Un islam de France ? Bon courage, M. Valls !
Posté : 11 août16, 15:56
L’objectif de l’islam est toujours le même. Seule la nature des moyens diffère.
Chaque jour qu’Allah crée nous amène son lot de voluptés diverses. Après la phase des menus halal, la « polémique » du port du voile, la burka, le burkini, dans les hôpitaux, les crèches, les écoles, les piscines, l’administration, après le ramadan et les territoires perdus de la République, voici venue la phase débutante des massacres et autres joyeusetés à commettre au nom de la religion d’amour et de paix, en république multiculturelle : c’est « de plus en plus belle la vie ».
Quelle place, dans cette République laïque, devraient prendre les signes ostentatoires à caractère politique liés à l’islam, fussent-ils d’ordre vestimentaire, alimentaire ou sanguinaire ?
Suite aux attentats perpétrés par des « islamistes », Manuel Valls, dans une tribune récente du JDD, souhaite « reconstruire l’islam de France » et signale l’« urgence » à « bâtir un véritable pacte » avec l’islam, en revoyant notamment les règles autour de ses financements extérieurs, la formation des imams tout en arguant que la deuxième religion de France a « trouvé sa place dans la République ». Une place de choix, cela va sans dire.
« Si l’islam n’aide pas la République à combattre ceux qui remettent en cause les libertés publiques, il sera de plus en plus dur pour la République de garantir le libre exercice du culte », explique-t-il. Et d’ajouter : « L’époque impose, plus que jamais, un devoir de lucidité face à la montée de l’islamisme et du djihadisme mondialisé avec sa vision apocalyptique. »
Sauf que, si tous les attentats sont commis par des déséquilibrés terroristes, des islamistes qui n’ont strictement rien à voir avec l’islam, si l’amalgame est perpétuellement honni, quelle est l’utilité d’un pacte avec l’islam, de surcroît si celui-ci a « trouvé sa place dans la République » ? Sommes-nous en guerre contre l’islam où l’islamisme, en fin de compte ? Valls serait-il un nauséabond islamophobe qui s’ignore ? Ne devrait-on pas plutôt investir dans des hôpitaux psychiatriques que dans des centres de déradicalisation où les chances de réussite sont autant significatives que celles de guérir un cancer métastatique par de l’homéopathie ?
Bien avant Manuel Valls et ses gesticulations sémantiques bienveillantes, Mahmoud Taha, théologien soudanais, a essayé de rouvrir l’interprétation du Coran, en particulier sur sa violence intrinsèque et la condition de la femme. Celui-ci considérait que seules les sourates de La Mecque (celles qui datent d’avant 622, année de l’Hégire) avaient une portée universelle, contrairement aux sourates médinoises, avec leurs caractéristiques historiques dépassées. Mahmoud Taha fut d’abord déclaré apostat par l’université Al Azhar, principale université d’étude islamique, et exécuté en 1985 car refusant de se rétracter.
Pour l’information de notre lucide Premier ministre, l’islam est une idéologie qui se base sur une lecture littérale du Coran, incréé et immuable, dont les strictes et intégrales applications sont le devoir de tout musulman afin de le faire triompher. Un être humain ne peut en aucun cas en modifier les préceptes et ce n’est pas apprendre à trancher une gorge dans la langue de Molière qui rendra ceux-ci compatibles avec les « valeurs de la république ».
L’objectif de l’islam est toujours le même. Seule la nature des moyens diffère. Ce qui se passe de nos jours se passe depuis plus de 1.400 ans, depuis l’avènement de la religion du prophète Mahomet, promoteur par excellence du djihadisme et modèle parfait à suivre pour tous les musulmans sans exception. Monsieur Valls, nous vous souhaitons donc bonne chance et beaucoup de courage dans votre entreprise.
Pierre Mylestin, médecin
Boulevard Voltaire
Chaque jour qu’Allah crée nous amène son lot de voluptés diverses. Après la phase des menus halal, la « polémique » du port du voile, la burka, le burkini, dans les hôpitaux, les crèches, les écoles, les piscines, l’administration, après le ramadan et les territoires perdus de la République, voici venue la phase débutante des massacres et autres joyeusetés à commettre au nom de la religion d’amour et de paix, en république multiculturelle : c’est « de plus en plus belle la vie ».
Quelle place, dans cette République laïque, devraient prendre les signes ostentatoires à caractère politique liés à l’islam, fussent-ils d’ordre vestimentaire, alimentaire ou sanguinaire ?
Suite aux attentats perpétrés par des « islamistes », Manuel Valls, dans une tribune récente du JDD, souhaite « reconstruire l’islam de France » et signale l’« urgence » à « bâtir un véritable pacte » avec l’islam, en revoyant notamment les règles autour de ses financements extérieurs, la formation des imams tout en arguant que la deuxième religion de France a « trouvé sa place dans la République ». Une place de choix, cela va sans dire.
« Si l’islam n’aide pas la République à combattre ceux qui remettent en cause les libertés publiques, il sera de plus en plus dur pour la République de garantir le libre exercice du culte », explique-t-il. Et d’ajouter : « L’époque impose, plus que jamais, un devoir de lucidité face à la montée de l’islamisme et du djihadisme mondialisé avec sa vision apocalyptique. »
Sauf que, si tous les attentats sont commis par des déséquilibrés terroristes, des islamistes qui n’ont strictement rien à voir avec l’islam, si l’amalgame est perpétuellement honni, quelle est l’utilité d’un pacte avec l’islam, de surcroît si celui-ci a « trouvé sa place dans la République » ? Sommes-nous en guerre contre l’islam où l’islamisme, en fin de compte ? Valls serait-il un nauséabond islamophobe qui s’ignore ? Ne devrait-on pas plutôt investir dans des hôpitaux psychiatriques que dans des centres de déradicalisation où les chances de réussite sont autant significatives que celles de guérir un cancer métastatique par de l’homéopathie ?
Bien avant Manuel Valls et ses gesticulations sémantiques bienveillantes, Mahmoud Taha, théologien soudanais, a essayé de rouvrir l’interprétation du Coran, en particulier sur sa violence intrinsèque et la condition de la femme. Celui-ci considérait que seules les sourates de La Mecque (celles qui datent d’avant 622, année de l’Hégire) avaient une portée universelle, contrairement aux sourates médinoises, avec leurs caractéristiques historiques dépassées. Mahmoud Taha fut d’abord déclaré apostat par l’université Al Azhar, principale université d’étude islamique, et exécuté en 1985 car refusant de se rétracter.
Pour l’information de notre lucide Premier ministre, l’islam est une idéologie qui se base sur une lecture littérale du Coran, incréé et immuable, dont les strictes et intégrales applications sont le devoir de tout musulman afin de le faire triompher. Un être humain ne peut en aucun cas en modifier les préceptes et ce n’est pas apprendre à trancher une gorge dans la langue de Molière qui rendra ceux-ci compatibles avec les « valeurs de la république ».
L’objectif de l’islam est toujours le même. Seule la nature des moyens diffère. Ce qui se passe de nos jours se passe depuis plus de 1.400 ans, depuis l’avènement de la religion du prophète Mahomet, promoteur par excellence du djihadisme et modèle parfait à suivre pour tous les musulmans sans exception. Monsieur Valls, nous vous souhaitons donc bonne chance et beaucoup de courage dans votre entreprise.
Pierre Mylestin, médecin
Boulevard Voltaire