Les « co-évolutions » : un des grands scandales de l'évolutionnismeWikipédia a écrit :La symbiose (du grec σύν sýn, ensemble et βίος bíos vivre) est une association intime, durable entre deux organismes hétérospécifiques (appartenant à des espèces différentes). Les organismes impliqués sont qualifiés de symbiotes, ou, plus rarement symbiontes (anglicisme) ; le plus gros peut être nommé hôte. La durabilité de l'association est une notion relative qui est caractérisée par une association recouvrant une part significative de la durée de vie d'un des deux organismes.
Dans un article du magazine mensuel « Pour la Science » d’octobre 1982, un évolutionniste parle d’une donnée courante dans la nature ; l’article a pour titre « La co-évolution d’un papillon et d’une plante grimpante ». Je cite l’article :
« Les papillons héliconius pondent leurs œufs exclusivement sur les fleurs de la passion. Pour se défendre, ces fleurs sont munies d’excroissances, ayant l’apparence d’œufs d’héliconius, dissuadant ainsi les papillons d’y déposer leurs œufs : ces papillons croient qu’il y a déjà une ponte sur la plante. » Le mimétisme des œufs sur la plante est parfait.
Qui peut croire que la Sélection Naturelle de Darwin (qui est toujours d’actualité, même pour le néo-darwinisme), puisse fabriquer de tels mimétismes, par le seul moteur du hasard ?
Réfléchissez : soyez objectifs, prenez un œil averti et scrutateur, rigoureux....
.... Et demandez-vous comment le hasard (voir le livre « Le hasard et la nécessité » de Jacques Monod, livre fondateur du néo-darwinisme) puisse fabriquer un édifice organique (c’est à dire un organe) mimétique, c’est à dire identique, à une plante, avec un autre organisme ayant une apparence donnée mais n’ayant aucun rapport génétique (puisque c’est un animal et que le premier est une plante) ?
Comment le « pont » écologiquement fonctionnel et ayant un sens, peut-il s’établir à l’aide du hasard, qui, par définition, fait toujours n’importe quoi ?... Or, même les évolutionnistes se fiant à la T.S.E. ne s'éloignent de la déification du dieu-Hasard que selon des modalités plus approfondies et plus « fouillées » que le néodarwinisme de Jacques Monod.
Encore une fois, l’évolutionnisme ne satisfait pas à l’explication de l’origine des données naturelles.
Et il existe des exemples innombrables de soi-disant « co-évolutions » entre plusieurs espèces.
Je reprends donc un autre exemple :
La plus invraisemblable des harmonies écologiques, la plus catastrophique pour un évolutionniste est celle, énorme, évidente et tellement universelle qu’aucun article scientifique n’en parle jamais, tant l’énigme est COLOSSALE, ABSOLUE, ABERRANTE, INEPTE ; les mots manquent pour qualifier cette inqualifiable harmonisation « évolutive » de dizaines de milliers d’espèces simultanément (sic !) dans un cadre évolutionniste : c’est la reproduction des plantes à fleurs...
Je m’explique.
Les fleurs sont pourvues d’étamines, qui sont les organes mâles (qui contiennent les « anthéridies », sortes de spermatozoïdes) de la fleur, et un pistil, et, en bas du pistil, ce qu’on appelle un gynécée, qui contient les ovules, le tout formant l’organe femelle de la fleur. Les fleurs se reproduisent donc, chaque année, par reproduction sexuée. Je rappelle que la reproduction sexuée a pour « but » le mélange des informations génétiques de deux individus de la même espèce afin de donner un individu nouveau au plan de son patrimoine génétique. Eh bien ce sont les abeilles qui, pour 80 % des espèces de plantes à fleurs, sont absolument indispensables pour la rencontre génétique de deux individus « fleurs ».........
Vous allez me dire que tout le monde le sait... Mais bien sûr que tout le monde le sait !...
Mais au plan de l’explication de l’apparition évolutionniste de cet arrangement entre les fleurs et les abeilles, c’est une aberration !
Je m’explique.
Un exemple de « co-évolution » impossible :
350.000 fleurs apparues à la même saison de printemps, que les abeilles
Les plantes à fleurs constituent les trois quarts des espèces de plantes terrestres. Les autres sont les conifères, les fougères, et les mousses, ces trois groupes constituant le dernier quart des espèces de plantes terrestres (c’est à dire non-aquatiques). Il se trouve que les fleurs ont besoin des abeilles pour se faire féconder et, par la suite, de donner un fruit (je rappelle que toute fleur se transforme en fruit , comestible ou non, suite à sa fécondation).
Ceci dit, quel est l’évolutionniste qui a expliqué :
comment les abeilles ont survécu sans les fleurs, lorsqu’elles n’étaient pas apparues, étant donné qu’elles ne se nourrissent que du nectar des fleurs ?
ou, comment 80 % des fleurs (celles pollinisées par les abeilles) se reproduisaient-elles lorsque les abeilles n’étaient pas apparues ?
ou encore, quel est le conte de fée qui peut expliquer, de façon évolutionniste, que 80 % des plantes à fleurs (ou, du moins, une partie des fleurs parmi elles) ait eu immédiatement une répartition géographique identique à celle de cette société animale qui, de plus, serait apparue LE MEME PRINTEMPS, avec toute la complexité inouïe que constitue cette société animale BASEE SUR la recherche de nectar et de fabrication du miel ?
Les évolutionnistes quémandent des millions d'années pour l’apparition d’une espèce, et là, il faudrait que les fleurs (quelques milliers d'espèces au moins) et les abeilles soient apparues LE MEME PRINTEMPS ??!!
Comme d’habitude, on se trouve face à une énigme totale... Qui n’a aucun sens pour un évolutionniste sincère.
Mais les « co-évolutions » sont des dizaines de milliers voire des dizaines de millions quand on songe qu’il existe 30 millions d’espèces vivantes, qui sont écologiquement équilibrées, aujourd’hui...
Autrement dit : qui est apparu en premier, la gazelle ou le lion ? Le hérisson ou le ver de terre ? Le serpent ou le lapin, l’aigle ou le mouton ?......
http://lifeorigin.free.fr/evolutionnism ... nce-2.html