Yehoudim:
Dans la Halakha est Juif, depuis Esdras et Daniel, toute personne née d'une mère juive, elle même née d'une mère juive, elle même née d'une mère juive, indépendamment du fait que la mère pratique la religion juive ou non, et indépendamment du fait que ces femmes respectives ont épousé un juif ou un non juif.
Dans la Halakha n'est pas juif, même celui qui pratique les 613 Mistvots, toute personne qui n'est pas née d'une mère juive, et quand bien même son père est juif.
Dans la Halakha originelle, et en état de Rédemption du peuple juif, dans l'époque du bronze et par la suite, juste avant le judaïsme post-exilique et l'apparition du talmud de Babylone et ensuite de Jérusalem, était juif tous ceux qui descendent d'un père Juif.
Terminologie des Yehoudim:
Yehoudim, en hébreu; Yahoud en arabe, tire son étymologie de la racine du mot Yehouda, le 4ème fils d'Israël fils d'Isaac fils d'Abraham et Saraï.
Le terme Juif ne s'applique normalement qu'à la tribu de Judah, le 4ème fils d'Israël, Yackov. Normalement, ce terme ne concerne que la dynastie de Yehouda et les deux lignées des deux jumeaux enfants de Yehouda et autres fils de Yehouda, la lignée de la Royauté d'Israël de Judée, le sud d'Israël, c'est la lignée qui donna le Roi David et Salomon.
Cohanim et Léviim:
Cohanim sont régis dans la Halakha par des Lois spécifiques, il faut que les Cohanim vivent une endogamie de par la femme et l'homme, les mariages mixtes ne sont pas tolérés comme chez les Yehoudim. Un cohen gadol pur est un fils né d'une union entre une femme Cohen et un homme Cohen, et ainsi de suite dans la transmission ascendante. La loi n'a pas changée due aux exils et cela reste intact même en état de rédemption, c'est identique pour les Lévites. IL faut en plus de cela, que les femmes Cohen ne se remarient pas, pour préserver leur guilgoul en cas de veuvage, il faut également que la femme lévite soit vierge pour le mariage à un cohen gadol, idem pour les Lévites.
Terminologie:
Cohanim et Léviim: Cohen et Lévites, ce sont les deux lignées qui donnèrent Moïse et Aaron par Amram, les Cohanim sont les fils d'Aaron ou de Mosché rabeinou. De plus, ce sont les deux lignées du sacerdoce et de la prêtrise d'Israël, seuls les Cohen gadol étaient élus pour la prêtrise et l'officie au sein du Beth Hamikdash, et seuls les Cohen gadol étaient assermentés pour prononcer correctement le Nom divin, le tétagrammaton, retranscrit en français: YHWH.
===> Royaume de Judée-Samarie.
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Le royaume d'Israël est composé des 10 tribus perdues d'Israël, le royaume du nord d'Israël, disparu lors de la déportation des tribus d'Israël par le royaume d'Assyrie.
Ruben
Šimʿūn (Siméon)
Yiššâkhār (Issachar)
Zebûlūn (Zabulon)
Dan
Naftāli
Gad
Ašer
Yossef (Joseph) (2 tribus en sont issues : Manassé et Éphraïm)
Ben-Yamin (Benjamin).
Minhou Yehoudim min Halakha, Minhou Cohanim, Leviim?
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Le Judaisme se fonde sur le culte du Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. la foi des anciens Israélites et de leurs descendants, les Juifs, serait basée sur une alliance contractée entre Dieu (YHWH) et Abraham, qui aurait ensuite été renouvelée entre Dieu et Moïse.
Le Judaisme se fonde sur le culte du Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. la foi des anciens Israélites et de leurs descendants, les Juifs, serait basée sur une alliance contractée entre Dieu (YHWH) et Abraham, qui aurait ensuite été renouvelée entre Dieu et Moïse.
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Re: Minhou Yehoudim min Halakha, Minhou Cohanim, Leviim?
Ecrit le 04 janv.16, 06:23Shaye Cohen explique bien que la matrilinéarité est apparu bien après Esdras, ce qui est évident au vu des textes issus de la période du 2nd Temple:Dans la Halakha est Juif, depuis Esdras et Daniel, toute personne née d'une mère juive, elle même née d'une mère juive, elle même née d'une mère juive, indépendamment du fait que la mère pratique la religion juive ou non, et indépendamment du fait que ces femmes respectives ont épousé un juif ou un non juif.
" La matrilinéarité n’a pas été introduite par Ezra
À son retour en Israël après l’exil de Babylone (458 avant notre ère environ), Ezra a
tenté d’expulser une centaine de femmes étrangères et leurs enfants de la communauté de
Jérusalem (Ezra 9-10). Pour nombre d’historiens, cet épisode prouve que le principe de
matrilinéarité a été introduit par Ezra. Selon eux, si ce dernier était opposé aux mariages entre
hommes israélites (à cette époque on peut commencer à utiliser le terme plus approprié de
Juifs) et femmes étrangères, c’était en raison de graves implications : comme leurs mères, les
enfants de ces couples n’étaient pas juifs. En revanche, Ezra avait pu passer sous silence – au
moins provisoirement – les mariages entre femmes juives et hommes étrangers dans la mesure
où les conséquences de ces unions étaient bénignes : comme leurs mères, les enfants étaient
juifs.
Ce point de vue, s’il peut être défendu, reste des plus incertains, car d’autres
explications sont plus plausibles. Il est fort probable que si Ezra avait laissé de côté les
mariages entre femmes juives et étrangers, c’est uniquement parce que, comme je l’ai
mentionné plus haut, les textes bibliques ne se préoccupent pas de ce type d’unions. La
juridiction d’Ezra ne s’appliquant qu’aux membres de son peuple, il n’avait aucun pouvoir sur
un homme étranger marié à une femme israélite. Quant aux tentatives d’expulser les enfants
de mères non-juives, elles n’impliquent pas nécessairement que l’on ait soudain adopté le
principe de la filiation juive par matrilinéarité. Ezra peut fort bien avoir exigé une
appartenance bilatérale pour accorder la citoyenneté (ne voulant considérer comme juifs que
ceux issus de deux parents juifs).
Les probabilités pour qu’Ezra (ou l’un de ses contemporains) soit à l’origine de la
règle selon laquelle un enfant de père juif et de mère non-juive n’est pas juif, s’amenuisent
encore par le fait qu’à aucun moment, cette première partie du principe de matrilinéarité n’est
édictée explicitement. Il semble qu’elle soit au contraire fréquemment démentie de façon
implicite, par la suite, dans la littérature de la période du Second Temple. Elle n’apparaît ni
dans les Apocryphes, ni dans les écrits pseudépigraphiques, les manuscrits de la Mer morte,
Philon d’Alexandrie, Paul de Tharse, Flavius Josèphe, ni encore dans les Actes des Apôtres.
Certains de ces écrits n’évoquent pas non plus l’autre partie du principe de matrilinéarité,
c’est-à-dire l’idée que les enfants d’une mère juive et d’un père étranger sont juifs14. Sans
doute certains rabbins ont-ils par la suite déduit le principe de matrilinéarité des mesures
prises par Ezra, mais au demeurant, il est fort improbable qu’Ezra lui-même l’ait introduit." http://www.massorti.com/IMG/pdf/fondeme ... _Cohen.pdf
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