L'islam et le meurtre d'enfants (crime de Moscou)

[swissguy77]

Le décapitation d’une fillette chrétienne de 4 ans par une musulmane ouzbèke à Moscou, portant un niqab et criant Allahou Akbar a horrifié la terre entière. (http://www.lefigaro.fr/international/20 ... moscou.php)

Bien sûr, comme d’habitude, les musulmans ont entonné en chœur le désormais célèbre refrain (devenu quasiment l'hymne de l'islam) « ce crime n’a rien a voir avec l’islam ».
Or, contrairement à ce qu’ils prétendent, le Coran encourage bel et bien à tuer les enfants non-musulmans. Cet aspect terrifiant du Coran est passé sous silence par les musulmans et complètement ignoré des médias occidentaux.

Avant de venir à ces versets sanguinaires, examinons d’abord le fameux verset 31 de la sourate 17 que les musulmans citent afin de faire croire que l’islam interdirait le meurtre d’enfants:
« Et ne tuez pas VOS enfants par crainte de pauvreté; c'est Nous qui attribuons leur subsistance; tout comme à vous . Les tuer, c'est vraiment, un énorme pêché ».
Vous remarquerez qu’on ne parle pas des enfants en général mais de « vos » enfants. Or, dans le Coran, Allah (ou Mahomet son porte-parole) s’adresse bien sûr à ses partisans, les musulmans, et non pas aux non-musulmans. Cette interdiction ne vaut donc que pour les enfants musulmans mais pas pour le enfants en général, ce qui est confirmé par le verset 12 de la sourate 60. 12 : « ô Prophète ! Quand les croyantes viennent te prêter serment d'allégeance (…) qu'elles ne tueront pas leurs propres enfants (…) ».

Qu’en est-il donc des enfants non musulmans (comme cette innocente fillette de Moscou)?

C’est la terrifiante et sanguinaire sourate 18, versets 74 à 81 qui nous le révèle.
Dans cette sourate Moïse est accompagné d’un homme présenté comme son valet. A un moment les deux hommes croisent en chemin un enfant. Alors, le valet de Moïse tue cet enfant sans raison. Moïse est choqué. Mais ensuite Allah (dans le Coran, Allah parle toujours à la 1ère personne du pluriel -"nous") explique à Moïse que cet enfant méritait d'être tué car il n'était pas un bon musulman et que, par conséquent, il aurait eu une influence néfaste sur ses parents, qui eux sont des bons musulmans (versets 80-81). Du coup, il était licite de tuer cet enfant impur car non musulman (!!!)

"74. Puis ils partirent tous deux; et quand ils eurent rencontré un enfant, [l'homme] le tua. Alors [Moïse] lui dit : “As-tu tué un être innocent, qui n'a tué personne ? Tu as commis certes, une chose affreuse ! ”
75. [L'autre] lui dit : “Ne t'ai-je pas dit que tu ne pourrais pas garder patience en ma compagnie ? ”(...)
78. “Ceci [marque] la séparation entre toi et moi, dit [l'homme,] Je vais t'apprendre l'interprétation de ce que tu n'as pu supporter avec patience.
79. Pour ce qui est du bateau, il appartenait à des pauvres gens qui travaillaient en mer. Je voulais donc le rendre défectueux, car il y avait derrière eux un roi qui saisissait de force tout bateau.
80. Quant au garçon, ses père et mère étaient des croyants; nous avons craint qu'il ne leur imposât la rébellion et la mécréance.
81. Nous avons donc voulu que leur Seigneur leur accordât en échange un autre plus pur et plus affectueux".

Ces versets sont si monstrueux (véritable film d'horreur) qu'on dirait une caricature de l'islam imaginée par des islamophobes. Et pourtant non, c'est bien le Coran à l'état pur et ce sont sans doute les versets qui ont poussé cette femme à décapiter la fillette à Moscou. D’ailleurs, daech les applique également puisqu’ils pratiquent l’exécution des enfants.

Le mépris d'Allah à l’égard des enfants non musulmans est confirmée dans le verset 137 de la sourate 6 :
« Et c'est ainsi que leurs divinités ont enjolivé à beaucoup d'associateurs le meurtre de leurs enfants, afin de les ruiner et de travestir à leurs yeux leur religion. Or si Allah voulait, ils ne le feraient pas. Laisse-les donc, ainsi que ce qu'ils inventent. »
Ce verset se réfère au fait que les arabes polythéistes , avant l’islam, tuaient parfois leurs enfants, notamment leur fille, s’ils étaient trop pauvres pour les nourrir. Allah reconnaît que s’il voulait, il pourrait faire cesser ces meurtres d’enfants. Mais finalement, il préfère laisser faire. Cela ne le dérange donc pas que des enfants non musulmans soient mis à mort.

D‘une manière générale, le Coran ne tient pas en grande estime les enfants. Ceux-ci sont décrits péjorativement comme « une épreuve terrestre» (Sour. 8.28), un « ornement terrestre» superficiel (Sour 18. 46), dont les musulmans seront débarrassés dans l’au-delà (en effet au paradis le musulman ne retrouve pas sa famille. Il est au contraire séparé de sa femme terrestre et de ses enfants. Mais il est entourés d’autres enfants, on y reviendra plus loin). Dans la sourate 64, verset 14-15, ils sont présentés comme des ennemis et une tentation :« 14. ô vous qui avez cru, vous avez de vos épouses et de vos enfants un ennemi [une tentation]. Prenez-y garde donc. (…) 15. Vos biens et vos enfants ne sont qu'une tentation, alors qu'auprès d'Allah est une énorme récompense ».

Un des rares passage où les enfants sont présentés sous un jour favorable est la sourate 56, verset 10 et suivants, qui décrit les « garçons éternellement jeunes et beaux" qui seront au service des musulmans au paradis. Ce verset est une allusion claire à la pédophilie homosexuelle qui règnera au paradis islamique.

Du point de vue de l’historien et du penseur rationnel, la question qui se pose maintenant c’est pourquoi Mahomet donne-il une image si négative des enfants ?[/u] --> La réponse est très simple.

Mahomet avait l’ambition de créer un nouvel empire (à l’instar de Napoléon ou de Hitler). Pour ce faire, lui fallait donc une armée de soldats et de guerriers. C’est ce qui explique l’interdiction de tuer les enfants, car il aurait besoin de nombreux bras pour mener ses conquêtes. Mais c’est aussi ce qui explique ce dédain vis-à-vis de l’attachement familial et notamment des enfants. En effet, un guerrier qui aime trop ses enfants et sa femme rechignera à les quitter pour aller faire la guerre et conquérir de nouveaux territoires.

C’est ainsi qu’il faut comprendre les versets susmentionnés : Mahomet y exhorte ses disciples à préférer le champ de bataille (le djihad) à la chaleur du cocon familial.
Les allusions coquines du paradis servent, quant à elles, à rendre la mort au combat alléchante (grosse récompense) et à stimuler le moral et la libido des troupes.