reconstruction du temple de Baal ?!

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Otarius-Linux

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reconstruction du temple de Baal ?!

Ecrit le 19 juil.16, 03:57

Message par Otarius-Linux »

Bonjour à tous et à toutes,

En 2015, les médias nous présentaient comme crime contre l'humanité, la destruction du temple de bêl par le groupuscule islamique ISIS :
« La destruction de Palmyre constitue un crime intolérable contre la civilisation mais n’effacera jamais 4 500 ans d’histoire…, affirme Irina Bokova, directrice générale de l’Unesco. Chacune de ces attaques nous appelle à partager encore davantage le patrimoine de l’humanité, dans les musées, les écoles, les médias, à la maison. »
Source : http://www.lemonde.fr/architecture/arti ... 09550.html

Voyons maintenant l'origine et l'histoire,la culture de ce temple au niveau historique :
Baal est une appellation générique d'un dieu, accompagnée d'un qualificatif qui révèle quel aspect est adoré : Baal Marcodés, dieu des danses sacrées ; Baal Shamen, dieu du ciel ; Baal Bek, le Baal solaire ; et surtout, Baal Hammon, le terrible dieu des Carthaginois. Ainsi, chaque région avait son dieu, son Baal local.
Baal est devenu l'appellation punique de nombreux dieux d'origine sémite dont le culte a été célébré depuis le IIIe millénaire av. J.-C. jusqu'à l'époque romaine. Bealiah (plus justement bə‘’alyâ), qui signifie « Jah (YHWH) est Baal ». Il s'agit d'un point de vue de la religion hébraïque d'un blasphème, car remettant en cause l'unicité de Dieu, puisque la Bible considère les « Baal » étrangers comme de faux dieux.
À ce culte est associé la prêtrise, et des sanctuaires sur chaque colline, appelés hauts lieux. À l'intérieur se trouvaient des icônes et statues de Baal, et à l'extérieur des colonnes de pierre (probablement les symboles phalliques de Baal), des poteaux sacrés qui représentaient Ishtar, et des autels à encens. Ce culte était associé aussi dans l'esprit à certains corps célestes (soleil, étoiles)4.
Selon la Bible, des prostitués, mâles et femelles, servaient sexuellement sur les hauts lieux et certains passages bibliques rapportent parmi les rituels chaldéens des sacrifices d'enfants pour obtenir les faveurs de la divinité5, dans le livre de Jérémie (19:5 ) : « Ils ont bâti des hauts lieux à Baal, Pour brûler leurs enfants au feu en holocaustes à Baal : Ce que je n'avais ni ordonné ni prescrit, Ce qui ne m'était point venu à la pensée ». Néanmoins, les liens entre de tels sacrifices et les cultes de Baal ne sont pas nombreux dans les textes bibliques et les sources extra-bibliques ne sont pas probantes sur de tels liens6.

Hannibal (en phénicien Hanni-baal) signifie « qui a la faveur de Baal ». Ce nom a été porté par le fils du général carthaginois Hamilcar Barca.

Baal comptait un temple important à Émèse en Syrie, dont la grand-prêtrise appartenait à la famille des Bassianides. En 218, son grand-prêtre devint empereur de Rome sous le nom d'Héliogabale, grâce à une parenté avec les Sévères par les femmes. Héliogabale imposa pour un temps son culte aux Romains. Ceux-ci le détrônent à cause de ses excès, notamment religieux.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Baal

Je vous recommande également la lecture de cette article, bien plus précis sur l'étude de cette société : Les rites maudits de Moloch-Baal. => http://www.heresie.com/baal.htm

Image

Après lecture, vous avez constaté que le culte de Baal est associé au sacrifice humain, sacrifice d'enfant plus précisément mais l'histoire de s'arrête pas là.

http://www.20minutes.fr/monde/1756887-2 ... rk-londres
Grâce à la technologie, les trésors de Palmyre ne sont peut-être pas totalement perdus. Il y a quelques mois, des experts des Nations unies avaient confirmé que les combattants de l’organisation Etat islamique avaient détruit, à coups d’explosifs, le bâtiment principal du temple, érigé il y a 2.000 ans, ainsi qu’une rangée de colonnes qui le jouxte. Des répliques d’une arche de ce site archéologique syrien vont être exposées à Londres et New York en 2016, a indiqué ce lundi l’Institut pour l’archéologie numérique.
Reproductions grandeur nature
Réalisées grâce à une imprimante 3D, ces copies grandeur nature de l’arche du temple de Bêl seront installées en avril 2016 à Trafalgar Square à Londres, et à Times Square à New York. La reproduction de l’arche s’inscrit dans le cadre d’un événement spécial consacré au patrimoine mondial.
Des reproductions plus petites de l’arche seront également exposées « dans des écoles, des musées et des lieux publics célèbres », a indiqué à l’AFP Alexy Karenowska, directrice technique de l’Institut pour l’archéologie numérique, hébergé par les universités d’Oxford (Royaume-Uni) et Harvard (Etats-Unis).
Voilà, cette horreur nous est présenté comme patrimoine de l'humanité ! Vous connaissez également les rumeurs de l'organisation d'ISIS et son financement occulte. Cela devient troublant même si les médias et L’UNESCO tentent de nous rassurer en pointant cela comme "trésor historique" et crime contre l'humanité.
Que pensez-vous de cette histoire ?
" il ne peut y avoir de vérité dès l'instant où l'on croit aux mensonges "

Akenoï

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Re: reconstruction du temple de Baal ?!

Ecrit le 19 juil.16, 06:07

Message par Akenoï »

Mais c'est un patrimoine de l'humanité.
Nous devons sauvegarder ce patrimoine, qui nous éclaire sur notre histoire et nous relie au passé.
"Supplie Dieu d’accorder aux hommes une oreille attentive, une vue perçante, un coeur réceptif et empli d’amour afin que ses serviteurs parviennent à celui que leur coeur désire et tournent leur visage vers leur Bien-Aimé."

Saint Glinglin

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Re: reconstruction du temple de Baal ?!

Ecrit le 19 juil.16, 06:26

Message par Saint Glinglin »

Otarius-Linux a écrit :Après lecture, vous avez constaté que le culte de Baal est associé au sacrifice humain, sacrifice d'enfant plus précisément mais l'histoire de s'arrête pas là.

Voilà, cette horreur nous est présenté comme patrimoine de l'humanité !
Ex 22.29 Tu ne différeras point de m'offrir les prémices de ta moisson et de ta vendange.
Tu me donneras le premier-né de tes fils.
30 Tu me donneras aussi le premier-né de ta vache et de ta brebis;
il restera sept jours avec sa mère; le huitième jour, tu me le donneras.

yacoub

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Re: reconstruction du temple de Baal ?!

Ecrit le 19 juil.16, 06:30

Message par yacoub »

Akenoï a écrit :Mais c'est un patrimoine de l'humanité.
Nous devons sauvegarder ce patrimoine, qui nous éclaire sur notre histoire et nous relie au passé.
Il y a des livres que l'humanité doit oublier comme
la Torah
Le Coran
Mein Kampf
Le Petit Livre Rouge de Mao
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Akenoï

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Re: reconstruction du temple de Baal ?!

Ecrit le 19 juil.16, 06:41

Message par Akenoï »

Yacoub, ça va, on a compris. Un peu de tenue. Tu te comportes comme un enfant.
"Supplie Dieu d’accorder aux hommes une oreille attentive, une vue perçante, un coeur réceptif et empli d’amour afin que ses serviteurs parviennent à celui que leur coeur désire et tournent leur visage vers leur Bien-Aimé."

bercam

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Re: reconstruction du temple de Baal ?!

Ecrit le 19 juil.16, 07:39

Message par bercam »

Sacrifice humain ?!

Image


“Ils ont construit des autels au Baal, pour y brûler leurs enfants par le feu, en holocauste au Baal. Chose que je n’ai pas ordonnée, dont je n’ai même pas parlée et qui ne m’est jamais venue à l’esprit !” (Jér. 19:5). Chose que je n’ai pas ordonnée – c’est (le sacrifice du) fils de Misha ; roi de Moav. Dont je n’ai pas parlée – c’est (le sacrifice de) la fille de Jephté ; Qui ne m’est pas pas venue à l’esprit – c’est (le sacrifice de) Ytshaq, fils d’Avraham. (T.B Taanit 4a)

Un des passages les plus bouleversants du livre de Bereishit est probablement celui de la akédat ytsh’aq (Genèse , chapitre 22), où Dieu demanda à Avrahamde sacrifier son fils. Bien évidemment, l’issue est plus joyeuse. À la dernière minute, un ange arrêteAvraham in extremis et le bénit pour sa foi. Cependant, lorsque nous lisons ce passage, des questions cruciales nous viennent immédiatement à l’esprit :
1.Quel est ce Dieu barbare qui semble désirer les sacrifices humains ?
2.Comment Abraham s’exécute t-il si facilement, sans même tenter d’invoquer la miséricorde divine pour ce fils tant attendu ?
3.Quel message la Torah cherche t-elle à faire passer ?

Une des approches les plus pertinentes pour comprendre un récit biblique consiste,dans un premier temps, à le resituer dans son contexte. Avraham ne vivait pas à notre époque, les premiers hébreux non plus. Or, tant la Bible que d’autres sources extérieures nous livrent de nombreux détails sur le train de vie des sociétés antiques.

Plongeons nous quatre milles ans en arrière. Le monde entier est idolâtre, à l’exception d’Abraham qui, après un long parcours, est devenu le premier monothéiste. Pourtant, que connait-il de Dieu, si ce n’est son existence ? Rappelons nous encore qu’àcette époque, le sacrifice d’enfants est un fait banal. Le geste est fort : c’est en sacrifiant ce qu’on a de plus cher qu’on exprime la profondeur de son adoration aux dieux.

Vu sous cet angle, le geste d’Avrahamest certes fort, mais n’a rien d’exceptionnel. À cette époque, sacrifier son enfant est un geste commun. Les voisins d’Avraham estiment évident que celui qui se prétend le serviteur d’un nouveau dieu fasse preuve d’au moins autant de dévouement qu’eux envers son seigneur.

Ce Dieu unique auquel Avraham croit lui ordonne de sacrifier son fils. Peu surprenant pour Avraham, qui ne le connait pas vraiment. Pourquoi n’exigerait-il pas ce que tous les autres dieux exigent ?

Nous, héritiers de quatre milles ans d’histoire juive, sommes surpris par le silence d’Avraham. Nous nous serions plutôt attendu à un déchainement d’empathie à l’égard de son fils, à une défense similaire à celle que Moshé tint devant Dieu après la faute du veau d’or : « Maintenant donc, de grâce, que la puissance de Dieu se déploie, comme tu l’as déclaré en disant: « L’Éternel est plein de longanimité et de bienveillance; il supporte le crime et la rébellion, sans toutefois les absoudre, faisant justice du crime des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et à la quatrième génération. » Oh! Pardonne le crime de ce peuple selon ta clémence infinie, et comme tu as pardonné à ce peuple depuis l’Egypte jusqu’ici! » »1 Un plaidoyer auquel Dieu n’avait pu que répondre « je (les) ai pardonné, selon ta parole », à plus forte raison lorsqu’il s’agit d’un être innocent comme l’était Ytshaq.

Nous oublions simplement qu’Avraham ne partage pas notre héritage, il en est le père fondateur. Tel un pionnier, il est le premier qui part à la découverte du dieu unique, sans savoir où sa quête le mènera. Ce dieu, il ne le connaitra jamais vraiment. « Et mon nom YHWH je ne leur ai pas fait connaître »2.

Avraham part donc exécuter la parole de son Dieu. Malgré l’acte religieux quasi-banal que représentait alors l’infanticide, sa douleur se lit à travers le silence pesant qui règne dans le récit biblique. On ne nous raconte pas ce qu’Avraham traversa durant ces trois jours terribles, alors qu’il pensait passer ces derniers instants avec son fils tant chéri. On imagine ses doutes, ses craintes. Comment lui avouer ? Comment l’annoncer à Sarah ? Les poètes juifs traditionnels ont construit une montagne de ce silence, interprétant de façon bouleversante les émotions qui traversent le père et le fils.

À un moment, Ytshaq semble comprendre. « Ysthaq dit à son père : »Papa ! ». Son père lui répondit : »c’est moi mon fils ». ». Ytshaq n’arrive pas à formuler son interrogation, tant elle est troublante. Tous les signes sont là, mais est-ce vraiment possible ? Son père s’apprête t-il vraiment à le sacrifier ? Serait-il devenu aussi rustre que ses voisins païens ? Est-ce bien ce père qu’il a connu ? La réponse d’Avraham est emplie d’amour, c’est moi mon fils. Le mot employé est הנני et non אני. C’est lui, de tout son être et de tout son coeur. C’est le même père aimant, bon et juste. Mais alors, demande Ytshaq, “voici la torche et le bois, mais où est le belier pour l’holocauste ?”. “C’est Dieu qui pourvoira le bélier, mon fils”, dit Avraham. La réponse est certes floue, mais il est clair qu’Ytshaq l’a bien comprise – comme le texte nous le souligne, ils avancèrent alors les deux ensemble. Avraham le vieillard placera seul son fils, un jeune homme, sur l’autel. Il n’y a pas de rapport de force, les deux acceptent la volonté divine.

Avraham a déjà saisi le couteau, mais voilà qu’un ange l’arrête. Qu’est ce qu’un ange sinon une idée divine immatérielle ? On peut supposer que ce qui arrête Avraham, c’est lui même. Avraham, le premier monothéiste, à intégrer si totalement l’idée divine qu’elle fait partie de lui. Au dernier moment, peut être bien qu’Avraham comprend soudain que Dieu ne peut pas vouloir une telle chose de lui… L’ange est-il intérieur ou extérieur à Avraham ? Difficile de le savoir. Ce qui est essentiel, c’est que Dieu l’arrête.

Le symbole est essentiel, ce qui nous parait si évident ne l’était pas du tout alors. Un Dieu qui ne veut pas de sacrifice humain, voilà qui n’existait pas. Lorsqu’Avraham avait quitté la demeure avec son fils, il n’avait rien commis de particulier pour les gens qui l’entouraient. Revenir avec son fils, voilà qui est incroyable. Pour la première fois, les habitants découvrent un dieu qui ne fonctionne pas comme une idole égoiste, exigeant un rapport exclusif et un dévouement en contradiction avec la morale humaine la plus basique. Les hommes, dans leurs fantasmes, avaient créé des dieux humains, abusant sans limite de la puissance qu’on leur donnait. Pour la première fois apparait un dieu divin.

Le texte de la Torah ressemble à si méprendre à d’autres récits mythologiques de son époque. Ce qui connote, c’est la conclusion. Si dans la culture paienne, le fils est toujours sacrifié, dans la Torah, Dieu lui même arrête ce geste. L’humanité sort brusquement de son paganisme. L’idée la plus évidente que véhicule ce récit, c’est celle du droit à la vie. Rien n’est plus important, pas même le service divin. De plus, pour la première fois, on comprend que le sentiment religieux ne vient pas contredire les émotions les plus humaines et morales, comme l’amour d’un père pour son fils, bien au contraire, il les élève et les sanctifie.

Par ce récit, la Torah vient mettre fin à la barbarie, à l’immoralité et à la dépravation des cultures païennes. Dieu lui même ne veut pas de sacrifice humain, à plus forte raison qu’il ne veut pas de morts inutiles, de cruautés gratuites, de souffrances et d’injustices. Ce message est devenu une évidence pour nous, et c’est bien la preuve de sa réalisation.

Je tiens à souligner encore deux éléments pour souligner encore une fois qu’à une certaine époque, l’enjeu était bien moins évident. Les commentateurs chrétiens, emprunts du paganisme des peuples dont ils sont issus, ont souvent assimilé l’épisode de la akédah à la mort de Jésus. Selon leurs interprétations, la akédah n’est que le pâle reflet du sacrifice du Christ. Dans les deux cas, un père sacrifie son fils, pour le pardon de l’humanité. Mais si Ytshaq avait entrepris ce premier geste, c’est Jesus qui le terminera par sa mort.3 Ainsi, tout le message biblique est perverti et transformé en paganisme. La mort, à la place d’être condamnée, est sublimée, comme dans toutes les cultures primitives.

Un deuxième élément, plus proche de nous, sont les hypothèses de quelques têtes pensantes de la critique biblique. Ainsi, certains n’hésitent pas à supposer qu’il est probable que le récit “original” de la akédah comportait une fin différente, dans laquelle Ytshaq était bel et bien sacrifié4 ! Si nous considérons la Torah comme une mythologie classique, alors il est effectivement logique de supposer que la fin du récit devait correspondre à la fin “classique” de ce genre de mythes. Cette remarque ne fait que renforcer, encore une fois, le message religieux. Une fin où Dieu arrêterait Avraham ne correspond pas du tout aux moeurs de l’époque, et c’est bien là tout le message que la Torah veut faire passer. Pour moi, pas de doutes, la vraie fin du récit est bien celle que nous avons entre les mains, c’est là toute sa force et sa beauté.



http://www.modernorthodox.fr/sacrificeh ... rint=print

MonstreLePuissant

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Re: reconstruction du temple de Baal ?!

Ecrit le 19 juil.16, 09:05

Message par MonstreLePuissant »

Heureusement qu'on ne laisse pas aux religieux le soin de décider de l'histoire. Les uns détruisent et les autres veulent empêcher de construire. Et Dieu s'en fout car il n'a rien demandé.
Otarius-Linux a écrit :Baal est devenu l'appellation punique de nombreux dieux d'origine sémite dont le culte a été célébré depuis le IIIe millénaire av. J.-C. jusqu'à l'époque romaine. Bealiah (plus justement bə‘’alyâ), qui signifie « Jah (YHWH) est Baal ». Il s'agit d'un point de vue de la religion hébraïque d'un blasphème, car remettant en cause l'unicité de Dieu, puisque la Bible considère les « Baal » étrangers comme de faux dieux.
Evidemment que YHWH était un Baal, en concurrence avec les autres Baal. YHWH est même associé à une déesse. Ce n'est pas parce que les hébreux en ont fait un dieu unique que c'était vrai.
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix

Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix

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Re: reconstruction du temple de Baal ?!

Ecrit le 19 juil.16, 09:22

Message par Saint Glinglin »

Tissu de mensonges sur fond de racisme.

Ce texte se garde bien de dire que condamner les sacrifices à Baal n'est pas condamner la nature des sacrifices mais les sacrifices à un autre dieu.

Erdnaxel

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Re: reconstruction du temple de Baal ?!

Ecrit le 19 juil.16, 12:45

Message par Erdnaxel »

yacoub a écrit :Il y a des livres que l'humanité doit oublier comme la Torah, Le Coran, Mein Kampf, Le Petit Livre Rouge de Mao
Je ne suis pas sûr d'avoir compris ce que tu cherches à dire, mais si c'est pour dire qu'il faut brûler la Bible, le Talmud, le Coran, la Sunna, la Sira, Mein Kampf car porteur d'idéologies amenant notamment à faire le mal et à abrutir.
_______________________________________________________________________________________________________________________________________________
Et bien moi je pense qu'il ne faut pas les brûler. Ce ne sont que des livres et le problème: ce n'est pas "ces livres sacrés", mais les gens qui veulent appliquer et imposer la folie de "ces livres sacrés".

D'ailleurs ce qui ont foi en la vérité n'ont pas peur des mensonges ou des bêtises proférés dans "ces livres sacrés".

Cela n'empêche pas la réalité que notamment, des musulmans comme des nazis n'ont pas foi en la vérité et se complaisent à vivre dans le mensonge.

S'ils (nazis et musulmans notamment) pensent vraiment que leurs doctrines et si vrai que cela: pourquoi vouloir brûler les livres et s'attaquer à la connaissance, la culture et au développement de l'intelligence? (Parce ce qu'ils craignent que la vérité triomphera face à leurs mensonges).





S'il est vrai qu'ils ont bien du mal à manipuler des gens instruits, il est aussi vrai qu'ils ont bien des facilités à manipuler des gens incultes.

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