Réfutation du mensonge "Allah ne commet pas d'erreur."
Posté : 11 nov.16, 11:33
Bonjour ou Bonsoir
Postulat erroné à la racine de la foi musulmane, la contre-vérité "Allah ne commet pas d'erreur" m'a récemment été répondue en réaction déraisonnable à l'un de mes commentaires de critique de l'Islam sur la page FaceBook "Non à l'Islamisation de la France" (https://www.facebook.com/Non-a-lIslamis ... 167121589/)
Les affirmations alors tenues par l'auteure de cette édifiante réponse traduisant explicitement la crédulité musulmane et étant en cela intéressante à observer,e souhaitais partager ici cette petite conversation via la suivante capture, l'occasion en même temps de réfuter la croyance en la perfection de la parole coranique d'Allah...
"Allah ne fait jamais d'erreur" est une affirmation qui n'a que pour pseudo-fondement le fait qu'Allah lui-même affirme dans le deuxième
"C'est le Livre au sujet duquel il n'y a aucun doute, c'est un guide pour les pieux"
Or, qu' Allah affirme qu'il n'y a pas de doute sur sa parole ne constitue en aucun cas une preuve que c'est la vérité. Ce n'est qu'Allah qui le dit, subjectivement. D'ailleurs, notons que tout au long du Coran, Allah ne se contente pas que de livrer ses paroles. Il incite en plus de cela à les considérer comme étant infailliblement véridiques comme par besoin de conditionner les gens à le croire sur parole ce qui est d'autant plus suspect. Ledit seconde verset de la deuxième sourate tout comme ceux de la première, entre autres, en attestent tant il est prégnant qu'elles visant à pré-conditionner les destinataires du Coran à faire aveuglément confiance en Allah et à croire que si Allah affirme quelque chose, c'est indubitablement que c'est vrai. Cela confine à l'hypnose.
Concernant les erreurs d'Allah, elles sont pléthoriques dans le Coran tout au long duquel il ne condamne pas totalement l'abomination qu'est l'esclave mais exhorte dans certains cas à composer avec le décrivant comme compatible avec la droiture et la dignité. L'immoralité qu'est la polygamie n'y est pas non plus interdite.
À plusieurs reprises, Allah prétend exhorter à ordonner le convenable et à interdit le blâmable alors que lui-même ordonne des abominations blâmables (comme le fascisme meurtrier à l'encontre de ceux qui ne veulent pas lui obéir au verset 89 de la sourate 4) et n'interdit pas l'une des plus blâmables turpitudes qu'est l'esclavage notamment sexuel comme vu précédemment aux premiers versets de la 23ème sourate.
Allah dépeint même comme convenable et relevant de la dignité ce qui est blâmable et comme approuvable ce qui est convenable, ordonnant ainsi l'inversionnisme.
Au verset 87 de la sourate 5, il dit ceci ; "Et ne transgressez pas. Allah, (en vérité,) n'aime pas les transgresseurs." alors que lui-même est élogieux au sujet des transgresseurs que sont les polygames, les possesseurs d'esclaves et notamment ceux qui ont des rapports sexuels avec leurs esclaves qu'il décrit (s.23:v.1,2,3,4,5,6) comme des gens qu'on ne peut vraiment pas blâmer, comme des croyants qu'il veut bienheureux et comme étant aux antipodes des transgresseurs.
Allah trompe les gens au sujet de ce qu'est la transgression, inversant transgression et sagesse, traitant calomnieusement de transgresseurs ceux qui en réalité sont droits.
Mystifiés par ma parole coranique d'Allah qu'ils prennent à tort, par inversionnisme et associationnisme pour parole de Dieu, les musulmans prennent l'immoralité prescrite par Allah pour la sagesse et la vraie droiture pour de la transgression.
Allah lui-même parle en transgresseur lorsqu'il ordonne le fascisme et fait le panégyrique des possesseurs d'esclaves en disant d'eux qu'ils sont pieux et en faisant dans son Coran passer ses odieux mensonges pour d'incontestables vérités tout en prétendant faire le contraire.
Il n'est qu'un chantre de la transgression des interdits moraux et des lois divines qui s'auto-divinise via le Coran pour faire passer ses lois pour celles de Dieu, pour usurper ce dernier et faire passer l'obéissance à son immoralisme pour de la piété.
L'Islam, c'est-à-dire l'obéissance à cette parole immorale d'Allah relève donc de l'inversionnisme et est aux antipodes d'être ce pour quoi on cherche à la faire passer à nos yeux.
Postulat erroné à la racine de la foi musulmane, la contre-vérité "Allah ne commet pas d'erreur" m'a récemment été répondue en réaction déraisonnable à l'un de mes commentaires de critique de l'Islam sur la page FaceBook "Non à l'Islamisation de la France" (https://www.facebook.com/Non-a-lIslamis ... 167121589/)
Les affirmations alors tenues par l'auteure de cette édifiante réponse traduisant explicitement la crédulité musulmane et étant en cela intéressante à observer,e souhaitais partager ici cette petite conversation via la suivante capture, l'occasion en même temps de réfuter la croyance en la perfection de la parole coranique d'Allah...
"Allah ne fait jamais d'erreur" est une affirmation qui n'a que pour pseudo-fondement le fait qu'Allah lui-même affirme dans le deuxième
"C'est le Livre au sujet duquel il n'y a aucun doute, c'est un guide pour les pieux"
Or, qu' Allah affirme qu'il n'y a pas de doute sur sa parole ne constitue en aucun cas une preuve que c'est la vérité. Ce n'est qu'Allah qui le dit, subjectivement. D'ailleurs, notons que tout au long du Coran, Allah ne se contente pas que de livrer ses paroles. Il incite en plus de cela à les considérer comme étant infailliblement véridiques comme par besoin de conditionner les gens à le croire sur parole ce qui est d'autant plus suspect. Ledit seconde verset de la deuxième sourate tout comme ceux de la première, entre autres, en attestent tant il est prégnant qu'elles visant à pré-conditionner les destinataires du Coran à faire aveuglément confiance en Allah et à croire que si Allah affirme quelque chose, c'est indubitablement que c'est vrai. Cela confine à l'hypnose.
Concernant les erreurs d'Allah, elles sont pléthoriques dans le Coran tout au long duquel il ne condamne pas totalement l'abomination qu'est l'esclave mais exhorte dans certains cas à composer avec le décrivant comme compatible avec la droiture et la dignité. L'immoralité qu'est la polygamie n'y est pas non plus interdite.
À plusieurs reprises, Allah prétend exhorter à ordonner le convenable et à interdit le blâmable alors que lui-même ordonne des abominations blâmables (comme le fascisme meurtrier à l'encontre de ceux qui ne veulent pas lui obéir au verset 89 de la sourate 4) et n'interdit pas l'une des plus blâmables turpitudes qu'est l'esclavage notamment sexuel comme vu précédemment aux premiers versets de la 23ème sourate.
Allah dépeint même comme convenable et relevant de la dignité ce qui est blâmable et comme approuvable ce qui est convenable, ordonnant ainsi l'inversionnisme.
Au verset 87 de la sourate 5, il dit ceci ; "Et ne transgressez pas. Allah, (en vérité,) n'aime pas les transgresseurs." alors que lui-même est élogieux au sujet des transgresseurs que sont les polygames, les possesseurs d'esclaves et notamment ceux qui ont des rapports sexuels avec leurs esclaves qu'il décrit (s.23:v.1,2,3,4,5,6) comme des gens qu'on ne peut vraiment pas blâmer, comme des croyants qu'il veut bienheureux et comme étant aux antipodes des transgresseurs.
Allah trompe les gens au sujet de ce qu'est la transgression, inversant transgression et sagesse, traitant calomnieusement de transgresseurs ceux qui en réalité sont droits.
Mystifiés par ma parole coranique d'Allah qu'ils prennent à tort, par inversionnisme et associationnisme pour parole de Dieu, les musulmans prennent l'immoralité prescrite par Allah pour la sagesse et la vraie droiture pour de la transgression.
Allah lui-même parle en transgresseur lorsqu'il ordonne le fascisme et fait le panégyrique des possesseurs d'esclaves en disant d'eux qu'ils sont pieux et en faisant dans son Coran passer ses odieux mensonges pour d'incontestables vérités tout en prétendant faire le contraire.
Il n'est qu'un chantre de la transgression des interdits moraux et des lois divines qui s'auto-divinise via le Coran pour faire passer ses lois pour celles de Dieu, pour usurper ce dernier et faire passer l'obéissance à son immoralisme pour de la piété.
L'Islam, c'est-à-dire l'obéissance à cette parole immorale d'Allah relève donc de l'inversionnisme et est aux antipodes d'être ce pour quoi on cherche à la faire passer à nos yeux.