Alors que DAESCH recule et semble s'effondrer plus vite que prévu , d’après certains experts , la France , comme d'autres , s’inquiète du retour probable des djihadistes encore sur place , ils seraient au nombre de 680 ......
se qui laisse perplexe , c'est qu'ont nous a affirmer , qu'avec la mise en place des contrôles dans les avions , et la soit disant mise en place de gardes frontière en Europe , ce ne serait plus ou pas possible pour des djihadistes de passer la frontière.......
on comprend mieux que le " risque zéro " n 'existe pas d’après nos élus , dans se cas on l’amplifie ........le risque......
Re: 680 djihadistes de retour vers la france ?
Posté : 16 août16, 22:03
par vic
Moi je suis pour enlever la nationalité française aux binationaux qui ont fait du terrorisme , au moins une bonne parti de ces djiadhistes n'ayant plus la nationalité française ne pourraient plus aussi facilement résider en en france .
C'est du reste ce que s'apprète à faire l'allemagne .
On est beaucoup trop généreux avec ces gens là et surtout on prend un risque énorme à les garder sous nationalité française .
Re: 680 djihadistes de retour vers la france ?
Posté : 16 août16, 23:40
par Liberté 1
braque de weimar a écrit :bonjour a tous ,
Alors que DAESCH recule et semble s'effondrer plus vite que prévu , d’après certains experts , la France , comme d'autres , s’inquiète du retour probable des djihadistes encore sur place , ils seraient au nombre de 680 ......
Quelle-est la source de cette information ?
Re: 680 djihadistes de retour vers la france ?
Posté : 17 août16, 01:34
par braque de weimar
bonjour liberte ,
voir les infos sur la page d'accueil orange , il s'agit du journal "le parisien" du jour.........
Re: 680 djihadistes de retour vers la france ?
Posté : 17 août16, 05:29
par Liberté 1
braque de weimar a écrit :bonjour liberte ,
voir les infos sur la page d'accueil orange , il s'agit du journal "le parisien" du jour.........
Bonjour Braque
Je n'ai pas trouvé, mais, il y a un article similaire.
LE FAIT DU JOUR. Alors que Daech recule dans ses fiefs, Paris cherche comment faire face au retour des Français partis combattre dans ses rangs.
Jamais la luttecontre Daech n'aura autant mobilisé les dirigeants français. Depuis quelques mois, dans le secret de l'Elysée, les Conseils de défense et de sécurité se succèdent à un rythme soutenu. Ce mercredi matin encore, autour de François Hollande, les ministres de haut rang (Défense, Intérieur), les chefs militaires et les responsables des services de renseignement vont s'échanger les toutes dernières informations sur l'étendue de la menace et les opérations en cours. Mais, alors que le groupe Etat islamique recule depuis des mois en Syrie et en Irak, une question en particulier taraude les responsables politiques et sécuritaires : que faire des djihadistes français qui tenteront de revenir dans l'Hexagone lorsque Daech perdra tous ses territoires ? « C'est un sujet que nous essayons d'anticiper, admet le chef de l'Etat en privé. La coalition anti-EI se donne entre six mois et un an avant de remporter la bataille sur le terrain. Nous devons nous projeter dans l'après. » Le défi est de taille.
Car, selon les derniers chiffres, la France reste le pays européen le plus touché par le phénomène djihadiste avec 680 adultes, français ou résidant en France, présents actuellement en Syrie et en Irak et 420 mineurs. Certains combattants opèrent dans la région de Mossoul. Mais la plupart des Français de l'EI se trouvent actuellement dans le nord de la Syrie, en particulier autour de Raqqa, la capitale du « califat » autoproclamé.
«Des gens relevant de la psychiatrie»
Bien sûr, les derniers attentats de Nice et de Saint-Etienne-du-Rouvray ont montré que des individus radicalisés pouvaient tuer sans avoir besoin de bouger de chez eux. Mais les autorités françaises craignent également une réédition de l'attaque du Bataclan et des terrasses parisiennes de novembre 2015 (130 morts) par des militants revenus du front.
« Il ne faudra pas perdre de vue que, parmi les futurs vétérans, il y aura des terroristes très aguerris, mais aussi des gens relevant d'ores et déjà de la psychiatrie et dont nous ne savons pas ce qu'ils vont devenir », expliquait récemment Patrick Calvar, le directeur général de la sécurité intérieure, devant la commission de la Défense nationale de l'Assemblée.
Après des années passées sur le terrain, certains djihadistes sont devenus de véritables machines à tuer. « Ils connaissent les filières pour se procurer des armes », ajoute une source militaire. D'autres sont devenus des experts en matière d'explosifs qu'ils peuvent parfois fabriquer en utilisant des produits de consommation courante (comme les engrais agricoles).
Sans le crier sur les toits, Paris a demandé à tous ses alliés de la coalition de lui fournir des informations sur ses ressortissants présents en Irak et en Syrie afin de les recouper avec ses propres données. Des frappes aériennes ont déjà eu lieu pour « neutraliser » (c'est-à-dire tuer) des combattants français. Mais, au sommet de l'Etat, on reconnaît que cela ne suffira pas et qu'il faudra trouver des solutions plus globales pour contrôler le flux des retours.