Re: L'étoile du matin
Posté : 23 oct.16, 19:39
par Ase
Bonjour kaboo,
Si je peut me permettre de reprendre quelques uns de tes points, je vais compléter tes propos. Excuse moi par avance si je suis un peu long et pas très rigoureux. J'ai retrouvé des notes d'un ancien ami (dedale) et d'une israélite messianique que j'ai découverte depuis peu (ruth) et je me servirait de ce que j'ai appris en les lisant pour t'exprimer quelques points complémentaires à ton analyse. J'essaierai de rester néanmoins concis.
Je commencerait par te dire qu'il fût un temps où j'avais cru que Jésus était Lucifer, par ignorance, qu'il était ce porteur de lumière (en latin "fero" accompagné de "lux"), qu'on assimile à l'Éosphoros / Phôsphoros de la mythologie grecque (en grec ancien pherô accompagné de phôs le porteur de la lumière, et selon le poète grec Hésiode, Êôs / Héôs est une titanide déesse de l'Aurore, sœur d'Hélios (Soleil) et de Séléné (Lune) et l'une des filles d'Hypériôn (le Soleil au zénith) et de Théia).
Et tu as raison de dire que cette étoile du matin ou de l'Aurore, très brillante dans le ciel est associée à Vénus oui, chez les anciens.
Ce qu'il faut néanmoins expliquer c'est qu'on est là dans une pratique cultuelle ancienne, celle du paradigme antique des correspondances (structuré sur une base tripartite qui met en relation les hommes, les dieux et les astres), celle que fondait l'antique cosmologie avec le culte des planètes (la philosophie étant que l'existence de l'homme est le reflet de l'épopée divine, et que les astres en sont des indicateurs célestes et participent à la trame du destin). Dans les mythologies anciennes, les relations symboliques ne sont pas toujours le produit d'une analogie directe entre une divinité et un astre, elles peuvent naître du discours mythologique comme de la correspondance linguistique. C'est de cette philosophie-là que naîtra le principe de l'astrologie antique et des rîtes oraculaires (tels qu'on le retrouvera dans le sabaïsme primaire des sumériens, des hébreux, et des phéniciens). Il s'agissait d'une forme d’idolâtrie, les étoiles étaient l'objet d'un culte, et le destin de l'homme étant fixé, associé et assujetti aux forces célestes et divines (probablement issu des restes d'une croyance à des événements cosmiques engendrant peurs et fascinations).
Néanmoins, s'il existe une correspondance entre un dieu et un astre, c'est en raison de la totalité du contexte cosmographique, de sa course d'est en ouest, de ses apparitions saisonnières, de sa place auprès du grand astre (le Soleil), et de ses similitudes avec d'autres astres. Or comme nous le verrons ce n'est pas le cas avec Lucifer. On est dans un autre contexte.
Vénus (comme Mercure) sont connus comme étant des astres doriphoriques, dans ce sens ils appartiennent à l'escorte solaire, formant très fréquemment des conjonctions astronomiques avec le Soleil. Leur proximité avec le Soleil (culte solaire) leur confère un rôle très important, fondamental au sein des cosmogonies antiques, mais surtout une double nature que les anciens ont baptisés "phosphora" et "lucifera" (les divisant en divinité du soleil levant et en divinité du soleil couchant).
Ici la correspondance n'est pas faite avec la planète elle-même, mais avec le caractère de cette planète.
Mercure, à l'instar d'autres corps célestes comme Sirius ou la Lune, n'apparaît qu'à certains moments, lorsqu'elle n'est pas cachée par le Soleil, en occultation nous dit mon ami.
Pour Vénus, c'est un peu plus complexe, davantage complexe car il y a eu au cours de l'histoire plusieurs avatars de Vénus et donc plusieurs identifications et plusieurs confusions. Chez les cananéens, Vénus était assimilée à Astarté, la parèdre de Baal, une baali son Ashérah. Chez les philistins, par exemple, Vénus était nommée l'étoile de Baal.
D'une part on est dans le culte idolâtrique, mais également dans un culte vouée aux déesses sacrés appelé culte des prostituées / poteaux sacrées qui vénéraient une déesse Mère, un culte cependant bien différent que le culte qui à suivi avec la Vénus romaine reflet d'une civilisation plus anthropocentrique et décadente (Vénus était la déesse des plaisirs et de la luxure pratiquée par une caste supérieure romaine). Pour mieux identifier la primitive de la décadente, les gréco-romains lui avaient attribué, probablement en respect des traditions ancestrales issues d'ancêtres mythiques, les mêmes caractères que l'Astarté originelle, nommée par les préhelleniques Kypris (déesse de Chypre). Astarté était nommée Ourania la céleste, elle répondait à deux critères qui étaient l'expression de l'âme du grand-dieu Baal, Astarté Phosphora et Astarté Lucifera qui représente la planète Vénus au lever et au coucher. On retrouve très exactement la même forme cosmologique chez les aztèques avec le couple divin où Vénus nommée Tlahuitzalpanthécutli représente au lever l'âme resplendissante de Quetzacoatl, le serpent-à-plumes, tandis que la couchante représente l'âme du dieu descendant dans les ténèbres opaques de la matière. Plus tard, les nécronomanciens médiévaux définirent un état occulte de l'âme, qu'ils personnifièrent par Lucifuge Roffocal, un démon de l'aristocratie infernale, proche de Satan, qui était en lui-même issu d'une confusion. Car cette âme n'a qu'un seul but, donné par l'essence de sa divinité originelle et incorruptible : le triomphe, en l'occurrence celui de la lumière sur les ténèbres, tel qu'il peut être apprécié dans la plupart des mythes fondateurs. Lucifer serait donc, par la définition de son nom, un porteur de lumière, un resplendissant, comme un ennemi de la lumière, qui craint cette lumière (lucifuge).
Si on s'interroge sur la Bible maintenant.
L'origine probable de Lucifer vient du livre du prophète Ésaïe, mais Ésaïe parle en réalité d'un homme le roi de Babylone, comme tu le dis.
"Tu entonneras le chant que voici sur le roi de Babylone..." (Ésaïe 14, 4, Massorétique),
"Comme tu es tombé du ciel, heylel (הֵילֵל), fils de l'aurore ! Comme tu as été renversé jusqu'à terre, dompteur des nations !" (Ésaïe 14, 12, Massorétique)
Mais heylel en hébreu dans ce passage d’Ésaïe n'est pas un nom, et contrairement à la traduction commune qu'en font beaucoup de gens, il ne signifie pas non plus "astre brillant".
Heylel signifie "se lamenter" comme dans les traductions que l'on retrouve avec Ézéchiel et Zacharie :
"Crie et lamente-toi (הֵילֵל), fils de l'homme, car cette épée a sévi sur mon peuple, elle a sévi sur tous les princes d'Israël; ils ont été livrés à l'épée avec mon peuple, c'est pourquoi frappe-toi la hanche" (Ézéchiel 21, 17)
"Lamente-toi (הֵילֵל), cyprès, car le cèdre est tombé, les fiers géants sont abattus ! Lamentez-vous (הֵילִילוּ), chèvres de Basan, car elle est à terre, la forêt si riche en fruits !" (Zacharie11, 2)
Ce terme apparaît également dans le rouleau d’Ésaïe trouvé à Qumran écrit היליל, avec un yod supplémentaire entre les deux lamed hylyl, ce qui se conjugue et peut se lire donc :
"Comme tu es tombé du ciel, toi, causant de grandes lamentations (היליל), fils de l'aurore ! Comme tu as été renversé jusqu'à terre, dompteur des nations !" (Ésaïe 14, 12, Qumran)
Ce passage d’Ésaïe désigne le roi de Babylone pour s'être enorgueilli en se prenant pour Elohîm. Il ne s'agit donc pas du diable, mais d'un homme orgueilleux, mêlée à une allégorie astrale hébraïque (utilisé pour parler de son pouvoir).
De la même manière (idem pour le roi de Tyr), les scribes hébreux se servent de ce genre d'allégories pour montrer la puissance et la gloire qu'ils possédaient avant de tomber dans l'orgueil et donc de tomber sous le Jugement d'Elohîm.
Pour l'anecdote, on peut se demander si le terme de tyran, du grec tyrannos ne provient pas de là ? Il semble, pour l'instant que la première apparition de ce terme date du VIIème siècle av. J.-C. répandue dans toute l'Asie Mineure occidentale et que l'on retrouve dans l'anatolien tarwanis qui signifiait "gouverneur", quand à la littérature grecque, le premier tyran était Gygès, le roi de Lydie, lequel d'après les chroniques assyriennes fournissait l’Égypte en mercenaires.
C'est ce verbe "lamenter" en hébreu (heylel) que beaucoup croient à tort qu'il a été traduit par Lucifer qui en latin signifie "porteur de lumière" alors que ce mot latin Lucifer qui n'est pas un nom traduit plutôt l'expression hébraïque "fils de l'aurore" dans ce même verset d’Ésaïe : "Comme tu es tombé du ciel, toi, causant de grandes lamentations, fils de l'aurore (בֶּן-שָׁחַר) ben shachar ! Comme tu as été renversé jusqu'à terre, dompteur des nations ! (Esaïe 14, 12, Qumran)
"Comment est tombée des cieux Ἑωσφόρος heōsphóros qui se levait dès l'aurore ? Comment a été brisé contre terre celui qui commandait à toutes les nations ?" (Esaïe 14, 12, Septante)
ωσφόρος heōsphóros signifie "porteur du matin" ce qui est la traduction de "fils de l'aurore" de l'hébreu ben shachar et non de heylel qui signifie se lamenter qui n'est pas retranscrit dans la Septante.
Cette référence à Ésaïe n'est pas celle qu'utilise Job cité par Mormon :
"Alors que les étoiles du matin éclataient en chants d'allégresse, Et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ?" (Job 38, 7)
"Ta prière ressemblera à l'étoile qui annonce l'aurore ; ta vie se lèvera au Midi." (Job 11, 17)
Et dont je suis assez d'accord dans son interprétation allégorique qui me semble bien correspondre aux saints avant la "chute" décrits comme des "brillants" comme les luminaires célestes mais aussi comme les Justes comme le relatent les extraits suivants :
"Alors luiront les justes comme le soleil dans le royaume de leur Père. Pour celui qui a des oreilles pour entendre il entend." (Matthieu 13, 43, Shem Tov)
"Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité." (Daniel 12, 3)
"Alors les Fils de la Justice resplendiront aux extrémités du monde continuant à briller jusqu'à la fin des fêtes des temps de l'obscurité." (Rouleau des guerres 1, 8)
"(...) les saints brilleront à l'appui de (...) la vérité à l'anéantissement des fils des ténèbres." (Rouleau des guerres 2, 1)
"Comme les étincelles que vous avez vu ainsi sera leur royaume" (Rouleau du Fils d'Elohim 1, 12)
"Espérez, car d’abord vous avez été affligés dans le malheur et dans la souffrance, mais maintenant vous brillerez comme les luminaires du ciel. Vous brillerez et vous apparaîtrez, et la porte du ciel s’ouvrira devant vous." (Henok 104, 2)
Enfin pour clore, il me semble exact d'affirmer que les références suivantes s'adressent à Jésus, la conscience christique, le seigneur des luminaires ou la lumière du monde :
"Et toi, petit enfant, tu seras appelé le Prophète du Très-Haut; car tu marcheras devant la face de YHWH, pour préparer ses voies,
Afin de donner la connaissance du salut à son peuple, dans la rémission de leurs péchés,
Par les entrailles de la miséricorde de notre Elohim, par lesquelles le soleil levant nous a visités d'en haut
Pour éclairer ceux qui sont assis dans les ténèbres et dans l'ombre de la mort, et pour conduire nos pas dans le chemin de la paix." (Luc 1, 76-79)
"Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos cœurs" (2 Pierre 1, 19)
"Et Je lui donnerai l`étoile du matin." (Apocalypse 2, 28)
"Moi, Yéhoshoua, J`ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Assemblées. Je suis le rejeton et la postérité de David, l'étoile brillante du matin." (Apocalypse 22, 16)
Quand à l'expression utilisé par Luc en référence à Jésus : "Jésus leur dit : Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair" (Luc 10, 18), je me demande si on peut la reporter à celle utilisée dans le livre de l'Apocalypse au chapitre 20 : "Je vois un messager. Il descend du ciel; il a la clé de l’abîme et une grande chaîne en sa main. (Apocalypse 20, 1, Chouraqui) ou encore un peu plus loin : "Quand les 1000 ans seront passés, Satan sera relâché de sa prison, et il sortira pour égarer les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre; elles sont aussi nombreuses que le sable de la mer. Ils montèrent sur toute la surface de la terre et ils encerclèrent le camp des saints et la ville bien-aimée. Mais un feu descendit du ciel et les dévora. Le diable, qui les égarait, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre" (Apocalypse 20:7-10).
Cette chute du ciel semble représenter une perte de pouvoir... mais au ciel... suite à une guerre décrite précédemment au chapitre 12 de l'Apocalypse : "Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui." (Apocalypse 12, 7-9)
Le verset 10 nous apprend "Et j'entendis dans le ciel une voix forte qui disait: Maintenant le salut est arrivé, et la puissance, et le règne de notre Dieu, et l'autorité de son Christ; car il a été précipité, l'accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit." (Apocalypse 12, 10)
Ce verset faisant suite aux précédents me questionne. L'expression "maintenant le salut est arrivé" me laisse entendre que cette chute de Satan eut lieu après que Jésus soit monté au Ciel.
Auparavant, on le sait, Satan était nommé l'Accusateur, il vivait dans le ciel et accusait les saints, en remettant en cause l'autorité de Dieu.
"Et Satan répondit à l'Éternel : Est-ce d'une manière désintéressée que Job craint Dieu ? Ne l'as-tu pas protégé, lui, sa maison, et tout ce qui est à lui ? Tu as béni l’œuvre de ses mains, et ses troupeaux couvrent le pays. Mais étends ta main, touche à tout ce qui lui appartient, et je suis sûr qu'il te maudit en face." (Job 1, 9-11)
"Il me fit voir Josué, le souverain sacrificateur, debout devant l'ange de l'Éternel, et Satan qui se tenait à sa droite pour l'accuser. L'Éternel dit à Satan : Que l'Éternel te réprime, Satan ! Que l'Éternel te réprime, lui qui a choisi Jérusalem ! N'est-ce pas là un tison arraché du feu ? (Zacharie 3, 1-2)
Ce qui peut se comprendre dans l'optique évoqué par Mormon du plan de Rédemption de Dieu : la victoire de Jésus que les chrétiens qualifient de "Notre Sauveur et Messie" fût celle de précipiter Satan hors du ciel, Satan ne pouvant plus dorénavant nous accuser devant Dieu car le sang Juste sans péché du Messie nous avait purifier de tous nos péchés et Satan ne pouvant plus désormais plaider sa cause devant Dieu en nous accusant.
Ce qui permet de comprendre la suite des versets 11 au 13 suivant : "ils l'ont vaincu à cause du sang de l'agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n'ont pas aimé leur vie jusqu'à craindre la mort. C'est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps. Quand le dragon vit qu'il avait été précipité sur la terre, il poursuivit la femme qui avait enfanté l'enfant mâle." (Apocalypse 12, 11-13)
Voilà, en espérant mettre tout le monde d'accord,
Cordialement,
Ase
Re: L'étoile du matin
Posté : 25 oct.16, 03:17
par AyO56
L'étoile du matin est celle qui précède et qui suit le soleil dans sa course. C'est pour ça qu'on l'appelle Lucifer.
Il y a deux Lucifer.
Le Lucifer Chrétien est L'Alliance Eternelle renouvelée par Le Seigneur de Toutes Vies, au Cieux et sur le Chemin de la Vie (Sur Terre) et de la Vie Eternelle (Saint-Esprit) qui mène au Domaine du Père et du Père (Jésus de Nazareth - le Père - 7D).
L'Etoile du matin est le Fils de l'Homme. C'est Jésus, le Fils.
Cependant ce qu'il faut comprendre, c'est que cette Etoile (l'Etoile du matin) conduit les humains (impies), les humains qui peuvent vivre très longtemps à travers les âges et les âges, d'intelligence et de statistique (la Vérité n'est pas Statistique), à démontrer, comprendre et vivre que :
Toute vies tend à l'Amour spirituel. (7D vers 0-1D, de l'Etoile du soir à l'étoile du matin sur idiomes-eve)
L'intelligence humaine statistique fait deux écueils.
- La première que
son 1D (Jésus, le Père dans le Fils de l'Homme) (sur idiomes-eve) n'est pas 0-1B (sur idiomes-eve).
- La deuxième que
son 0-1B est Jésus, le fils de l'Homme. C'est à dire aussi 100% humain.
Ce mystère est le suivant : L'embryogénèse débute au Paradis (sur idiomes-eve) et se termine au cerveau, le cerveau droit sur idiomes-eve car Satan (tracé vert) y passe, pour toute créature humaine en particulier (Morale de feu humaine sur idiomes-eve).
Le 0-1B de Dieu (Jésus de Nazareth) est simplement l'opération du Seigneur de toutes Vies dans le ventre de Marie lors de l'embryogénèse du Fils de l'Homme pour qu'il puisse vivre dans le futur (0-1B), sur Terre. Lorsque le Bon arrive le mauvais ne tarde pas à suivre.
J'assimile
son 0-1B qui n'est pas non plus comme le notre, à la chaleur de la Terre au niveau du sol. Pour allez plus loin, tout l'horizon de vie à la surface de la Terre est pour que Lui, Dieu, Jésus, le Fils de l'Homme, soit le berger de son troupeau car
cette Lumière est celle de la Vie sur le Chemin de la Vie et de la Vie Eternelle (les encadrés rouge sur idiomes-eve). Lorsque Jérusalem Messianique est établit, enfin ils vivent dans la Gloire de Dieu.
De fait, en cette circonstance, Jésus s’est levé dans tout l’univers, ce qui inclut la terre. Étant l’Étoile du matin messianique, il annonce un jour nouveau, une ère nouvelle, pour tous les humains obéissants.
Oui. Et vous avez juste lorsque vous dite que Jésus se lève dans tout l'univers.
0-1D sur idiomes-eve est un Lieux Céleste décrit par le Saint-Esprit récemment car Mr Shora Kuetu est souvent sous l'Onction et il a dit à ce propos :
"Ils sont venu dans la Gloire de Dieu (l'Eglise de Dieu) en passant par la galaxie andromède bifurquant ici et là, dans la Gloire de la Création et rejoignant la Terre".