Tolérance ?
Posté : 19 juil.15, 19:39
"Les lois que Dieu avait données à la nation d’Israël montraient elles aussi qu’il se souciait de toutes les nations. Il est intéressant de noter que la Loi requérait davantage qu’une simple tolérance à l’égard des non-Israélites qui résidaient dans le pays. “ Le résident étranger qui réside comme étranger chez vous deviendra pour vous comme un indigène d’entre vous, précisait-elle ; et tu dois l’aimer comme toi-même, car vous êtes devenus des résidents étrangers au pays d’Égypte. ” (Lévitique 19:34). Nombre des lois de Dieu apprenaient aux Israélites à faire preuve de bonté envers les immigrés. Ainsi, lorsque Boaz, un ancêtre de Jésus, a vu une étrangère nécessiteuse glaner, il a agi en harmonie avec ce qu’il avait appris de Dieu. Il s’est assuré que ses moissonneurs laissaient une bonne quantité de grain à glaner. — Ruth 2:1, 10, 16." TG 1/7/2007 page 5.
"Excommunication ou exclusion judiciaire privant des transgresseurs de l’appartenance à une communauté ou à une organisation et de la fréquentation de ses membres. C’est un principe et un droit inhérents aux sociétés religieuses. Ils sont comparables aux pouvoirs qu’exercent les organismes politiques et municipaux de condamner à la peine capitale, de bannir et d’exclure d’une collectivité. Dans la congrégation de Dieu, cette mesure est destinée à préserver la pureté doctrinale et morale de l’organisation. L’exercice de ce droit est nécessaire à la préservation de l’existence de l’organisation et particulièrement de la congrégation chrétienne. La congrégation doit rester pure et garder la faveur de Dieu pour être utilisée par lui et le représenter, sans quoi Dieu rejetterait ou retrancherait la congrégation tout entière. — Ré 2:5 ; 1Co 5:5, 6.
" - Perspicace page 853
"Excommunication ou exclusion judiciaire privant des transgresseurs de l’appartenance à une communauté ou à une organisation et de la fréquentation de ses membres. C’est un principe et un droit inhérents aux sociétés religieuses. Ils sont comparables aux pouvoirs qu’exercent les organismes politiques et municipaux de condamner à la peine capitale, de bannir et d’exclure d’une collectivité. Dans la congrégation de Dieu, cette mesure est destinée à préserver la pureté doctrinale et morale de l’organisation. L’exercice de ce droit est nécessaire à la préservation de l’existence de l’organisation et particulièrement de la congrégation chrétienne. La congrégation doit rester pure et garder la faveur de Dieu pour être utilisée par lui et le représenter, sans quoi Dieu rejetterait ou retrancherait la congrégation tout entière. — Ré 2:5 ; 1Co 5:5, 6.
" - Perspicace page 853