Tribunaux islamiques
Posté : 02 juin16, 22:27
Femmes européennes, tremblez : votre avenir n’est pas rose !
Entre 30 et 85 tribunaux islamiques existent et rendent la justice sur le sol britannique en parallèle des tribunaux légaux.
Emmanuelle Frankl
Juriste
Diplômée en psychologie, membre d’associations caritatives et de défense animale
Selon Le Figaro du 27 mai dernier, entre 30 et 85 tribunaux islamiques (ou « conseils de la charia ») existent et rendent la justice sur le sol britannique en parallèle des tribunaux légaux. Ce n’est pas nouveau, plusieurs journaux français s’en sont déjà fait l’écho.
Les autorités britanniques n’en sont pas choquées outre mesure, au nom de la tradition communautariste, allant même jusqu’à en reconnaître le « rôle positif ». Toutefois, elles commencent à s’inquiéter des « discriminations » dont seraient victimes les femmes au nom de la loi islamique, en matière de droit civil, au cours des mariages, divorces ou successions, et ont diligenté une enquête dont les résultats seront connus l’année prochaine.
« Discrimination » est un doux euphémisme pour la régression immense des droits de l’homme qu’elle cache au nom d’une religion importée : mariages forcés contre le gré de filles, jeunes filles ou femmes, divorces contraints ou impossibles au désavantage de la femme, polygynie, polygamie… bientôt les punitions corporelles ?
On nous a expliqué qu’il ne fallait pas faire d’amalgame, que l’islam n’était pas l’islamisme et qu’il existait un islam modéré totalement inoffensif qui pourrait prendre sa place à côté des chrétiens et des juifs, dans le plus grand respect de nos démocraties européennes, avec une effusion toute œcuménique.
Force est de constater que la religion musulmane connaît actuellement beaucoup d’interprétations qui sèment la confusion dans les esprits et, en premier lieu, ceux des musulmans. Cependant, les tribunaux islamiques britanniques étant admis par tous, l’islam, « c’est aussi ça ». Fini les discours : l’islam modéré montre son vrai visage, du moins l’islam pratiqué au Royaume-Uni.
Qu’en est-il de l’islam pratiqué en France ? Tareq Oubrou, imam modéré, donnait une conférence à Bordeaux mercredi dernier, et était interrogé à propos de l’égalité homme/femme dans l’islam.
Selon lui, dans le Coran, la femme est l’égale de l’homme parce que homme et femme auraient été créés en même temps et pas l’un après l’autre, ni l’un issu de l’autre, comme dans la Bible. Et aussi parce que la femme ne serait pas vue en tant que pécheresse dans le Coran, contrairement à la Bible.
Bref, les chrétiens en prennent pour leur grade. Ce genre de discours venant d’un homme au demeurant fort sympathique, plein d’humour et, sésame suprême, menacé par l’État islamique, donc forcément modéré et fréquentable, nous rassure sur l’islam. À tort.
Car pendant ce temps, le risque de son emprise sur nos sociétés augmente, et il n’est plus si délirant d’imaginer qu’un jour, en France, la loi ne soit plus rendue au nom du peuple français, comme auparavant au nom du roi de France, mais au nom d’Allah.
L’islamisation ne serait donc pas qu’un fantasme ou un délire d’une extrême droite islamophobe ?
Le méchant groupuscule PEGIDA pourrait-il avoir raison ?
Femmes européennes, tremblez : votre avenir n’est pas rose !
http://www.bvoltaire.fr/emmanuellefrank ... 926cfea9c8
Entre 30 et 85 tribunaux islamiques existent et rendent la justice sur le sol britannique en parallèle des tribunaux légaux.
Emmanuelle Frankl
Juriste
Diplômée en psychologie, membre d’associations caritatives et de défense animale
Selon Le Figaro du 27 mai dernier, entre 30 et 85 tribunaux islamiques (ou « conseils de la charia ») existent et rendent la justice sur le sol britannique en parallèle des tribunaux légaux. Ce n’est pas nouveau, plusieurs journaux français s’en sont déjà fait l’écho.
Les autorités britanniques n’en sont pas choquées outre mesure, au nom de la tradition communautariste, allant même jusqu’à en reconnaître le « rôle positif ». Toutefois, elles commencent à s’inquiéter des « discriminations » dont seraient victimes les femmes au nom de la loi islamique, en matière de droit civil, au cours des mariages, divorces ou successions, et ont diligenté une enquête dont les résultats seront connus l’année prochaine.
« Discrimination » est un doux euphémisme pour la régression immense des droits de l’homme qu’elle cache au nom d’une religion importée : mariages forcés contre le gré de filles, jeunes filles ou femmes, divorces contraints ou impossibles au désavantage de la femme, polygynie, polygamie… bientôt les punitions corporelles ?
On nous a expliqué qu’il ne fallait pas faire d’amalgame, que l’islam n’était pas l’islamisme et qu’il existait un islam modéré totalement inoffensif qui pourrait prendre sa place à côté des chrétiens et des juifs, dans le plus grand respect de nos démocraties européennes, avec une effusion toute œcuménique.
Force est de constater que la religion musulmane connaît actuellement beaucoup d’interprétations qui sèment la confusion dans les esprits et, en premier lieu, ceux des musulmans. Cependant, les tribunaux islamiques britanniques étant admis par tous, l’islam, « c’est aussi ça ». Fini les discours : l’islam modéré montre son vrai visage, du moins l’islam pratiqué au Royaume-Uni.
Qu’en est-il de l’islam pratiqué en France ? Tareq Oubrou, imam modéré, donnait une conférence à Bordeaux mercredi dernier, et était interrogé à propos de l’égalité homme/femme dans l’islam.
Selon lui, dans le Coran, la femme est l’égale de l’homme parce que homme et femme auraient été créés en même temps et pas l’un après l’autre, ni l’un issu de l’autre, comme dans la Bible. Et aussi parce que la femme ne serait pas vue en tant que pécheresse dans le Coran, contrairement à la Bible.
Bref, les chrétiens en prennent pour leur grade. Ce genre de discours venant d’un homme au demeurant fort sympathique, plein d’humour et, sésame suprême, menacé par l’État islamique, donc forcément modéré et fréquentable, nous rassure sur l’islam. À tort.
Car pendant ce temps, le risque de son emprise sur nos sociétés augmente, et il n’est plus si délirant d’imaginer qu’un jour, en France, la loi ne soit plus rendue au nom du peuple français, comme auparavant au nom du roi de France, mais au nom d’Allah.
L’islamisation ne serait donc pas qu’un fantasme ou un délire d’une extrême droite islamophobe ?
Le méchant groupuscule PEGIDA pourrait-il avoir raison ?
Femmes européennes, tremblez : votre avenir n’est pas rose !
http://www.bvoltaire.fr/emmanuellefrank ... 926cfea9c8