Menant Une Enquête Sur La Genêse
Posté : 17 févr.05, 18:23
Une analyse d'une enquête scientifique sur l'Alternative à la Survie du Plus Fort, les plantes.
Menant Une Enquête Sur La Genèse
Stephen Caesar
Traduction toujours parfaitement imparfaite, mais au moins des moins, misent au correcteur par : Nickie
« Les Plantes Démontrent L’Alternative À La Survie Du Plus Fort »
La théorie traditionnelle tient comme vrai que les animaux et les espèces végétales s’améliorent dans le temps via des mutations bienfaisantes qui causent les espèces à devenir meilleures à parer les attaqueurs et à fleurir dans un environnement hostile. Un exemple courant de cela serait les attaques des champignons sur les plantes: un champignon tel que le (b l i g h t) qui fut la cause de la Famine Irlandaise De La Patate attaque une certaine espèce de plante; par les mutations au hasard, des individus à l’intérieure des espèces développent l’habilité de parer l’attaqueur champignon. Étant plus meilleur à la survie que leurs confrères mutés, ces individus survivent le saccage des champignons pour enfin passer leurs gênes à la prochaine génération. Les individus non mutés succombent aux champignons mortels et meurent et s’éliminent, y laissant seulement les meilleur à la survie pour survivre et perpétuer l’espèce améliorée.
Des études récentes ont démontré que ceci n’est pas nécessairement le cas. Les plantes sont capables de parer des assauts par des champignons fatals non pas en subissant les mutations laissées à la chance et par les causes aléatoires, mais, et c’est tout de même ironique, en partageant leurs physiologie avec des champignons non létal. Les scientifiques ont trouvé « des tonnes de champignons dans des plantes en santé, entassés dans les coins et recoins entre les cellules, » selon le journal scientifique Disco ver (Gadsby 2004:16). Dans les propres mots de l’écologiste évolutionnaire Allen Herre, « Ce que nous appelons une plante n’est pas seulement une plante. C’est habituellement une mosaïque de tissues de plante et de champignon » (ibid.).
Herre et con collègue Elizabeth Arnold, avec d’autres biologistes du Smithsonian Tropical Research Institute à Panama, ont étudié la plante ‘Théobroma cacao‘, la source du chocolat. Dans la nature, ces plantes sont saturées avec un vaste étalage d’espèces de champignons inoffensives, connu collectivement sous le nom de endophytes. Herre, Arnold, etc. ont poussé des spécimens isolés de cacao dans une serre, obtenant comme résultat que les nouvelles plantes étaient dénuées de toute endophytes. Ils ont injectés la moitié de feuilles de ces plantes nouvellement poussées avec des endophytes et ils ont laissé l’autre moitié comme tel, pas touché. Ensuite ils ont exposé, au complet, le lot des spécimens de serre à de la cosse noire, un champignon mortel qui détruit les plantes du cacao. Les feuilles sans les endophytes furent trois fois plus aptes à mourir, démontrant ainsi que les endophytes ont parer de quelques manières l’assaut de champignon, cosse noire (ibid.).
Dans un phénomène qui n’a pas encore été expliqué, à un certain point dans le temps, les endophytes sont entrés dans la plante du cacao et ont conclu une relation symbiotique: le champignon endophyte innocent y a obtenu une place césure pour vivre, tandis que la plante de cacao y a obtenu une nouvelle armure interne qui lui sauve la vie. «Tu peux considérer ses champignons comme étant tel un système immunitaire acquis de l’environnement, » a commenté Herre (ibid.).
Ceci démontre que le model Darwinien standard de la survie du plus fort par les mutations par hasard n’est automatiquement celle qui est la correcte. Il y a d’autres mécanismes qui expliquent comment les espèces peuvent devenir plus meilleures dans le temps. Seulement des études plus poussées vont découvrir combien d’autres espèces de plantes et d’animaux ont augmenté leur habilité de parer les attaques naturelles via l’arrangement symbiotique.
Référence:
Gaby. P. 2004. « It Takes a Fungus to Make a Plant. » Discover. Vol. 25, no. 10.
Stephen Caesar détient sa Maîtresse Académique en anthropologie/archangélique de Harvard. Il est membre du personnel à ‘Associates for Biblical Research’ et il est l’auteur du e-book ‘The Bible Encounters Modern Science‘, qui est disponible sur
at www.authorhouse.com.
Menant Une Enquête Sur La Genèse
Stephen Caesar
Traduction toujours parfaitement imparfaite, mais au moins des moins, misent au correcteur par : Nickie
« Les Plantes Démontrent L’Alternative À La Survie Du Plus Fort »
La théorie traditionnelle tient comme vrai que les animaux et les espèces végétales s’améliorent dans le temps via des mutations bienfaisantes qui causent les espèces à devenir meilleures à parer les attaqueurs et à fleurir dans un environnement hostile. Un exemple courant de cela serait les attaques des champignons sur les plantes: un champignon tel que le (b l i g h t) qui fut la cause de la Famine Irlandaise De La Patate attaque une certaine espèce de plante; par les mutations au hasard, des individus à l’intérieure des espèces développent l’habilité de parer l’attaqueur champignon. Étant plus meilleur à la survie que leurs confrères mutés, ces individus survivent le saccage des champignons pour enfin passer leurs gênes à la prochaine génération. Les individus non mutés succombent aux champignons mortels et meurent et s’éliminent, y laissant seulement les meilleur à la survie pour survivre et perpétuer l’espèce améliorée.
Des études récentes ont démontré que ceci n’est pas nécessairement le cas. Les plantes sont capables de parer des assauts par des champignons fatals non pas en subissant les mutations laissées à la chance et par les causes aléatoires, mais, et c’est tout de même ironique, en partageant leurs physiologie avec des champignons non létal. Les scientifiques ont trouvé « des tonnes de champignons dans des plantes en santé, entassés dans les coins et recoins entre les cellules, » selon le journal scientifique Disco ver (Gadsby 2004:16). Dans les propres mots de l’écologiste évolutionnaire Allen Herre, « Ce que nous appelons une plante n’est pas seulement une plante. C’est habituellement une mosaïque de tissues de plante et de champignon » (ibid.).
Herre et con collègue Elizabeth Arnold, avec d’autres biologistes du Smithsonian Tropical Research Institute à Panama, ont étudié la plante ‘Théobroma cacao‘, la source du chocolat. Dans la nature, ces plantes sont saturées avec un vaste étalage d’espèces de champignons inoffensives, connu collectivement sous le nom de endophytes. Herre, Arnold, etc. ont poussé des spécimens isolés de cacao dans une serre, obtenant comme résultat que les nouvelles plantes étaient dénuées de toute endophytes. Ils ont injectés la moitié de feuilles de ces plantes nouvellement poussées avec des endophytes et ils ont laissé l’autre moitié comme tel, pas touché. Ensuite ils ont exposé, au complet, le lot des spécimens de serre à de la cosse noire, un champignon mortel qui détruit les plantes du cacao. Les feuilles sans les endophytes furent trois fois plus aptes à mourir, démontrant ainsi que les endophytes ont parer de quelques manières l’assaut de champignon, cosse noire (ibid.).
Dans un phénomène qui n’a pas encore été expliqué, à un certain point dans le temps, les endophytes sont entrés dans la plante du cacao et ont conclu une relation symbiotique: le champignon endophyte innocent y a obtenu une place césure pour vivre, tandis que la plante de cacao y a obtenu une nouvelle armure interne qui lui sauve la vie. «Tu peux considérer ses champignons comme étant tel un système immunitaire acquis de l’environnement, » a commenté Herre (ibid.).
Ceci démontre que le model Darwinien standard de la survie du plus fort par les mutations par hasard n’est automatiquement celle qui est la correcte. Il y a d’autres mécanismes qui expliquent comment les espèces peuvent devenir plus meilleures dans le temps. Seulement des études plus poussées vont découvrir combien d’autres espèces de plantes et d’animaux ont augmenté leur habilité de parer les attaques naturelles via l’arrangement symbiotique.
Référence:
Gaby. P. 2004. « It Takes a Fungus to Make a Plant. » Discover. Vol. 25, no. 10.
Stephen Caesar détient sa Maîtresse Académique en anthropologie/archangélique de Harvard. Il est membre du personnel à ‘Associates for Biblical Research’ et il est l’auteur du e-book ‘The Bible Encounters Modern Science‘, qui est disponible sur
at www.authorhouse.com.