Partager au lieu de voler
Posté : 08 déc.04, 07:46
Mentir voler et tuer au lieu de PARTAGERR =
La faim gagne du terrain
Associated Press (AP) 08/12/2004 10h54
© AP
La faim et la malnutrition tuent chaque année plus de cinq millions d'enfants dans le monde, situation «inacceptable» que des investissements limités par rapport aux bénéfices espérés pourrait éviter, selon le rapport annuel de l'Organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture publié aujourd'hui à Rome, siège de la FAO.
D'après ce rapport, L'état de l'insécurité alimentaire dans le monde 2004, on recensait 852 millions de personnes sous-alimentées dans le monde en 2000-2002, soit 18 millions de plus par rapport à la période 1995-1997. Les coûts humains et économiques de la faim ne feront qu'augmenter si la tendance n'est pas inversée, souligne la FAO.
Sur les 852 millions de sous-alimentés, 815 millions vivent dans les pays sous-développés, 28 millions dans les pays en voie de développement et neuf millions dans le monde industrialisé.
«Chaque année, plus de 20 millions de bébés souffrant d'insuffisance pondérale voient le jour dans les pays en développement», indique la FAO en soulignant que ces nouveau-nés «partent perdants dans la vie. Ils courent le risque de mourir en bas âge et, pour ceux qui survivent, de souffrir de problèmes physiques ou mentaux tout au long de leur existence».
Sans les coûts directs résultant des mesures prises pour remédier aux dégâts que provoque la faim, des fonds supplémentaires seraient disponibles pour relever d'autres problèmes sociaux. «Une estimation très approximative chiffre ces coûts directs à environ 30 milliards de dollars par an, soit plus de cinq fois le montant consacré jusqu'à présent au Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme», d'après la FAO.
Il convient, en outre, de comptabiliser les coûts indirects que représente la perte de productivité et de revenus. À titre d'exemple, selon le rapport, la persistance des niveaux actuels de malnutrition chez les enfants entraînerait, tout au long de leur vie, des pertes de productivité et de revenus variant entre 500 milliards et 1000 milliards en dollars, en valeur actuelle.
Ces coûts, directs ou indirects, sont «inacceptables non seulement en termes absolus, mais en comparaison de ce qu'il en coûterait pour prévenir et éliminer la faim et la sous-alimentation». Chaque dollar investi dans des interventions visant à la réduction de la faim rapporterait l'équivalent de 5 à 20 dollars, note le rapport.
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Et la gang à Bush et ses imitateurs dépensent plus de 1000 milliard de $ US en armes CHAQUE ANNÉE servant à commettre les génocides et les massacres connus contre les peuples désarmés mais riche en matièrres premières inexploitées. HONTE sur eux
La faim gagne du terrain
Associated Press (AP) 08/12/2004 10h54
© AP
La faim et la malnutrition tuent chaque année plus de cinq millions d'enfants dans le monde, situation «inacceptable» que des investissements limités par rapport aux bénéfices espérés pourrait éviter, selon le rapport annuel de l'Organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture publié aujourd'hui à Rome, siège de la FAO.
D'après ce rapport, L'état de l'insécurité alimentaire dans le monde 2004, on recensait 852 millions de personnes sous-alimentées dans le monde en 2000-2002, soit 18 millions de plus par rapport à la période 1995-1997. Les coûts humains et économiques de la faim ne feront qu'augmenter si la tendance n'est pas inversée, souligne la FAO.
Sur les 852 millions de sous-alimentés, 815 millions vivent dans les pays sous-développés, 28 millions dans les pays en voie de développement et neuf millions dans le monde industrialisé.
«Chaque année, plus de 20 millions de bébés souffrant d'insuffisance pondérale voient le jour dans les pays en développement», indique la FAO en soulignant que ces nouveau-nés «partent perdants dans la vie. Ils courent le risque de mourir en bas âge et, pour ceux qui survivent, de souffrir de problèmes physiques ou mentaux tout au long de leur existence».
Sans les coûts directs résultant des mesures prises pour remédier aux dégâts que provoque la faim, des fonds supplémentaires seraient disponibles pour relever d'autres problèmes sociaux. «Une estimation très approximative chiffre ces coûts directs à environ 30 milliards de dollars par an, soit plus de cinq fois le montant consacré jusqu'à présent au Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme», d'après la FAO.
Il convient, en outre, de comptabiliser les coûts indirects que représente la perte de productivité et de revenus. À titre d'exemple, selon le rapport, la persistance des niveaux actuels de malnutrition chez les enfants entraînerait, tout au long de leur vie, des pertes de productivité et de revenus variant entre 500 milliards et 1000 milliards en dollars, en valeur actuelle.
Ces coûts, directs ou indirects, sont «inacceptables non seulement en termes absolus, mais en comparaison de ce qu'il en coûterait pour prévenir et éliminer la faim et la sous-alimentation». Chaque dollar investi dans des interventions visant à la réduction de la faim rapporterait l'équivalent de 5 à 20 dollars, note le rapport.
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Et la gang à Bush et ses imitateurs dépensent plus de 1000 milliard de $ US en armes CHAQUE ANNÉE servant à commettre les génocides et les massacres connus contre les peuples désarmés mais riche en matièrres premières inexploitées. HONTE sur eux
