Baha'i et l'alcool
Posté : 24 août16, 03:20
Pistes de réflexion... pour ceux qui reflexionnent...
http://www.bahai-biblio.org/centre-doc/ ... on1.htm#12
57. Il est inadmissible que l'homme, qui fut doté de raison, consomme ce qui la lui dérobe. Non, il lui convient plutôt de se comporter d'une manière digne de sa condition et de ne pas imiter les méfaits de l'âme irrésolue et négligente.
(Baha'u'llah, "Le Kitab-i-Aqdas", p. 63.)
58. Gardez-vous d'utiliser toute substance qui cause apathie et torpeur au temple humain, et qui inflige du tort au corps. En vérité, nous ne désirons pour vous que ce qui vous profitera, et toutes les choses créées en témoignent, si vous avez des oreilles pour entendre.
(Baha'u'llah, "Le Kitab-i-Aqdas", p. 76.)
59. Il est cependant d'autres choses interdites qui ne sont pas immédiatement nuisibles et dont les effets nocifs ne s'exercent que progressivement ; le Seigneur répugne également à de tels actes, qui sont condamnables à ses yeux. Or, l'illégalité absolue de ces actes n'a toutefois pas été expressément formulée dans le texte sacré, mais il est nécessaire de les éviter afin de demeurer dans la pureté et la propreté, de préserver sa santé et d'être libéré de toute forme d'accoutumance.
Parmi ces actes figure la consommation de tabac, une pratique sale, malodorante et répugnante - une habitude pernicieuse - dont tous commencent à percevoir la nocivité. Il a été établi par tous les médecins qualifiés - et des expériences l'ont démontré - que l'un des composants du tabac est un poison mortel et que le fumeur est exposé à une grande variété de maladies. C'est pourquoi l'usage du tabac a été clairement considéré comme une habitude répugnante sur le plan de l'hygiène [...]
En d'autres termes, fumer du tabac est, aux yeux de Dieu, un acte répugnant, abhorré et, même si la nocivité en est progressive, il est extrêmement néfaste pour la santé de l'homme. C'est aussi une perte de temps et d'argent, qui fait du fumeur la proie d'une habitude malsaine. Tous ceux qui demeurent fermes dans l'Alliance condamnent donc cette habitude, à la fois par raisonnement et par expérience ; le fait d'y renoncer apportera paix et sérénité à l'esprit de tous les hommes, leur permettant en outre de garder l'haleine fraîche, les doigts non maculés et les cheveux sans relent nauséabond et répugnant. En recevant cette missive, les amis décideront certainement, par tous les moyens, d'abandonner cette habitude pernicieuse - même si cela doit prendre un certain temps. Tel est mon espoir.
('Abdu'l-Baha, "Sélections des écrits de 'Abdu'l-Baha", p. 146-148.)
60. Boire du vin est interdit selon les textes du Livre le plus sacré, car cela est la cause de maladies chroniques, affaiblit les nerfs et épuise les facultés mentales.
('Abdu'l-Baha, cité par Shoghi Effendi dans "L'avènement de la justice divine", p. 46.)
61. Quant à l'opium, c'est une drogue abominable et maudite. Que Dieu nous protège du châtiment qu'Il inflige au fumeur d'opium ! Conformément au texte explicite du Livre le plus saint, l'opium est interdit et sa consommation est totalement condamnée. La raison montre que fumer de l'opium est un acte d'insanité, et l'expérience atteste que le fumeur d'opium est totalement coupé du royaume des hommes. Que Dieu nous protège tous contre la perpétration d'un acte aussi hideux, qui met en ruine la fondation même de ce qu'est un être humain et condamne le drogué à être éternellement dépossédé, car l'opium s'attache à l'âme de sorte que la conscience s'éteint, que l'esprit s'efface et que les perceptions s'émoussent. L'opium transforme l'être vivant en une créature de mort ; il détruit la chaleur naturelle. On ne saurait imaginer malheur plus grand que celui qu'inflige l'opium. Heureux ceux qui jamais n'en profèrent le nom ; alors, songez combien misérable est celui qui en fait usage !
('Abdu'l-Baha, "Sélections des écrits de 'Abdu'l-Baha", p. 148.)
62. Ô divine Providence ! Accorde, en toutes choses, pureté et propreté aux adeptes de Baha ! Fais qu'ils soient délivrés de toute souillure et de toute accoutumance à la drogue. Empêche-les de commettre un acte répugnant, libère-les des chaînes que leur infligent les habitudes condamnables, afin qu'ils puissent vivre purs et libres, sains et propres, dignes de servir à ton seuil sacré et prêts à être rattachés à leur Seigneur. Délivre-les de l'usage des boissons alcoolisées et du tabac, sauve-les de cet opium qui conduit à la folie, fais qu'ils jouissent des suaves arômes de sainteté, qu'ils s'abreuvent à la coupe mystique de l'amour céleste et qu'ils connaissent le ravissement de s'approcher toujours davantage du royaume du Très-Glorieux, car tu as dit: "Tout ce que tu possèdes dans ton cellier n'apaisera pas la soif de mon amour - apporte-moi, ô échanson, une coupe pleine comme la mer du vin de l'esprit !"
('Abdu'l-Baha, "Sélections des écrits de 'Abdu'l-Baha", p. 148-149.)
63. Alors, faites un puissant effort afin que la pureté et la sainteté - qui sont par-dessus tout chéries par 'Abdu'l-Baha - distinguent le peuple de Baha ; que, partout où il est possible d'exceller, les membres du peuple de Dieu surpassent tous les autres humains ; que, par leur aspect et dans leur être intime, ils s'avèrent supérieurs à tous les autres ; que, sur le plan de la pureté, du raffinement et de la préservation de la santé, ils soient des pionniers, à l'avant-garde de ceux qui savent et, par leur délivrance de toute forme d'esclavage, par leur connaissance, par leur maîtrise de soi, qu'ils soient les premiers parmi les êtres purs, libres et sages.
('Abdu'l-Baha, "Sélections des écrits de 'Abdu'l-Baha", p. 149-150.)
http://www.bahai-biblio.org/centre-doc/ ... on1.htm#12
57. Il est inadmissible que l'homme, qui fut doté de raison, consomme ce qui la lui dérobe. Non, il lui convient plutôt de se comporter d'une manière digne de sa condition et de ne pas imiter les méfaits de l'âme irrésolue et négligente.
(Baha'u'llah, "Le Kitab-i-Aqdas", p. 63.)
58. Gardez-vous d'utiliser toute substance qui cause apathie et torpeur au temple humain, et qui inflige du tort au corps. En vérité, nous ne désirons pour vous que ce qui vous profitera, et toutes les choses créées en témoignent, si vous avez des oreilles pour entendre.
(Baha'u'llah, "Le Kitab-i-Aqdas", p. 76.)
59. Il est cependant d'autres choses interdites qui ne sont pas immédiatement nuisibles et dont les effets nocifs ne s'exercent que progressivement ; le Seigneur répugne également à de tels actes, qui sont condamnables à ses yeux. Or, l'illégalité absolue de ces actes n'a toutefois pas été expressément formulée dans le texte sacré, mais il est nécessaire de les éviter afin de demeurer dans la pureté et la propreté, de préserver sa santé et d'être libéré de toute forme d'accoutumance.
Parmi ces actes figure la consommation de tabac, une pratique sale, malodorante et répugnante - une habitude pernicieuse - dont tous commencent à percevoir la nocivité. Il a été établi par tous les médecins qualifiés - et des expériences l'ont démontré - que l'un des composants du tabac est un poison mortel et que le fumeur est exposé à une grande variété de maladies. C'est pourquoi l'usage du tabac a été clairement considéré comme une habitude répugnante sur le plan de l'hygiène [...]
En d'autres termes, fumer du tabac est, aux yeux de Dieu, un acte répugnant, abhorré et, même si la nocivité en est progressive, il est extrêmement néfaste pour la santé de l'homme. C'est aussi une perte de temps et d'argent, qui fait du fumeur la proie d'une habitude malsaine. Tous ceux qui demeurent fermes dans l'Alliance condamnent donc cette habitude, à la fois par raisonnement et par expérience ; le fait d'y renoncer apportera paix et sérénité à l'esprit de tous les hommes, leur permettant en outre de garder l'haleine fraîche, les doigts non maculés et les cheveux sans relent nauséabond et répugnant. En recevant cette missive, les amis décideront certainement, par tous les moyens, d'abandonner cette habitude pernicieuse - même si cela doit prendre un certain temps. Tel est mon espoir.
('Abdu'l-Baha, "Sélections des écrits de 'Abdu'l-Baha", p. 146-148.)
60. Boire du vin est interdit selon les textes du Livre le plus sacré, car cela est la cause de maladies chroniques, affaiblit les nerfs et épuise les facultés mentales.
('Abdu'l-Baha, cité par Shoghi Effendi dans "L'avènement de la justice divine", p. 46.)
61. Quant à l'opium, c'est une drogue abominable et maudite. Que Dieu nous protège du châtiment qu'Il inflige au fumeur d'opium ! Conformément au texte explicite du Livre le plus saint, l'opium est interdit et sa consommation est totalement condamnée. La raison montre que fumer de l'opium est un acte d'insanité, et l'expérience atteste que le fumeur d'opium est totalement coupé du royaume des hommes. Que Dieu nous protège tous contre la perpétration d'un acte aussi hideux, qui met en ruine la fondation même de ce qu'est un être humain et condamne le drogué à être éternellement dépossédé, car l'opium s'attache à l'âme de sorte que la conscience s'éteint, que l'esprit s'efface et que les perceptions s'émoussent. L'opium transforme l'être vivant en une créature de mort ; il détruit la chaleur naturelle. On ne saurait imaginer malheur plus grand que celui qu'inflige l'opium. Heureux ceux qui jamais n'en profèrent le nom ; alors, songez combien misérable est celui qui en fait usage !
('Abdu'l-Baha, "Sélections des écrits de 'Abdu'l-Baha", p. 148.)
62. Ô divine Providence ! Accorde, en toutes choses, pureté et propreté aux adeptes de Baha ! Fais qu'ils soient délivrés de toute souillure et de toute accoutumance à la drogue. Empêche-les de commettre un acte répugnant, libère-les des chaînes que leur infligent les habitudes condamnables, afin qu'ils puissent vivre purs et libres, sains et propres, dignes de servir à ton seuil sacré et prêts à être rattachés à leur Seigneur. Délivre-les de l'usage des boissons alcoolisées et du tabac, sauve-les de cet opium qui conduit à la folie, fais qu'ils jouissent des suaves arômes de sainteté, qu'ils s'abreuvent à la coupe mystique de l'amour céleste et qu'ils connaissent le ravissement de s'approcher toujours davantage du royaume du Très-Glorieux, car tu as dit: "Tout ce que tu possèdes dans ton cellier n'apaisera pas la soif de mon amour - apporte-moi, ô échanson, une coupe pleine comme la mer du vin de l'esprit !"
('Abdu'l-Baha, "Sélections des écrits de 'Abdu'l-Baha", p. 148-149.)
63. Alors, faites un puissant effort afin que la pureté et la sainteté - qui sont par-dessus tout chéries par 'Abdu'l-Baha - distinguent le peuple de Baha ; que, partout où il est possible d'exceller, les membres du peuple de Dieu surpassent tous les autres humains ; que, par leur aspect et dans leur être intime, ils s'avèrent supérieurs à tous les autres ; que, sur le plan de la pureté, du raffinement et de la préservation de la santé, ils soient des pionniers, à l'avant-garde de ceux qui savent et, par leur délivrance de toute forme d'esclavage, par leur connaissance, par leur maîtrise de soi, qu'ils soient les premiers parmi les êtres purs, libres et sages.
('Abdu'l-Baha, "Sélections des écrits de 'Abdu'l-Baha", p. 149-150.)