime son époux et qui est aimée par son époux, qui est une mère qui aime ses enfants et qui est aimée par ses enfants qui sont encore à un âge où ils ont besoin de ses soins … et qui rit lorsque son père lui annonce qu’elle mourra de si peu. Cela s’explique par l’état spirituel que Fâtimah (Que la Paix de Dieu soit sur elle) vivait avec le Messager (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) qu’elle couvait de toute sa tendresse depuis la mort de sa mère. Depuis ses plus tendres années, elle le surveillait et l’accompagnait lorsqu’il allait à la mosquée pour faire sa prière. Elle voyait comment il était maltraité par les polythéistes et, petite fille, elle le soutenait de ses larmes. Il l’appelait « la Mère de son père ». Après l’hégire, elle vivait avec lui dans une même maison. Elle était la dernière à le voir lorsqu’il voyageait et la première à le voir lorsqu’il rentrait. Le Messager (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) retrouvait repos, calme, sérénité et tendresse dans la Maison d'Ali (Que la Paix de Dieu soit sur lui) et de Fâtimah (Que la Paix de Dieu soit sur elle), car cette maison incarnait l’Islam dans toutes ses valeurs, dans toutes ses significations, dans toute sa spiritualité et dans tout son jihad.
Au plus fort du sacrifice et d’altruisme:
Il savait que sa fille vivait avec le Seigneur toute la nuit jusqu’à l’aube. Selon son fils l’Imam al-Hassan (Que la Paix de Dieu soit sur lui) qui, très jeune enfant, la regardait tout en veillant, « elle priait jusqu’à voir ses pieds s’enfler ». Intelligent et particulièrement conscient, il était étonné de l’entendre prier pour les croyants et les croyantes sans le faire pour elle-même, elle qui est était fragile et faible à cause de son travail ménager et ses souffrances en faisant face à la déviance, et lui en demandant la raison, elle lui disait « Ô mon fils, le voisin avant la maison ».
Tels sont les caractères des Gens de la Famille (Que la Paix de Dieu soit sur eux). Leur satisfaction était celle de Dieu et leur colère était celle de Dieu. Le Prophète (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) a dit : « Fâtimah fait partie de moi ; celui qui la met en colère me met en colère », car -comme le Prophète (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille)- Fâtimah (Que la Paix de Dieu soit sur elle) n’était en colère contre quelqu’un que lorsqu’il s’éloignait de la vérité. Selon une autre Tradition, le Prophète (Que la Paix de Dieu soit sur lui et sur sa famille) a dit : « Ma fille Fâtimah fait partie de moi ; ce qui ne lui plaît pas ne me plaît pas et ce qui lui porte préjudice me porte préjudice ». Ces Traditions sont transmises par al-Bukhârî et Muslim dans leurs deux « sihâh » (Authentiques).
source,: imane