La guerre est ses contre coups...
Posté : 15 févr.05, 06:07
Fondementalement une fois que la guerre est fini, on y pense plus et on crois qu'elle ne nous atteint plus. Certes il y a quelques dommages collatéraux qui se limite à la reconstruction du pays ou à des troubles psychologique, mais qu'elle est le véritable effet sur toutes une communauté...
Afin de mieux comprendre l'axe du problème, je vais simplifier et caricaturer notre passée guerrier...
Donc depuis la nuit de temps les humains s'entretues, ce qui demande de la chaire à canon, donc on peux dirent que tant que la guerre durent les homme valide vont progressivement être envoyée à la guerre.
On peux dirent que dans une certaine partie l'issue de la guerre dépendras de se reservoir à soldat, plus il s'épuise plus l'effort de guerre va reformée son dogme militaire pour intégére les enfants ou les femmes à la lutte armée.
A termes, il ne reste plus que les impotents, les enfants, les femmes et les alienés, bien sur il reste un pourcentage d'homme valide ou sain,
va survivre et avoir un descendances.
mais en comparaison de l'essor démographie leur nombre se restreint de guerre en guerre de siècle en siècle.
on peux voire que l'obscurantisme et les guerres du moyen age on obligé la civilisation à faire marche arrière dans son progrés scientifique et sociale.
voilà le schéma que je voulais vous soumettre.
le problème c'est que l'on ne peux pas observée à l'oeil nu ce phénomene
car les génes et les combinaison d'adn on tendance à explurer les pathologie génétique et à renforcée le nouvelle être, ce qui donne la population d'esthétique que nous connaissons.
Par contre aux niveaux héritage culturel, social, communautaire ou simplement le savoir-faire la transmissions de père en fils à été rompu
et on peux voir que les deux derniers guerres on laisser un grands cassure dans la mémoire collective des notre sociétés.
De grands principes comme le don de soi, le sacrifice de sa personnes,
le moindre mal ou le soutient intergénérationelle ne sont plus que des
légends du temps de nos grands-mères ou des chevaliers.
La perte de mémoire est amplifier par le traumatisme ou l'energie que dégage la guerre, ainsi quand nos ancêtres parlais du bon vieux temps,
il ne pouvais s'empecher de le comparez aux temps de la guerre et de laisser glisser dans ce sens la conversation au point d'occulter totalement
les choses qui font nos vies et notre culture...
Comme dans toutes choses, il y a du bon, la guerre à permis aussi de sortie de nos carcan de rituels, paien, religieux ou morale.
Comme une cassure transgénérations (les tics d'un génération à l'autre.)
ou la propagations de la démocratie....
Conclusion:
Celui qui veux la guerre l'as déjà perdu.
Afin de mieux comprendre l'axe du problème, je vais simplifier et caricaturer notre passée guerrier...
Donc depuis la nuit de temps les humains s'entretues, ce qui demande de la chaire à canon, donc on peux dirent que tant que la guerre durent les homme valide vont progressivement être envoyée à la guerre.
On peux dirent que dans une certaine partie l'issue de la guerre dépendras de se reservoir à soldat, plus il s'épuise plus l'effort de guerre va reformée son dogme militaire pour intégére les enfants ou les femmes à la lutte armée.
A termes, il ne reste plus que les impotents, les enfants, les femmes et les alienés, bien sur il reste un pourcentage d'homme valide ou sain,
va survivre et avoir un descendances.
mais en comparaison de l'essor démographie leur nombre se restreint de guerre en guerre de siècle en siècle.
on peux voire que l'obscurantisme et les guerres du moyen age on obligé la civilisation à faire marche arrière dans son progrés scientifique et sociale.
voilà le schéma que je voulais vous soumettre.
le problème c'est que l'on ne peux pas observée à l'oeil nu ce phénomene
car les génes et les combinaison d'adn on tendance à explurer les pathologie génétique et à renforcée le nouvelle être, ce qui donne la population d'esthétique que nous connaissons.
Par contre aux niveaux héritage culturel, social, communautaire ou simplement le savoir-faire la transmissions de père en fils à été rompu
et on peux voir que les deux derniers guerres on laisser un grands cassure dans la mémoire collective des notre sociétés.
De grands principes comme le don de soi, le sacrifice de sa personnes,
le moindre mal ou le soutient intergénérationelle ne sont plus que des
légends du temps de nos grands-mères ou des chevaliers.
La perte de mémoire est amplifier par le traumatisme ou l'energie que dégage la guerre, ainsi quand nos ancêtres parlais du bon vieux temps,
il ne pouvais s'empecher de le comparez aux temps de la guerre et de laisser glisser dans ce sens la conversation au point d'occulter totalement
les choses qui font nos vies et notre culture...
Comme dans toutes choses, il y a du bon, la guerre à permis aussi de sortie de nos carcan de rituels, paien, religieux ou morale.
Comme une cassure transgénérations (les tics d'un génération à l'autre.)
ou la propagations de la démocratie....
Conclusion:
Celui qui veux la guerre l'as déjà perdu.