Omar et l'avortement de Fatima
Posté : 22 avr.16, 00:18
Ainsi j’ai dit : « Ô Fatima (ahs) ! »
Fatima (ahs) : « Que veux-tu Ô Omar ? »
J’ai dit : « Pourquoi votre cousin vous a-t-il envoyé pour me répondre, a-t-il choisi de s’assoir derrière le couvercle ?! »
Fatima (ahs) : « Ta tyrannie me fit sortir, Ô Misérable ! »
Je dis : « Oublis la bêtise et les mythes des femmes et dis à Ali (a.s) de sortir. »
Fatima : « Me menaces-tu en prenant le parti de Satan Ô Omar ?! »…
Je dis : « S’il ne sort pas, j’apporterai du bois ardent et je brulerai cette maison sur quiconque se trouvera à l’intérieur »; et je pris le fouet de Qonfodh et la fouetta, je dis à Khaalid : « Toi et les hommes réunissez le bois, car surement je vais l’incendier. »
Fatima (ahs) : « Ô ennemis d’Allah et ennemis de son Messager et ennemis de l’Emir des croyants ! » Puis elle posa ses mains sur la porte, en essayant de m’empêcher d’entrer ; donc j’ai fouetté ses mains avec le fouet qui la blessa, et j’entendis ses soupirs et pleurs, j’allais presque devenir doux et était sur le point de repartir lorsque je me suis souvenu de mon mépris pour Ali (a.s) et de sa passion pour le sang des vaillants arabes, et la ruse de Mohammad (Sawaw) et de sa sorcellerie, donc je mis un coup de pied sur la porte contre elle lorsqu’elle était derrière et j’entendis ses cris : « Ô Mon père ! C’est ce qui est fait à votre fille bien aimée ! Ah Ô Fizza ! Tenez-moi, car en effet, par Allah, mon fœtus vient d’être assassiné. »
Je l’entendis allez s’occuper de son état, appuyé contre le mur, donc je poussai la porte et je mis le pied dans la maison. Elle vint vers moi et je l’ai giflée si fort que sa boucle d’oreille s’arracha de son oreille, et elle est tombée.
Puis Ali vint, et lorsque je le sentis, je partis précipitamment, je dis à Khaalid et Qonfodh : « Je me suis échappé d’un grand danger ; en effet, j’ai commis un crime terrible et je crains pour ma vie. C’est Ali (a.s) qui sort, et personne d’entre nous ne peut le retenir. »
Ainsi Ali (a.s) parvint à elle lorsqu’elle était sur le point de prier Allah (swt) contre nous et se plaindre de ce qui lui a été infligé, il déploya une couverture sur elle, lui disant : « Ô Fille du Messager d’Allah ! En effet Allah (swt) a envoyé votre père sur les créatures comme une miséricorde. Je jure par Allah (swt), que si vous découvrez votre front et priez votre Seigneur, il détruira très certainement ces personnes. Vous et votre père êtes plus aimés par Allah swt que Nooh a.s, pour qui Il noya les gens qui n’étaient pas dans son navire… Ainsi Ô Chef des Femmes ! Soyez une miséricorde pour ces gens inverti et non un châtiment.
Sa douleur s’intensifia, elle entra dans sa chambre et fit la fausse couche d’un fœtus mort qui fut appelé Mohssin… »
Fatima (ahs) : « Que veux-tu Ô Omar ? »
J’ai dit : « Pourquoi votre cousin vous a-t-il envoyé pour me répondre, a-t-il choisi de s’assoir derrière le couvercle ?! »
Fatima (ahs) : « Ta tyrannie me fit sortir, Ô Misérable ! »
Je dis : « Oublis la bêtise et les mythes des femmes et dis à Ali (a.s) de sortir. »
Fatima : « Me menaces-tu en prenant le parti de Satan Ô Omar ?! »…
Je dis : « S’il ne sort pas, j’apporterai du bois ardent et je brulerai cette maison sur quiconque se trouvera à l’intérieur »; et je pris le fouet de Qonfodh et la fouetta, je dis à Khaalid : « Toi et les hommes réunissez le bois, car surement je vais l’incendier. »
Fatima (ahs) : « Ô ennemis d’Allah et ennemis de son Messager et ennemis de l’Emir des croyants ! » Puis elle posa ses mains sur la porte, en essayant de m’empêcher d’entrer ; donc j’ai fouetté ses mains avec le fouet qui la blessa, et j’entendis ses soupirs et pleurs, j’allais presque devenir doux et était sur le point de repartir lorsque je me suis souvenu de mon mépris pour Ali (a.s) et de sa passion pour le sang des vaillants arabes, et la ruse de Mohammad (Sawaw) et de sa sorcellerie, donc je mis un coup de pied sur la porte contre elle lorsqu’elle était derrière et j’entendis ses cris : « Ô Mon père ! C’est ce qui est fait à votre fille bien aimée ! Ah Ô Fizza ! Tenez-moi, car en effet, par Allah, mon fœtus vient d’être assassiné. »
Je l’entendis allez s’occuper de son état, appuyé contre le mur, donc je poussai la porte et je mis le pied dans la maison. Elle vint vers moi et je l’ai giflée si fort que sa boucle d’oreille s’arracha de son oreille, et elle est tombée.
Puis Ali vint, et lorsque je le sentis, je partis précipitamment, je dis à Khaalid et Qonfodh : « Je me suis échappé d’un grand danger ; en effet, j’ai commis un crime terrible et je crains pour ma vie. C’est Ali (a.s) qui sort, et personne d’entre nous ne peut le retenir. »
Ainsi Ali (a.s) parvint à elle lorsqu’elle était sur le point de prier Allah (swt) contre nous et se plaindre de ce qui lui a été infligé, il déploya une couverture sur elle, lui disant : « Ô Fille du Messager d’Allah ! En effet Allah (swt) a envoyé votre père sur les créatures comme une miséricorde. Je jure par Allah (swt), que si vous découvrez votre front et priez votre Seigneur, il détruira très certainement ces personnes. Vous et votre père êtes plus aimés par Allah swt que Nooh a.s, pour qui Il noya les gens qui n’étaient pas dans son navire… Ainsi Ô Chef des Femmes ! Soyez une miséricorde pour ces gens inverti et non un châtiment.
Sa douleur s’intensifia, elle entra dans sa chambre et fit la fausse couche d’un fœtus mort qui fut appelé Mohssin… »