Atheisme, paresse, et conditionnement social.
Posté : 10 mai05, 07:06
Sans entrer dans le theme chaud de l'atheisme en tant que foi, voici ce que néanmoins on peut reprocher à cet position...
Faisant profession de foi de ne croire en rien, ou dumoins de ne pas s'interroger constructivement sur la question de Dieu et les interrogation qui en derivent, ( "quelle est le sens de tout ça?", "Ne suis-je qu'un cadavre en sursis?", "qu'est ce qui m'attend apres ma mort?") l'athé de base construit sa vie sur le "certain"... sachant que le certain n'englobe "que" la science, il ne peut esquisser une reponse ou une hypothèse probable concerant les dites questions.
"Mais on ne peut repondre à ces questions!, s'ecrierai t'il.
-Qu'en sais tu? Tu as decidé de les occulter et de ne pas te pencher objectivement sur l'ensemble des textes... des lors il est normal de ne pas pouvoir y repondre."
Tout athé qu'il est, il sait qu'il y a, sauf preuves dans un sens ou l'autre, une chance sur deux que Dieu existe, et dans l'eventualité ou il existe, une chance sur deux qu'il se soit prononcé à travers les textes...
Ce qui ferait une chance sur quatre de trouver quelque chose de "divin" dans les dits textes... est-ce que cela ne constitue pas une probabilité suffisante pour se pencher durablement dessus jusqu'a atteindre une quasi certitude? ... Souvent l'athé campe sur sa position par paresse, et en se basant sur une impression pejorative (et meritée) qu'il a de la religion, de ses dogmes "rigides", de ses contradictions et des ecarts sanguinolants ou simplement idiots des croyants.
Faisant profession de foi de ne croire en rien, ou dumoins de ne pas s'interroger constructivement sur la question de Dieu et les interrogation qui en derivent, ( "quelle est le sens de tout ça?", "Ne suis-je qu'un cadavre en sursis?", "qu'est ce qui m'attend apres ma mort?") l'athé de base construit sa vie sur le "certain"... sachant que le certain n'englobe "que" la science, il ne peut esquisser une reponse ou une hypothèse probable concerant les dites questions.
"Mais on ne peut repondre à ces questions!, s'ecrierai t'il.
-Qu'en sais tu? Tu as decidé de les occulter et de ne pas te pencher objectivement sur l'ensemble des textes... des lors il est normal de ne pas pouvoir y repondre."
Tout athé qu'il est, il sait qu'il y a, sauf preuves dans un sens ou l'autre, une chance sur deux que Dieu existe, et dans l'eventualité ou il existe, une chance sur deux qu'il se soit prononcé à travers les textes...
Ce qui ferait une chance sur quatre de trouver quelque chose de "divin" dans les dits textes... est-ce que cela ne constitue pas une probabilité suffisante pour se pencher durablement dessus jusqu'a atteindre une quasi certitude? ... Souvent l'athé campe sur sa position par paresse, et en se basant sur une impression pejorative (et meritée) qu'il a de la religion, de ses dogmes "rigides", de ses contradictions et des ecarts sanguinolants ou simplement idiots des croyants.