Comment faut-il traiter tes criminels ?
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Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 04 nov.15, 13:17Comment faut-il traiter tes criminels ?
(78.1) Question. - Faut-il punir un criminel, ou lui pardonner et fermer les yeux sur son crime ? Réponse. - Il y' a deux sortes de punitions compensatoires : l'une est une vengeance, l'autre une correction. Mais l'homme n'a pas le droit de se venger, tandis que les communautés ont le droit de corriger un criminel.
(78.2) Et cette correction a pour but de prévenir et de prohiber, afin que personne d'autre n'ose commettre un tel crime. Cette correction sert à protéger les droits de l'homme, mais non à le venger; car la vengeance apaise le coeur en opposant un mal à un autre, ce qui n'est pas permis, l'homme n'ayant pas le droit de se venger.
(78.3) Mais comme, si les criminels étaient complètement absous, l'ordre du monde disparaîtrait, la correction est devenue une des nécessités indispensables au maintien des communautés.
(78.4) Mais un opprimé, victime d'une iniquité, n'a pas le droit de vengeance : au contraire, le pardon et la bienveillance s'imposent et sont dignes du monde de l'homme.
(78.5) Quant aux communautés, elles doivent corriger le méchant, le meurtrier, l'agresseur, afin de prévenir et d'empêcher autrui de commettre un crime.
(78.6) Mais au fond, ce qu'il faut, c'est donner aux hommes une éducation telle qu'il ne se commette pas de crimes; car il est possible de donner aux masses unetelle éducation, qu'elles évitent et redoutent de perpétrer des crimes, au point que pour elles le crime lui-même serait la plus grande punition, l'interdiction et la correction suprêmes; alors il n'y aurait plus de crimes à corriger.
(78.7) Et nous ne voulons parler que de choses dont l'exécution soit possible dans ce monde. II y a sur ce sujet des théories et des opinions nombreuses, mais qui sont inexécutables; par conséquent, nous devons parler uniquement de choses exécutables.
(78.8) Par exemple, si quelqu'un en maltraite un autre, le violente, l'opprime, et que cet autre lui oppose la même chose, c'est une vengeance qu'on doit blâmer.
(78.9) Car si Pierre tue le fils de Paul, Paul n'a pas le droit de tuer le fils de Pierre; s'il le ait, il se venge. Si Pierre ravit l'honneur de Paul, ce dernier n'a pas le droit de lui ravir son honneur; s'il le ait, il se venge, ce qui est très répréhensible.
(78.10) Au contraire, il faut rendre le bien pour le mal, pardonner; bien plus, si c'est Possible, rendre service à son oppresseur. Voilà l'attitude qui convient à l'homme; car, quel fruit retire-t-il de la vengeance ? Les deux actes se valent : si l'un est répréhensible, l'autre l'est aussi. La différence est que l'un a commencé, l'autre a continué.
(78.11) Mais les sociétés ont le droit de se protéger et de se préserver, car les communautés n'ont pas de haine ni d'animosité contre le meurtrier; et si elles emprisonnent ou corrigent le meurtrier, c'est dans le seul but de protéger la masse et de la mettre à l'abri des crimes.
(78.12) Ce n'est pas par esprit de vengeance, mais par esprit de correction, et pour que, grâce à cette correction, la communauté soit protégée. Autrement, si les héritiers de la victime, ainsi que la communauté, pardonnaient et rendaient le bien pour le mal, les criminels commettraient fréquemment des violences, il y aurait à chaque instant des assassinats, et des êtres barbares comme des loups dévoreraient les troupeaux de Dieu.
(78.13) Les communautés, lorsqu'elles corrigent, n'ont pas de mauvaises intentions ni de rancunes; elles ne cherchent pas à apaiser leur coeur; leur seul but est de protéger les autres, afin que nul ne commette une action aussi abominable.
(78.14) Donc, lorsque le Christ disait : "Si quelqu'un te frappe le côté droit, offre le côté gauche", c'était pour faire l'éducation des hommes. II ne voulait pas dire que si un loup tombait au milieu d'un troupeau de moutons et voulait le détruire, il faudrait l'encourager. Non, si le Christ avait vu un loup entrer au milieu d'un troupeau de moutons pour le détruire en entier, sans aucun doute, il l'en aurait empêché. ( voir aussi: Renvoi 555)
(78.15) Et comme le pardon est un des attributs du Miséricordieux, la justice aussi est un attribut du Seigneur. La tente de l'existence repose sur le pilier de la justice, et non sur le pardon; la préservation de l'espèce humaine dépend de la justice et non du pardon.
(78.16) De même, si aujourd'hui, dans tous les pays du monde, la loi du pardon était répandue, en un instant le monde serait détruit, et les fondements de la vie humaine s'écrouleraient.
(78.17) C'est ainsi que, si le fameux Attila n'avait pas été combattu par les Etats de l'Europe, il n'aurait pas laissé un seul homme vivant.
(78.18) II y a des êtres qui sont comme des loups sanguinaires 'ils voient qu'ils n'ont pas à redouter la correction, ils assassineront des hommes, uniquement pour leur plaisir, leur distraction et leur satisfaction.
(78.19) Un des tyrans de la Perse tua son précepteur uniquement pour rire, en manière de plaisanterie et de jeu. Le fameux Abbasside Motawakkil réunissait en sa présence les ministres, les conseillers et les fonctionnaires, puis il répandait dans la réunion une boîte de scorpions et interdisait à qui que ce fût de bouger; et lorsque les scorpions piquaient les ministres, il éclatait de rire bruyamment.
(78.20) Bref, la constitution des communautés dépend de la justice et non du pardon.
(78.21) Et quand il parlait de pardon et de bienveillance, le Christ ne voulait pas dire que, si les autres nations vous attaquent, brûlent vos maisons, ravagent vos biens, oppriment vos femmes, vos enfants, vos proches, ravissent votre bonheur, vous devez vous résigner devant cette bande malfaisante et les laisser accomplir toutes les cruautés et toutes les oppressions. Non, le Christ parlait de la conduite à tenir pour deux individus : si l'un en opprime un autre, l'opprimé doit pardonner. Mais les communautés ont à protéger les droits de l'individu.
(78.22) Ainsi, si quelqu'un m'opprime, me cause du mal et des tourments ou me fait une blessure, je ne lui résisterai nullement, et même je lui pardonnerai. Mais si quelqu'un veut opprimer siyyid Menshadi(a), certes je l'en empêcherai.
(78.23) Bien que, pour le criminel, la non-résistance soit en apparence de la bienveillance, pour Menshadi, ce serait de la cruauté que de ne pas le défendre!
(78.24) Si en ce moment, un sauvage arabe entrait en ce lieu et, de son épée tirée, voulait vous frapper, vous blesser, vous tuer, certes je l'en empêcherais; si je vous abandonnais à lui, ce serait de la tyrannie, non de la justice. Mais s'il me blessait moi-même, je lui pardonnerais.
(78.25) II reste une autre chose à remarquer : c'est que les communautés sont, nuit et jour, occupées à confectionner des lois pénales, à préparer et à organiser des instruments et des armes de correction; elles construisent des prisons, elles préparent des chaînes, organisent des lieux variés de bannissement, d'exil, de relégation et de tortures afin de corriger par ces moyens les criminels, bien que ces moyens soient destructifs de la moralité et du caractère. Au lieu de cela, les communautés devraient, jour et nuit, s'efforcer, avec la dernière ardeur, de faire l'éducation des hommes, de les faire progresser de jour en jour, augmenter en science et en savoir, acquérir des vertus, prendre de bonnes moeurs, fuir les vices, afin qu'il ne se commette plus de crimes.
(78.26) Au contraire, en ce moment, les communautés pensent uniquement à rendre plus sévères les lois pénales, à préparer des moyens de correction, des instruments de mise à mort et de torture, des lieux de détention et d'exil; et elles attendent qu'un crime se produise. Ceci a un grand effet démoralisateur.
(78.27) Mais si elles s'efforçaient de faire l'éducation des masses, de répandre tous les jours de plus en plus l'instruction et la science, l'intelligence s'ouvrirait, les sentiments progresseraient, les moeurs s'amélioreraient et les coutumes deviendraient saines; en un mot, dans tous les ordres de perfection, il y aurait du progrès, et le nombre des crimes diminuerait.
(78.28) Il a été établi que les crimes sont moins fréquents chez les peuples civilisés, c'est-à-dire chez ceux qui ont acquis la vraie civilisation, la civilisation divine, la civilisation de Celui qui réunit toutes les perfections physiques et spirituelles.
(78.29) Et comme l'ignorance est la cause des crimes, plus le savoir et les sciences progressent, plus les crimes diminuent.
(78.30) Voyez les barbares de l'Afrique, combien de meurtres se commettent chez eux! au point que, se tuant les uns les autres, ils mangent leur propre chair et leur sang! Pourquoi de tels actes de sauvagerie ne se passent-ils pas en Suisse par exemple? La raison en est claire : c'est l'éducation, la science.
(78.31) Donc, les communautés doivent songer à empêcher les crimes de se produire plutôt qu'à punir sévèrement les criminels, et à leur infliger des corrections terribles.
(78.1) Question. - Faut-il punir un criminel, ou lui pardonner et fermer les yeux sur son crime ? Réponse. - Il y' a deux sortes de punitions compensatoires : l'une est une vengeance, l'autre une correction. Mais l'homme n'a pas le droit de se venger, tandis que les communautés ont le droit de corriger un criminel.
(78.2) Et cette correction a pour but de prévenir et de prohiber, afin que personne d'autre n'ose commettre un tel crime. Cette correction sert à protéger les droits de l'homme, mais non à le venger; car la vengeance apaise le coeur en opposant un mal à un autre, ce qui n'est pas permis, l'homme n'ayant pas le droit de se venger.
(78.3) Mais comme, si les criminels étaient complètement absous, l'ordre du monde disparaîtrait, la correction est devenue une des nécessités indispensables au maintien des communautés.
(78.4) Mais un opprimé, victime d'une iniquité, n'a pas le droit de vengeance : au contraire, le pardon et la bienveillance s'imposent et sont dignes du monde de l'homme.
(78.5) Quant aux communautés, elles doivent corriger le méchant, le meurtrier, l'agresseur, afin de prévenir et d'empêcher autrui de commettre un crime.
(78.6) Mais au fond, ce qu'il faut, c'est donner aux hommes une éducation telle qu'il ne se commette pas de crimes; car il est possible de donner aux masses unetelle éducation, qu'elles évitent et redoutent de perpétrer des crimes, au point que pour elles le crime lui-même serait la plus grande punition, l'interdiction et la correction suprêmes; alors il n'y aurait plus de crimes à corriger.
(78.7) Et nous ne voulons parler que de choses dont l'exécution soit possible dans ce monde. II y a sur ce sujet des théories et des opinions nombreuses, mais qui sont inexécutables; par conséquent, nous devons parler uniquement de choses exécutables.
(78.8) Par exemple, si quelqu'un en maltraite un autre, le violente, l'opprime, et que cet autre lui oppose la même chose, c'est une vengeance qu'on doit blâmer.
(78.9) Car si Pierre tue le fils de Paul, Paul n'a pas le droit de tuer le fils de Pierre; s'il le ait, il se venge. Si Pierre ravit l'honneur de Paul, ce dernier n'a pas le droit de lui ravir son honneur; s'il le ait, il se venge, ce qui est très répréhensible.
(78.10) Au contraire, il faut rendre le bien pour le mal, pardonner; bien plus, si c'est Possible, rendre service à son oppresseur. Voilà l'attitude qui convient à l'homme; car, quel fruit retire-t-il de la vengeance ? Les deux actes se valent : si l'un est répréhensible, l'autre l'est aussi. La différence est que l'un a commencé, l'autre a continué.
(78.11) Mais les sociétés ont le droit de se protéger et de se préserver, car les communautés n'ont pas de haine ni d'animosité contre le meurtrier; et si elles emprisonnent ou corrigent le meurtrier, c'est dans le seul but de protéger la masse et de la mettre à l'abri des crimes.
(78.12) Ce n'est pas par esprit de vengeance, mais par esprit de correction, et pour que, grâce à cette correction, la communauté soit protégée. Autrement, si les héritiers de la victime, ainsi que la communauté, pardonnaient et rendaient le bien pour le mal, les criminels commettraient fréquemment des violences, il y aurait à chaque instant des assassinats, et des êtres barbares comme des loups dévoreraient les troupeaux de Dieu.
(78.13) Les communautés, lorsqu'elles corrigent, n'ont pas de mauvaises intentions ni de rancunes; elles ne cherchent pas à apaiser leur coeur; leur seul but est de protéger les autres, afin que nul ne commette une action aussi abominable.
(78.14) Donc, lorsque le Christ disait : "Si quelqu'un te frappe le côté droit, offre le côté gauche", c'était pour faire l'éducation des hommes. II ne voulait pas dire que si un loup tombait au milieu d'un troupeau de moutons et voulait le détruire, il faudrait l'encourager. Non, si le Christ avait vu un loup entrer au milieu d'un troupeau de moutons pour le détruire en entier, sans aucun doute, il l'en aurait empêché. ( voir aussi: Renvoi 555)
(78.15) Et comme le pardon est un des attributs du Miséricordieux, la justice aussi est un attribut du Seigneur. La tente de l'existence repose sur le pilier de la justice, et non sur le pardon; la préservation de l'espèce humaine dépend de la justice et non du pardon.
(78.16) De même, si aujourd'hui, dans tous les pays du monde, la loi du pardon était répandue, en un instant le monde serait détruit, et les fondements de la vie humaine s'écrouleraient.
(78.17) C'est ainsi que, si le fameux Attila n'avait pas été combattu par les Etats de l'Europe, il n'aurait pas laissé un seul homme vivant.
(78.18) II y a des êtres qui sont comme des loups sanguinaires 'ils voient qu'ils n'ont pas à redouter la correction, ils assassineront des hommes, uniquement pour leur plaisir, leur distraction et leur satisfaction.
(78.19) Un des tyrans de la Perse tua son précepteur uniquement pour rire, en manière de plaisanterie et de jeu. Le fameux Abbasside Motawakkil réunissait en sa présence les ministres, les conseillers et les fonctionnaires, puis il répandait dans la réunion une boîte de scorpions et interdisait à qui que ce fût de bouger; et lorsque les scorpions piquaient les ministres, il éclatait de rire bruyamment.
(78.20) Bref, la constitution des communautés dépend de la justice et non du pardon.
(78.21) Et quand il parlait de pardon et de bienveillance, le Christ ne voulait pas dire que, si les autres nations vous attaquent, brûlent vos maisons, ravagent vos biens, oppriment vos femmes, vos enfants, vos proches, ravissent votre bonheur, vous devez vous résigner devant cette bande malfaisante et les laisser accomplir toutes les cruautés et toutes les oppressions. Non, le Christ parlait de la conduite à tenir pour deux individus : si l'un en opprime un autre, l'opprimé doit pardonner. Mais les communautés ont à protéger les droits de l'individu.
(78.22) Ainsi, si quelqu'un m'opprime, me cause du mal et des tourments ou me fait une blessure, je ne lui résisterai nullement, et même je lui pardonnerai. Mais si quelqu'un veut opprimer siyyid Menshadi(a), certes je l'en empêcherai.
(78.23) Bien que, pour le criminel, la non-résistance soit en apparence de la bienveillance, pour Menshadi, ce serait de la cruauté que de ne pas le défendre!
(78.24) Si en ce moment, un sauvage arabe entrait en ce lieu et, de son épée tirée, voulait vous frapper, vous blesser, vous tuer, certes je l'en empêcherais; si je vous abandonnais à lui, ce serait de la tyrannie, non de la justice. Mais s'il me blessait moi-même, je lui pardonnerais.
(78.25) II reste une autre chose à remarquer : c'est que les communautés sont, nuit et jour, occupées à confectionner des lois pénales, à préparer et à organiser des instruments et des armes de correction; elles construisent des prisons, elles préparent des chaînes, organisent des lieux variés de bannissement, d'exil, de relégation et de tortures afin de corriger par ces moyens les criminels, bien que ces moyens soient destructifs de la moralité et du caractère. Au lieu de cela, les communautés devraient, jour et nuit, s'efforcer, avec la dernière ardeur, de faire l'éducation des hommes, de les faire progresser de jour en jour, augmenter en science et en savoir, acquérir des vertus, prendre de bonnes moeurs, fuir les vices, afin qu'il ne se commette plus de crimes.
(78.26) Au contraire, en ce moment, les communautés pensent uniquement à rendre plus sévères les lois pénales, à préparer des moyens de correction, des instruments de mise à mort et de torture, des lieux de détention et d'exil; et elles attendent qu'un crime se produise. Ceci a un grand effet démoralisateur.
(78.27) Mais si elles s'efforçaient de faire l'éducation des masses, de répandre tous les jours de plus en plus l'instruction et la science, l'intelligence s'ouvrirait, les sentiments progresseraient, les moeurs s'amélioreraient et les coutumes deviendraient saines; en un mot, dans tous les ordres de perfection, il y aurait du progrès, et le nombre des crimes diminuerait.
(78.28) Il a été établi que les crimes sont moins fréquents chez les peuples civilisés, c'est-à-dire chez ceux qui ont acquis la vraie civilisation, la civilisation divine, la civilisation de Celui qui réunit toutes les perfections physiques et spirituelles.
(78.29) Et comme l'ignorance est la cause des crimes, plus le savoir et les sciences progressent, plus les crimes diminuent.
(78.30) Voyez les barbares de l'Afrique, combien de meurtres se commettent chez eux! au point que, se tuant les uns les autres, ils mangent leur propre chair et leur sang! Pourquoi de tels actes de sauvagerie ne se passent-ils pas en Suisse par exemple? La raison en est claire : c'est l'éducation, la science.
(78.31) Donc, les communautés doivent songer à empêcher les crimes de se produire plutôt qu'à punir sévèrement les criminels, et à leur infliger des corrections terribles.
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 07 nov.15, 11:00Tu ne peux pas condamner un criminel parce que c'est une injustice. Regarde, il ne peut y avoir une justice clémente envers toi et une justice sévère envers les autres, alors la règle dont tu te sers pour les autres servira pour toi et c'est ce qui est juste, c'est ce que le Christ a enseigné. Tu ne peux pas condamner les autres parce si tu es sains d'esprit tu ne veux pas être condamné pour tes fautes. Tu ne peux pas faire aux autres ce que tu ne veux pas qu'on te fasse parce que c'est une injustice. Il n'est pas juste de faire du mal aux autres mais il n'est pas plus juste de condamner l'autre. Tu dois aimer ton prochain comme toi même, c'est la loi.
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Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 07 nov.15, 11:30Gaetan a écrit :Tu ne peux pas condamner un criminel parce que c'est une injustice. Regarde, il ne peut y avoir une justice clémente envers toi et une justice sévère envers les autres, alors la règle dont tu te sers pour les autres servira pour toi et c'est ce qui est juste, c'est ce que le Christ a enseigné. Tu ne peux pas condamner les autres parce si tu es sains d'esprit tu ne veux pas être condamné pour tes fautes. Tu ne peux pas faire aux autres ce que tu ne veux pas qu'on te fasse parce que c'est une injustice. Il n'est pas juste de faire du mal aux autres mais il n'est pas plus juste de condamner l'autre. Tu dois aimer ton prochain comme toi même, c'est la loi.
Tu dois aimer ton prochain comme toi même, c'est la loi
Par contre si je fais l'imbécile, je souhaite que les gens me fasse ce que je ferais aux imbéciles
Pour le reste, Dieu s'en chargera
Vous me semblez avoir lu un peu trop rapidement ce texte? non?
Mais je juge le moins souvent possible. Surotu évite de préjuger.
Si j'avais à juger, ou si je juge et condamne (par exemple vis à vis le comportement de mes enfants)... je tente chaque fois d'être le plus juste possible
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 07 nov.15, 15:56Tu seras exaucé, pense tu que tu sortiras de cette vie sans avoir fait l'imbécile. Tu seras traité de la même façon que tu traite les autre, c'est ce qui est juste.indian a écrit :Par contre si je fais l'imbécile, je souhaite que les gens me fasse ce que je ferais aux imbéciles
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Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 07 nov.15, 17:34@Indian tes enseignements rejoignent ceux de Jésus dans le LU:
1. Miséricorde et Justice
(1468.4) 133:1.1 Un incident très intéressant se produisit un après-midi au bord de la route alors qu’ils approchaient de Tarente. Ils virent un jeune garçon grossier et brutal attaquer un garçon plus petit. Jésus se hâta d’aider la jeune victime et, quand il l’eut tiré de ce mauvais pas, il maintint étroitement l’agresseur jusqu’à ce que le petit garçon se fût échappé. Dès que Jésus eut lâché le jeune brutal, Ganid fonça sur lui et se mit à lui infliger une bonne correction.
Au grand étonnement de Ganid, Jésus intervint promptement. Il refréna Ganid et permit au garçon effrayé de s’enfuir. Aussitôt qu’il eut repris son souffle, Ganid s’écria avec agitation : « Maitre, je n’arrive pas à te comprendre. Si la miséricorde demande que tu sauves le petit garçon, la justice n’exige-t-elle pas que l’agresseur plus fort soit puni ? » Au cours de sa réponse, Jésus dit :
(1469.1) 133:1.2 « Ganid, il est bien vrai que tu ne comprends pas. Le ministère de la miséricorde est toujours une affaire individuelle, tandis que la justice et ses châtiments sont la fonction de groupes administratifs de la société, du gouvernement ou de l’univers.
En tant qu’individu, je suis tenu de montrer de la miséricorde ; il fallait que j’aille au secours du garçon attaqué, et, en toute logique, j’ai le droit d’employer la force suffisante pour paralyser l’agresseur.
C’est précisément ce que j’ai fait. J’ai délivré le garçon attaqué, et là se terminait le ministère de miséricorde. Ensuite, j’ai maintenu, par la force, l’agresseur assez longtemps pour permettre à sa victime plus faible de s’enfuir, après quoi je me suis retiré de l’affaire. Je ne me suis pas mis en à juger l’attaquant en évaluant ses mobiles — à apprécier tous les éléments que comportait son attaque — puis à infliger la punition que mon mental aurait pu dicter pour la juste rétribution de son méfait.
Ganid, la miséricorde peut être prodigue, mais la justice est précise. Rends-toi compte qu’il y a peu de chances de voir deux personnes se mettre d’accord sur la sanction susceptible de satisfaire les exigences de la justice. L’une voudra imposer quarante coups de fouet, une autre vingt, tandis qu’une troisième recommandera la réclusion comme juste punition.
Ne peux-tu voir que, sur cette terre, il vaut mieux que de telles responsabilités retombent sur la collectivité ou qu’elles soient administrées par des représentants choisis de cette collectivité ?
Dans l’univers, le droit de juger appartient à ceux qui connaissent pleinement les antécédents de tous les méfaits aussi bien que leurs motifs. Dans une société civilisée et dans un univers organisé, l’administration de la justice présuppose le prononcé d’une juste sentence après un jugement équitable, et ces prérogatives sont dévolues aux corps judiciaires des mondes et aux administrateurs omniscients des univers supérieurs de toute la création. »...
http://www.urantia.org/fr/le-livre-d-ur ... ur-de-rome
« Le Père qui est aux cieux aime ses enfants, et c’est pourquoi vous devriez apprendre à vous aimer les uns les autres.
Le Père qui est aux cieux vous pardonne vos péchés ; vous devriez donc apprendre à vous pardonner les uns les autres.
Si ton frère pèche contre toi, va vers lui et montre-lui sa faute avec tact et patience. Fais tout cela en tête-à-tête.
S’il veut t’écouter, alors, tu as gagné ton frère. Mais, si ton frère refuse de t’entendre, s’il persiste dans son erreur, retourne encore une fois vers lui en emmenant un ou deux amis communs, afin d’avoir deux ou même trois témoins pour confirmer ton témoignage et prouver que tu as traité avec justice et miséricorde le frère qui t’a fait du tort
. Ensuite, s’il refuse d’écouter tes amis, tu peux raconter toute l’histoire à la congrégation, et s’il refuse de l’écouter, laisse la fraternité prendre la mesure qu’elle juge sage ; laisse ce membre indiscipliné devenir un proscrit du royaume.
Alors que vous ne pouvez pas prétendre juger l’âme de vos compagnons, alors qu’il ne vous est pas permis de pardonner les péchés ni d’oser usurper d’une autre manière les prérogatives des superviseurs des armées célestes, par contre, le maintien de l’ordre temporel dans le royaume sur terre vous a été confié.
Alors que vous n’êtes pas autorisés à vous immiscer dans les décrets divins concernant la vie éternelle, vous règlerez les problèmes de conduite dans la mesure où ils concernent le bien-être temporel de la fraternité sur terre. Ainsi, pour toutes ces questions liées à la discipline de la fraternité, tout ce que vous décrèterez sur terre sera accepté au ciel.
Bien que vous ne puissiez déterminer la destinée éternelle de l’individu, vous êtes autorisés à légiférer en ce qui concerne la conduite du groupe, car, là où deux ou trois d’entre vous sont d’accord au sujet de n’importe laquelle de ces choses et font appel à moi, vous serez exaucés si cette pétition n’est pas incompatible avec la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Et tout ceci est toujours vrai, car, là où deux ou trois croyants sont réunis, je suis là au milieu d’eux. »
http://www.urantia.org/fr/le-livre-d-ur ... p-result-0
Au sujet de l'Épuration du Temple:
(1890.5) 173:1.10 Cet acte surprenant de Jésus dépassait la compréhension de ses apôtres. Ils furent tellement déconcertés par cette action soudaine et inattendue de leur Maitre que, durant toute cette scène, ils restèrent en groupe compact près de l’estrade des orateurs. Ils ne firent pas le moindre geste pour participer à l’épuration du temple. Si cet évènement spectaculaire avait eu lieu la veille, au moment de l’arrivée triomphale de Jésus au temple, à l’issue de la procession tumultueuse à travers les portes de la ville, où il avait été sans cesse bruyamment acclamé par la multitude, ils auraient été prêts à agir ; mais, de la manière dont l’incident arriva, ils n’étaient aucunement préparés à y participer.
(1891.1) 173:1.11 Cette épuration du temple révèle l’attitude du Maitre envers la commercialisation des pratiques religieuses ainsi que sa répulsion pour toutes les formes d’injustice et de spéculation aux dépens des pauvres et des ignorants. L’épisode montre également que Jésus n’approuvait pas le refus d’employer la force pour protéger la majorité d’un groupe humain contre les pratiques déloyales et asservissantes de minorités injustes capables de se retrancher derrière le pouvoir politique, financier ou ecclésiastique. On ne doit pas permettre à des hommes astucieux, pervers et entreprenants de s’organiser pour exploiter et opprimer ceux qui, à cause de leur idéalisme, ne sont pas disposés à recourir à la violence pour se protéger ou pour mettre à exécution leurs projets dignes de louanges.
http://www.urantia.org/fr/le-livre-d-ur ... -jerusalem
1. Miséricorde et Justice
(1468.4) 133:1.1 Un incident très intéressant se produisit un après-midi au bord de la route alors qu’ils approchaient de Tarente. Ils virent un jeune garçon grossier et brutal attaquer un garçon plus petit. Jésus se hâta d’aider la jeune victime et, quand il l’eut tiré de ce mauvais pas, il maintint étroitement l’agresseur jusqu’à ce que le petit garçon se fût échappé. Dès que Jésus eut lâché le jeune brutal, Ganid fonça sur lui et se mit à lui infliger une bonne correction.
Au grand étonnement de Ganid, Jésus intervint promptement. Il refréna Ganid et permit au garçon effrayé de s’enfuir. Aussitôt qu’il eut repris son souffle, Ganid s’écria avec agitation : « Maitre, je n’arrive pas à te comprendre. Si la miséricorde demande que tu sauves le petit garçon, la justice n’exige-t-elle pas que l’agresseur plus fort soit puni ? » Au cours de sa réponse, Jésus dit :
(1469.1) 133:1.2 « Ganid, il est bien vrai que tu ne comprends pas. Le ministère de la miséricorde est toujours une affaire individuelle, tandis que la justice et ses châtiments sont la fonction de groupes administratifs de la société, du gouvernement ou de l’univers.
En tant qu’individu, je suis tenu de montrer de la miséricorde ; il fallait que j’aille au secours du garçon attaqué, et, en toute logique, j’ai le droit d’employer la force suffisante pour paralyser l’agresseur.
C’est précisément ce que j’ai fait. J’ai délivré le garçon attaqué, et là se terminait le ministère de miséricorde. Ensuite, j’ai maintenu, par la force, l’agresseur assez longtemps pour permettre à sa victime plus faible de s’enfuir, après quoi je me suis retiré de l’affaire. Je ne me suis pas mis en à juger l’attaquant en évaluant ses mobiles — à apprécier tous les éléments que comportait son attaque — puis à infliger la punition que mon mental aurait pu dicter pour la juste rétribution de son méfait.
Ganid, la miséricorde peut être prodigue, mais la justice est précise. Rends-toi compte qu’il y a peu de chances de voir deux personnes se mettre d’accord sur la sanction susceptible de satisfaire les exigences de la justice. L’une voudra imposer quarante coups de fouet, une autre vingt, tandis qu’une troisième recommandera la réclusion comme juste punition.
Ne peux-tu voir que, sur cette terre, il vaut mieux que de telles responsabilités retombent sur la collectivité ou qu’elles soient administrées par des représentants choisis de cette collectivité ?
Dans l’univers, le droit de juger appartient à ceux qui connaissent pleinement les antécédents de tous les méfaits aussi bien que leurs motifs. Dans une société civilisée et dans un univers organisé, l’administration de la justice présuppose le prononcé d’une juste sentence après un jugement équitable, et ces prérogatives sont dévolues aux corps judiciaires des mondes et aux administrateurs omniscients des univers supérieurs de toute la création. »...
http://www.urantia.org/fr/le-livre-d-ur ... ur-de-rome
« Le Père qui est aux cieux aime ses enfants, et c’est pourquoi vous devriez apprendre à vous aimer les uns les autres.
Le Père qui est aux cieux vous pardonne vos péchés ; vous devriez donc apprendre à vous pardonner les uns les autres.
Si ton frère pèche contre toi, va vers lui et montre-lui sa faute avec tact et patience. Fais tout cela en tête-à-tête.
S’il veut t’écouter, alors, tu as gagné ton frère. Mais, si ton frère refuse de t’entendre, s’il persiste dans son erreur, retourne encore une fois vers lui en emmenant un ou deux amis communs, afin d’avoir deux ou même trois témoins pour confirmer ton témoignage et prouver que tu as traité avec justice et miséricorde le frère qui t’a fait du tort
. Ensuite, s’il refuse d’écouter tes amis, tu peux raconter toute l’histoire à la congrégation, et s’il refuse de l’écouter, laisse la fraternité prendre la mesure qu’elle juge sage ; laisse ce membre indiscipliné devenir un proscrit du royaume.
Alors que vous ne pouvez pas prétendre juger l’âme de vos compagnons, alors qu’il ne vous est pas permis de pardonner les péchés ni d’oser usurper d’une autre manière les prérogatives des superviseurs des armées célestes, par contre, le maintien de l’ordre temporel dans le royaume sur terre vous a été confié.
Alors que vous n’êtes pas autorisés à vous immiscer dans les décrets divins concernant la vie éternelle, vous règlerez les problèmes de conduite dans la mesure où ils concernent le bien-être temporel de la fraternité sur terre. Ainsi, pour toutes ces questions liées à la discipline de la fraternité, tout ce que vous décrèterez sur terre sera accepté au ciel.
Bien que vous ne puissiez déterminer la destinée éternelle de l’individu, vous êtes autorisés à légiférer en ce qui concerne la conduite du groupe, car, là où deux ou trois d’entre vous sont d’accord au sujet de n’importe laquelle de ces choses et font appel à moi, vous serez exaucés si cette pétition n’est pas incompatible avec la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Et tout ceci est toujours vrai, car, là où deux ou trois croyants sont réunis, je suis là au milieu d’eux. »
http://www.urantia.org/fr/le-livre-d-ur ... p-result-0
Au sujet de l'Épuration du Temple:
(1890.5) 173:1.10 Cet acte surprenant de Jésus dépassait la compréhension de ses apôtres. Ils furent tellement déconcertés par cette action soudaine et inattendue de leur Maitre que, durant toute cette scène, ils restèrent en groupe compact près de l’estrade des orateurs. Ils ne firent pas le moindre geste pour participer à l’épuration du temple. Si cet évènement spectaculaire avait eu lieu la veille, au moment de l’arrivée triomphale de Jésus au temple, à l’issue de la procession tumultueuse à travers les portes de la ville, où il avait été sans cesse bruyamment acclamé par la multitude, ils auraient été prêts à agir ; mais, de la manière dont l’incident arriva, ils n’étaient aucunement préparés à y participer.
(1891.1) 173:1.11 Cette épuration du temple révèle l’attitude du Maitre envers la commercialisation des pratiques religieuses ainsi que sa répulsion pour toutes les formes d’injustice et de spéculation aux dépens des pauvres et des ignorants. L’épisode montre également que Jésus n’approuvait pas le refus d’employer la force pour protéger la majorité d’un groupe humain contre les pratiques déloyales et asservissantes de minorités injustes capables de se retrancher derrière le pouvoir politique, financier ou ecclésiastique. On ne doit pas permettre à des hommes astucieux, pervers et entreprenants de s’organiser pour exploiter et opprimer ceux qui, à cause de leur idéalisme, ne sont pas disposés à recourir à la violence pour se protéger ou pour mettre à exécution leurs projets dignes de louanges.
http://www.urantia.org/fr/le-livre-d-ur ... -jerusalem
Dieu est notre Père qui nous aime. Jésus était Micaël de Nébadon. Micaël est vivant et peut répondre à vos prières.
Le Livre d'Urantia (La terre) http://www.urantia.org/fr/le-livre-d-ur ... s-du-livre
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Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 08 nov.15, 00:22Quant aux condamnations, nous laisserons Dieu juger... à la fin.Gaetan a écrit :
Tu seras exaucé, pense tu que tu sortiras de cette vie sans avoir fait l'imbécile. Tu seras traité de la même façon que tu traite les autre, c'est ce qui est juste.
mais pour l'instant,ici bas, nous nommerons des juges.
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 08 nov.15, 03:02Si c'était Dieu qui te jugeait tu irais au Royaume des Cieux sauf que ce n'est pas le cas, c'est toi qui te juge et c'est ce qui est juste, regarde la loi:indian a écrit :Quant aux condamnations, nous laisserons Dieu juger... à la fin.
mais pour l'instant,ici bas, nous nommerons des juges.
La Tob Mt 7.
« Ne vous posez pas en juge, afin de n’être pas jugés ; 2car c’est de la façon dont vous jugez qu’on vous jugera, et c’est la mesure dont vous vous servez qui servira de mesure pour vous. 3Qu’as-tu à regarder la paille qui est dans l’œil de ton frère ? Et la poutre qui est dans ton œil, tu ne la remarques pas ? 4Ou bien, comment vas-tu dire à ton frère : “Attends ! que j’ôte la paille de ton œil” ? Seulement voilà : la poutre est dans ton œil ! 5Homme au jugement perverti, ôte d’abord la poutre de ton œil, et alors tu verras clair pour ôter la paille de l’œil de ton frère.
Ici dans Matthieu Jésus te dis que c'est la façon dont tu juge qu'on te jugera donc je te conseille de ne pas être sévère quand tu juge pour ne pas qu'on soit sévère envers toi.
Lc 637 Ne vous posez pas en juges et vous ne serez pas jugés, ne condamnez pas et vous ne serez pas condamnés, acquittez et vous serez acquittés. 38Donnez et on vous donnera ; c’est une bonne mesure, tassée, secouée, débordante qu’on vous versera dans le pan de votre vêtement, car c’est la mesure dont vous vous servez qui servira aussi de mesure pour vous. »
39Il leur dit aussi une parabole : « Un aveugle peut-il guider un aveugle ? Ne tomberont-ils pas tous les deux dans un trou ? 40Le disciple n’est pas au-dessus de son maître, mais tout disciple bien formé sera comme son maître.
41« Qu’as-tu à regarder la paille qui est dans l’œil de ton frère ? Et la poutre qui est dans ton œil à toi, tu ne la remarques pas ? 42Comment peux-tu dire à ton frère : “Frère, attends. Que j’ôte la paille qui est dans ton œil”, toi qui ne vois pas la poutre qui est dans le tien ? Homme au jugement perverti, ôte d’abord la poutre de ton œil ! et alors tu verras clair pour ôter la paille qui est dans l’œil de ton frère.
Ici Jésus dans Luc dit la même chose et en plus c'est la mesure dont tu te sers qui servira pour toi. C'est toi ton juge, c'est ta règle qui sert pour toi, pas celle de Dieu, pas celle du diable, mais la tienne. C'a ne veut pas dire que c'est toi qui te jugera parce que tu ne trouvera pas de faute mais c'est ta règle qui sert pour toi.
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Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 08 nov.15, 03:13Moi je ne juge pas, je ne suis pas juge.Gaetan a écrit :Quant aux condamnations, nous laisserons Dieu juger... à la fin.
mais pour l'instant,ici bas, nous nommerons des juges
Si c'était Dieu qui te jugeait tu irais au Royaume des Cieux sauf que ce n'est pas le cas, c'est toi qui te juge et c'est ce qui est juste, regarde la loi:.
Je ne fais qu'éduqer, je ne suis que parent.
Et je fais bien des bêtisses...mais ca c'est psrce que je suis ing.énieur... c'est un tout autre problème
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Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 08 nov.15, 03:20Si tu ne juge pas les autres tant mieux pour toi mais qu'un autre juge pour toi c'est pas mieux. C'est se comporter comme Pilatre.indian a écrit :
Moi je ne juge pas, je ne suis pas juge.
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Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 08 nov.15, 03:25Gaetan a écrit : ... mais qu'un autre juge pour toi c'est pas mieux.
Je préfererai que nous ayons des gens nommés pour leur qualité et compétence à appliquer les lois...
Plutot que personen ne juge .
Il y aura encore des criminels à arrêter.
Soyons jutes envers eux.
Et leurs victimes.
Ce ne sont pas les juges qui juges à la fin...mais la loi, les lois.
Celles de Dieu, toujours... et les notres décidées ensembles.
Souvent les mêmes...
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Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 08 nov.15, 04:10C'est justement si tu es juste tu ne condamneras pas les autres parce qu'à moins d'être fou tu ne veux pas aller en enfer pour tes fautes.indian a écrit :
Je préfererai que nous ayons des gens nommés pour leur qualité et compétence à appliquer les lois...
Plutot que personen ne juge .
Il y aura encore des criminels à arrêter.
Soyons jutes envers eux.
Et leurs victimes.
Ce ne sont pas les juges qui juges à la fin...mais la loi, les lois.
Celles de Dieu, toujours... et les notres décidées ensembles.
Souvent les mêmes...
Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 08 nov.15, 08:12Si vous voulez juger un coupable objectivement, il faut que vous regarder les victimes objectivement.
Je vous propose mes compositions musicales sur Jamendo Music https://www.jamendo.com/artist/551714/l ... ign/albums (libre écoute, sans insrciption).
Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 08 nov.15, 09:51Les sentences sont arbitraires, un juge peut te donner 5 ans, un autre 10 ans, entre les deux tu as 5 ans de torture. Si ton avocat est bon tu peux avoir 2 ans avec un incompétent 10 ans.uzzi21 a écrit :Si vous voulez juger un coupable objectivement, il faut que vous regarder les victimes objectivement.
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Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 09 nov.15, 04:04Non, elles sont basées sur les lois et règlement et sur les causes précédentes ou similaires.Gaetan a écrit : Les sentences sont arbitraires, un juge peut te donner 5 ans, un autre 10 ans, entre les deux tu as 5 ans de torture. Si ton avocat est bon tu peux avoir 2 ans avec un incompétent 10 ans.
Bien sur il doit y avoir du cas par cas, car les lois ne peuvent tenir compte de l'ensemble de toutes les situations.
c'est pourquoi aussi on peut porter en appel.
Peut être préfèreriez vous qu'il n'y ait pas de tel système entre les hommes?
pourquoi 5 ans de torture entre les deux?
Il me semble que vous préjuger et généraliser un peu sur els compétences des avocats? non?
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Re: Comment faut-il traiter tes criminels ?
Ecrit le 09 nov.15, 09:07Les affaires du diable sont arbitraires et jamais juste, tu iras passer 5 ans entre 4 murs et tu vas voir si c'est pas de la torture, tu dis que tu mérite de te faire condamner si tu commets des fautes sauf qu'après 100 ans en enfer tu changeras d'avis, en passant, quand tu as bu ou fait des excès de vitesse, tu te rapporte à la police, peut être que tu pense pas vu, pas pris, mais dans l'autre monde tu ne peux rien leur cacher, ils voient tout.indian a écrit :
Non, elles sont basées sur les lois et règlement et sur les causes précédentes ou similaires.
Bien sur il doit y avoir du cas par cas, car les lois ne peuvent tenir compte de l'ensemble de toutes les situations.
c'est pourquoi aussi on peut porter en appel.
Peut être préfèreriez vous qu'il n'y ait pas de tel système entre les hommes?
pourquoi 5 ans de torture entre les deux?
Il me semble que vous préjuger et généraliser un peu sur els compétences des avocats? non?
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