Quelle est ma position spirituelle ?
Posté : 27 avr.16, 21:05
Bonjour à vous
Comme l’indique le titre de mon sujet, je m’interroge depuis quelques temps sur la nature de mon parcours spirituel, et le cheminement qu’il me reste encore à faire. Je n’accorde pas une grande importance à des étiquettes comme « déiste », « théiste » voire « agnostique » ou « chrétien », mais c’est quelque chose qui néanmoins m’intéresse afin de me situer et de poursuivre ma propre recherche.
Ce que je peux vous dire, c’est que je crois tout d’abord à l’existence du « Dieu des philosophes », à une force ou entité créatrice et transcendante, à laquelle je suis parvenu par la raison naturelle. C’est d’ailleurs l’un des éléments pour lesquels je poste dans la section « Catholique », qui est peut-être la religion dont je me rapproche le plus, puisque le Catholicisme insiste davantage sur la valeur de la raison naturelle, de la logique ou même des sciences, de même qu’il accorde un plus grand poids à la connaissance naturelle de Dieu, comme étape préfigurant l’adhésion au « Dieu des Ecritures ».
Je pense que Dieu intervient, ou peut intervenir sur le monde ou l’univers en général, quelle que soit sa forme. C’est à mon avis une entité personnelle ou consciente, mais sur ce point-là, je reste plutôt agnostique, à savoir que je n’en ai pas autant la conviction que pour le reste. Tout ce que je peux dire, c’est que l’hypothèse que Dieu soit retourné dans un champ de patates après avoir créé le monde, ou qu’il s’agisse d’un machin impersonnel ou d’une force très abstraite (voire qu’il s’agisse de l’univers lui-même) ne me paraît pas très satisfaisante, sans la rejeter pour autant.
Un autre point, c’est que je crois également en l’existence de l’âme. Je suis tout à fait ouvert à l’immortalité de celle-ci, à l’existence « d’une vie après la mort », du Paradis et de l’Enfer, mais il en va de même pour la réincarnation. Je crois moins à l’hypothèse du néant et de la disparition de l’âme après la mort (si l’âme existe et qu’elle est donc une composante spirituelle supérieure, c’est une possibilité qui me paraît moins probable), même si je ne l’exclus pas pour autant.
Voilà, j’espère ne pas avoir fait trop long, ni avoir posté dans une section inappropriée, car je ne voudrai pas non plus vous ennuyer avec mes élucubrations personnelles .
Comme l’indique le titre de mon sujet, je m’interroge depuis quelques temps sur la nature de mon parcours spirituel, et le cheminement qu’il me reste encore à faire. Je n’accorde pas une grande importance à des étiquettes comme « déiste », « théiste » voire « agnostique » ou « chrétien », mais c’est quelque chose qui néanmoins m’intéresse afin de me situer et de poursuivre ma propre recherche.
Ce que je peux vous dire, c’est que je crois tout d’abord à l’existence du « Dieu des philosophes », à une force ou entité créatrice et transcendante, à laquelle je suis parvenu par la raison naturelle. C’est d’ailleurs l’un des éléments pour lesquels je poste dans la section « Catholique », qui est peut-être la religion dont je me rapproche le plus, puisque le Catholicisme insiste davantage sur la valeur de la raison naturelle, de la logique ou même des sciences, de même qu’il accorde un plus grand poids à la connaissance naturelle de Dieu, comme étape préfigurant l’adhésion au « Dieu des Ecritures ».
Je pense que Dieu intervient, ou peut intervenir sur le monde ou l’univers en général, quelle que soit sa forme. C’est à mon avis une entité personnelle ou consciente, mais sur ce point-là, je reste plutôt agnostique, à savoir que je n’en ai pas autant la conviction que pour le reste. Tout ce que je peux dire, c’est que l’hypothèse que Dieu soit retourné dans un champ de patates après avoir créé le monde, ou qu’il s’agisse d’un machin impersonnel ou d’une force très abstraite (voire qu’il s’agisse de l’univers lui-même) ne me paraît pas très satisfaisante, sans la rejeter pour autant.
Un autre point, c’est que je crois également en l’existence de l’âme. Je suis tout à fait ouvert à l’immortalité de celle-ci, à l’existence « d’une vie après la mort », du Paradis et de l’Enfer, mais il en va de même pour la réincarnation. Je crois moins à l’hypothèse du néant et de la disparition de l’âme après la mort (si l’âme existe et qu’elle est donc une composante spirituelle supérieure, c’est une possibilité qui me paraît moins probable), même si je ne l’exclus pas pour autant.
Voilà, j’espère ne pas avoir fait trop long, ni avoir posté dans une section inappropriée, car je ne voudrai pas non plus vous ennuyer avec mes élucubrations personnelles .