le faire moins souffrir..
Posté : 21 janv.05, 08:04
Certaines gens ne comprennent pas que les musulmans puissent avoir recours, pour abattre l'animal à consommer, à une incision profonde au niveau des veines jugulaires.
Il est vrai que cette méthode est assez spectaculaire. Mais ce qu'il faut dire ici c'est que les musulmans n'ont pas recours à cette pratique avec l'idée de faire souffrir l'animal, mais au contraire avec l'idée que c'est là la façon de faire souffrir le moins possible l'animal. C'est là leur idée et leur intention : faire le moins souffrir possible l'animal.
Et à c'est non seulement une intention, ce serait même quelque chose qui aurait été vérifié lors d'une expérience qui aurait été menée en Allemagne, à l'université d'Hanovre, par le Professeur Schultz et le Dr. Hazim : un animal est abattu après assommage, de la façon classique, tandis qu'un autre est abattu par une profonde incision pratiquée dans ses veines jugulaires, sa trachée artère et son œsophage. On a pris soin, auparavant, d'implanter sur chacun des deux un électroencéphalogramme et un électrocardiogramme. "Les résultats en ont surpris plus d'un (…). C'est l'animal abattu par la profonde incision qui souffre le moins. Trois secondes après l'incision, l'électroencéphalogramme montre en effet un état de profonde inconscience (qui est provoquée par la faible irrigation sanguine du cerveau, due à l'hémorragie). Six secondes après, l'électroencéphalogramme est plat (et il n'y a donc plus de douleur ressentie par l'animal). Pendant le même temps, le cœur continue à battre, et le corps de l'animal se tend vigoureusement (un réflexe dû au système nerveux), ce qui expulse le sang de façon maximale hors du corps, pour une viande plus saine.
Il est vrai que cette méthode est assez spectaculaire. Mais ce qu'il faut dire ici c'est que les musulmans n'ont pas recours à cette pratique avec l'idée de faire souffrir l'animal, mais au contraire avec l'idée que c'est là la façon de faire souffrir le moins possible l'animal. C'est là leur idée et leur intention : faire le moins souffrir possible l'animal.
Et à c'est non seulement une intention, ce serait même quelque chose qui aurait été vérifié lors d'une expérience qui aurait été menée en Allemagne, à l'université d'Hanovre, par le Professeur Schultz et le Dr. Hazim : un animal est abattu après assommage, de la façon classique, tandis qu'un autre est abattu par une profonde incision pratiquée dans ses veines jugulaires, sa trachée artère et son œsophage. On a pris soin, auparavant, d'implanter sur chacun des deux un électroencéphalogramme et un électrocardiogramme. "Les résultats en ont surpris plus d'un (…). C'est l'animal abattu par la profonde incision qui souffre le moins. Trois secondes après l'incision, l'électroencéphalogramme montre en effet un état de profonde inconscience (qui est provoquée par la faible irrigation sanguine du cerveau, due à l'hémorragie). Six secondes après, l'électroencéphalogramme est plat (et il n'y a donc plus de douleur ressentie par l'animal). Pendant le même temps, le cœur continue à battre, et le corps de l'animal se tend vigoureusement (un réflexe dû au système nerveux), ce qui expulse le sang de façon maximale hors du corps, pour une viande plus saine.