Emmanuel LEVYNE : Le sionisme est né en Allemagne
Posté : 03 janv.05, 05:50
SOURCE: Emmanuel LEVYNE "JUDAISME contre SIONISME" editions Cujas,
Paris 1969.
DISCOURS D’OUVERTURE
Le Sionisme est né en Allemagne
Le 5 Iyar, jour anniversaire de la création de l’État d’Israël, les Juifs des ghettos de Jérusalem jeûnent et pleurent...
Ils savent que l’etat d’israël est une production allemande. Israël n’est Qu’une étiquette.
Le contenu est d’origine germanique.
En 1911, dans une brochure intitulée « Le Sionisme » et préfacé par M. Anatole Leroy-Beaulieu, Angel Marvaud écrivait :
« Le sionisme, fondé par un Autrichien et à la tête duquel encore aujourd’hui dominent des Allemands, s’inspire manifestement de l’idée de race, surtout en honneur dans les pays germaniques (...) .
« Le sionisme est une oeuvre surtout allemande. Allemands sont la presque totalité de ses chefs. Cologne est son quartier général et son organe officiel « die Welt » se publie en langue allemande. Dans la lutte, encore à ses débuts mais déjà redoutable, menée par les sionistes contre l’Aliance Israélite Universelle et l’influence française sur quelle autorité se reposeraient-ils si ce n’est sur les représentants d’Allemagne ou d’Autriche (...).
« Le Sionisme, à l’heure actuelle, peut sembler un mouvement encore très vague : il importe d’autant plus de l’étudier et d’en suivre l’évolution avec une extrême attention. Les dangers qu’il contient pour notre influence en Orient ne
sont pas contestables : nous croyons l’avoir suffisamment démontré. Que de plus, ce mouvement serve les intérêts de l’Allemagne, sela nous semble également évident (...).
« Pour l’Allemagne, non seulement l’antisémitisme n’est pas un article d’exportation, mais encore le sémitisme peut devenir un incomparable instrument d’impêrialisme. »
En 1965, le journaliste Arnold Mandel, dans la revue du Fonds Social Juif Unifié, « L’Arche) (n° 98, mars 1965), écrit :
« Faut-il rappeler que le sionisme, en tant qu’idéologie politique, est une émanation et un transfert juifs, du jeune nationalisme allemand libéral du temps des romantiques, qu’il est le « Sturm und Drang » juif, venu après l’ « ère des lumières » juive, reproduisant ainsi, avec un décalage dans le temps, une évolution proprement allemande ?
Certains n’aiment pas que l’on dise cela. « L’État juif » de Herzl ayant été élaboré à Paris, ils aiment mieux croire que le « grand dessein » en question doit quelque chose au charme planant au-dessus de la Place de la Concorde. Mais, en vérité, Herzl était intellectuellement, spirituellement et linguistiquement un Juif allemand, de même que Max Nordau. La littérature sioniste classique est à peu près entièrement de langue allemande. Même les idéologues sionistes originaires de l’Est de l’Europe, comme Klatzkin ou le précurseur anti- herzlien du sionisme, Pinsker ( « l’Auto-émancipation » ) écrivaient en allemand. Le siège de l’organisation sioniste mondiale était pendant longtemps à Cologne. Les congrès sionistes avant l’indépendance d’Israël se tenaient presque tous dans une cité alémanique (sinon allemande), à Bâle, sur les bords du Rhin et les débats se déroulaient surtout en allemand, en sorte qu’historiquement le sionisme c’est encore en grande partie du judaïsme allemand. »
<img src="http://www.ribaat.org/services/forum/at ... 1498&stc=1" align="left">Dans son acticle retentissant, publié dans le n° 158 de la revue « Les Temps Modernes », le journaliste israélien Uri Avnery, écrivait : « Avant sa mort, Herzl lui même essaya d’obtenir l’aide du Sultan turc Abd-ul-Hamid, ennemi juré du nationalisme arabe. Cette tentative ayant échoué, il tenta d’obtenir le patronage du Kaiser. Il rencontra donc Guillaume officiellement et lui offrit pratiquement une alliance entre une communauté sioniste de Palestine parlant allemand et l’impéralisme allemand. »
Soutenir l’État d’Israël, c’est soutenir une oeuvre coloniale allemande.
Ce n’est pas être sioniste, c’est être germanophile.
Défendre l’etat d'israel, c’est ,en réalité , faire acte d’antisémitisme - et cela littéralement.
C’est fortifier l’impérialisme allemand et la race aryenne dans sa haine instinctive de la race sémite.
L’Allemagne livre des armes et des techniciens à la fois aux Israéliens et aux Arabes afin que les peuples sémites se massacrent et s’exterminent.
L ‘ Allemagne d’ Adenauer poursuit l’oeuvre de Hitler - et plus efficacement encore car plus intelligemment et moins grossièrement.
Le « Judenstaat » est une bombe inventée par le génie allemand pour faire sauter le monde d’ Abraham.
En ce 5 Iyar, jour anniversaire de la création de l’État d’Israël, né du péché et de l’iniquité du monde occidental et de sa civilisation infernale qui a abouti au nazisme et à l’univers concentrationnaire, Juifs et Chrétiens, fidèles aux valeurs spirituelles bibliques - si essentiellement respectueuses de la personne humaine et opposées à la Raison d’État - avec les Juifs pieux et pauvres des ghettos de Jérusalem, les « Netourei Karta « , jeûnons et pleurons...
Disciples des Prophètes d’Israël, levons-nous et sons dire Non ! à l’Etat d’Israël !
Non ! à l’Allemagne !
Car l’État d’Israël c’est l’Allemagne.
On ne peut dire Non à l’Allemagne armée et criminelle sans dire Non à l’État d’Israël (I).
**********************************************************
(I) En effet, les événements actuels (échange d’ambassadeurs entre l’AHemagne et Israël) montrent clairement que l’Etat d’Israël ne peut se passer des armes allemandes. Si donc on veut que l’Etat d’Israël continue, il faut renoncer à exiger le désarmement de l’Allemagne, c’est.à.dire des assassins de 6000 000 de Juifs. L’existence de l’Etat d’Israël justifie moralement le réarmement allemand, qui, demain, si la raison d’Etat le commande, servira de nouveau à exterminer les Juifs de l’exil, et en attendant les nations adverses.
Paris 1969.
DISCOURS D’OUVERTURE
Le Sionisme est né en Allemagne
Le 5 Iyar, jour anniversaire de la création de l’État d’Israël, les Juifs des ghettos de Jérusalem jeûnent et pleurent...
Ils savent que l’etat d’israël est une production allemande. Israël n’est Qu’une étiquette.
Le contenu est d’origine germanique.
En 1911, dans une brochure intitulée « Le Sionisme » et préfacé par M. Anatole Leroy-Beaulieu, Angel Marvaud écrivait :
« Le sionisme, fondé par un Autrichien et à la tête duquel encore aujourd’hui dominent des Allemands, s’inspire manifestement de l’idée de race, surtout en honneur dans les pays germaniques (...) .
« Le sionisme est une oeuvre surtout allemande. Allemands sont la presque totalité de ses chefs. Cologne est son quartier général et son organe officiel « die Welt » se publie en langue allemande. Dans la lutte, encore à ses débuts mais déjà redoutable, menée par les sionistes contre l’Aliance Israélite Universelle et l’influence française sur quelle autorité se reposeraient-ils si ce n’est sur les représentants d’Allemagne ou d’Autriche (...).
« Le Sionisme, à l’heure actuelle, peut sembler un mouvement encore très vague : il importe d’autant plus de l’étudier et d’en suivre l’évolution avec une extrême attention. Les dangers qu’il contient pour notre influence en Orient ne
sont pas contestables : nous croyons l’avoir suffisamment démontré. Que de plus, ce mouvement serve les intérêts de l’Allemagne, sela nous semble également évident (...).
« Pour l’Allemagne, non seulement l’antisémitisme n’est pas un article d’exportation, mais encore le sémitisme peut devenir un incomparable instrument d’impêrialisme. »
En 1965, le journaliste Arnold Mandel, dans la revue du Fonds Social Juif Unifié, « L’Arche) (n° 98, mars 1965), écrit :
« Faut-il rappeler que le sionisme, en tant qu’idéologie politique, est une émanation et un transfert juifs, du jeune nationalisme allemand libéral du temps des romantiques, qu’il est le « Sturm und Drang » juif, venu après l’ « ère des lumières » juive, reproduisant ainsi, avec un décalage dans le temps, une évolution proprement allemande ?
Certains n’aiment pas que l’on dise cela. « L’État juif » de Herzl ayant été élaboré à Paris, ils aiment mieux croire que le « grand dessein » en question doit quelque chose au charme planant au-dessus de la Place de la Concorde. Mais, en vérité, Herzl était intellectuellement, spirituellement et linguistiquement un Juif allemand, de même que Max Nordau. La littérature sioniste classique est à peu près entièrement de langue allemande. Même les idéologues sionistes originaires de l’Est de l’Europe, comme Klatzkin ou le précurseur anti- herzlien du sionisme, Pinsker ( « l’Auto-émancipation » ) écrivaient en allemand. Le siège de l’organisation sioniste mondiale était pendant longtemps à Cologne. Les congrès sionistes avant l’indépendance d’Israël se tenaient presque tous dans une cité alémanique (sinon allemande), à Bâle, sur les bords du Rhin et les débats se déroulaient surtout en allemand, en sorte qu’historiquement le sionisme c’est encore en grande partie du judaïsme allemand. »
<img src="http://www.ribaat.org/services/forum/at ... 1498&stc=1" align="left">Dans son acticle retentissant, publié dans le n° 158 de la revue « Les Temps Modernes », le journaliste israélien Uri Avnery, écrivait : « Avant sa mort, Herzl lui même essaya d’obtenir l’aide du Sultan turc Abd-ul-Hamid, ennemi juré du nationalisme arabe. Cette tentative ayant échoué, il tenta d’obtenir le patronage du Kaiser. Il rencontra donc Guillaume officiellement et lui offrit pratiquement une alliance entre une communauté sioniste de Palestine parlant allemand et l’impéralisme allemand. »
Soutenir l’État d’Israël, c’est soutenir une oeuvre coloniale allemande.
Ce n’est pas être sioniste, c’est être germanophile.
Défendre l’etat d'israel, c’est ,en réalité , faire acte d’antisémitisme - et cela littéralement.
C’est fortifier l’impérialisme allemand et la race aryenne dans sa haine instinctive de la race sémite.
L’Allemagne livre des armes et des techniciens à la fois aux Israéliens et aux Arabes afin que les peuples sémites se massacrent et s’exterminent.
L ‘ Allemagne d’ Adenauer poursuit l’oeuvre de Hitler - et plus efficacement encore car plus intelligemment et moins grossièrement.
Le « Judenstaat » est une bombe inventée par le génie allemand pour faire sauter le monde d’ Abraham.
En ce 5 Iyar, jour anniversaire de la création de l’État d’Israël, né du péché et de l’iniquité du monde occidental et de sa civilisation infernale qui a abouti au nazisme et à l’univers concentrationnaire, Juifs et Chrétiens, fidèles aux valeurs spirituelles bibliques - si essentiellement respectueuses de la personne humaine et opposées à la Raison d’État - avec les Juifs pieux et pauvres des ghettos de Jérusalem, les « Netourei Karta « , jeûnons et pleurons...
Disciples des Prophètes d’Israël, levons-nous et sons dire Non ! à l’Etat d’Israël !
Non ! à l’Allemagne !
Car l’État d’Israël c’est l’Allemagne.
On ne peut dire Non à l’Allemagne armée et criminelle sans dire Non à l’État d’Israël (I).
**********************************************************
(I) En effet, les événements actuels (échange d’ambassadeurs entre l’AHemagne et Israël) montrent clairement que l’Etat d’Israël ne peut se passer des armes allemandes. Si donc on veut que l’Etat d’Israël continue, il faut renoncer à exiger le désarmement de l’Allemagne, c’est.à.dire des assassins de 6000 000 de Juifs. L’existence de l’Etat d’Israël justifie moralement le réarmement allemand, qui, demain, si la raison d’Etat le commande, servira de nouveau à exterminer les Juifs de l’exil, et en attendant les nations adverses.