Est-ce que le coeur pense?
Posté : 21 mai05, 14:51
Est-ce que le cœur pense?
UNE ENQUÊTE SUR LE LIVRE DE LA GENÈSE
Stephen Caesar
Traduction imparfaitement imparfaite par : Nickie
« Est-ce que le Cœur ‘Pense’? »
Le terme retrouvé dans Genèse 6; 5 fait cela sonner comme si le cœur humain est capable de penser, au moins comme s’il avait une certaine capacité émotionnelle. « L’Éternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les PENSÉES DE LEUR COEUR se portaient chaque jour uniquement vers le mal. » Les critiques attribuent cette expression comme n’étant pas scientifique, puisque le cœur est considéré comme étant purement une pompe méchanique. Cependant, le journal scientifique ’Discover’, dans une révision du livre ’A Man after His Own Heart’ by Charles Siebert, ’Un Homme d’après Son Propre Cœur’, a rapporté que le livre de Siebert reconnu
… que le cœur n’est pas qu’une simple pompe, comme certains physiciens insistent encore pour dire, mais un participant sophistiqué dans la régulation des émotions. Le cœur a une pensée à lui-même. Il secrète ses propres hormones qui sont telles un cerveau et qui prend part de façon active dans un dialogue parmi les organes internes - un dialogue sur lequel les chercheurs en matière cardiaque ne font que commencer à écouter de façon indiscrète. Lafaçontellecoeur subit toutes formes de changement organiques qui lui sont infligés par le cerveau orageux et ses neurochémiques. Comme l’explique l’un des médecins, les personnes souffrent effectivement d’un cœur brisé, et ce, littérale. (Burdick 2004: 72).
Le journal a utilisé l’exemple de la vie réelle de William Schroeder, qui fut le second (et ainsi que le survivant-le-plus-long) récipiendaire du cœur artificiel Jarvik-7. En tant qu’une pompe pour sang qui était purement mécanique, l’appareil a gardé Schroeder vivant pour 620 jours, ce qui était sans précédent, comme l’a rapporté ’Discover’ :
L’état mental du patient fut une tout autre chose. Schroeder larmoyait et découragé. (Barney Clark, le premier récipiendaire du Jarvik-7, avait exprimé le souhait de mourir ou bien d’être tuer.) Le sang circulait encore, mais quelque chose de vital - une communication chargée émotionnellement entre le cœur et la pensée - avait été perdue. Affirmant ainsi toutes (supposées) mythologies, le cœur est vraiment le siège de l’émotion humaine. Le Jarvik-7, en contraste, avait l’air mais pas la chanson de l’expérience humaine, bâtit afin de vivifier son patient, à la place il l’aliéna, alimentant Schroeder avec tout, à l’exception d’avec la volonté de vivre. Il ressemblait, écrit Siebert, ‘d’un homme qui a perdu son cœur’ (Burdick 2004: 72).
Ce sont des découvertes comme celles-ci qui devraient nous avertir de ne pas aller trop rapidement pour jugeant le Livre de la Genèse comme étant non fondé scientifiquement.
Référence:
Burdick, A 2004. Review of A Man after His Owwn Heart, par Charles Siebert.
Discover 25, no. 5
Stephen Caesar détient une maîtrise en anthropologie/archéologie de Harvard. Il est un membre du personnel à Associates for biblical Research et il est l’auteur du livre-e The Bible Encounters Modern Science qui est disponible au lien
www.authorhouse.com.
UNE ENQUÊTE SUR LE LIVRE DE LA GENÈSE
Stephen Caesar
Traduction imparfaitement imparfaite par : Nickie
« Est-ce que le Cœur ‘Pense’? »
Le terme retrouvé dans Genèse 6; 5 fait cela sonner comme si le cœur humain est capable de penser, au moins comme s’il avait une certaine capacité émotionnelle. « L’Éternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les PENSÉES DE LEUR COEUR se portaient chaque jour uniquement vers le mal. » Les critiques attribuent cette expression comme n’étant pas scientifique, puisque le cœur est considéré comme étant purement une pompe méchanique. Cependant, le journal scientifique ’Discover’, dans une révision du livre ’A Man after His Own Heart’ by Charles Siebert, ’Un Homme d’après Son Propre Cœur’, a rapporté que le livre de Siebert reconnu
… que le cœur n’est pas qu’une simple pompe, comme certains physiciens insistent encore pour dire, mais un participant sophistiqué dans la régulation des émotions. Le cœur a une pensée à lui-même. Il secrète ses propres hormones qui sont telles un cerveau et qui prend part de façon active dans un dialogue parmi les organes internes - un dialogue sur lequel les chercheurs en matière cardiaque ne font que commencer à écouter de façon indiscrète. Lafaçontellecoeur subit toutes formes de changement organiques qui lui sont infligés par le cerveau orageux et ses neurochémiques. Comme l’explique l’un des médecins, les personnes souffrent effectivement d’un cœur brisé, et ce, littérale. (Burdick 2004: 72).
Le journal a utilisé l’exemple de la vie réelle de William Schroeder, qui fut le second (et ainsi que le survivant-le-plus-long) récipiendaire du cœur artificiel Jarvik-7. En tant qu’une pompe pour sang qui était purement mécanique, l’appareil a gardé Schroeder vivant pour 620 jours, ce qui était sans précédent, comme l’a rapporté ’Discover’ :
L’état mental du patient fut une tout autre chose. Schroeder larmoyait et découragé. (Barney Clark, le premier récipiendaire du Jarvik-7, avait exprimé le souhait de mourir ou bien d’être tuer.) Le sang circulait encore, mais quelque chose de vital - une communication chargée émotionnellement entre le cœur et la pensée - avait été perdue. Affirmant ainsi toutes (supposées) mythologies, le cœur est vraiment le siège de l’émotion humaine. Le Jarvik-7, en contraste, avait l’air mais pas la chanson de l’expérience humaine, bâtit afin de vivifier son patient, à la place il l’aliéna, alimentant Schroeder avec tout, à l’exception d’avec la volonté de vivre. Il ressemblait, écrit Siebert, ‘d’un homme qui a perdu son cœur’ (Burdick 2004: 72).
Ce sont des découvertes comme celles-ci qui devraient nous avertir de ne pas aller trop rapidement pour jugeant le Livre de la Genèse comme étant non fondé scientifiquement.
Référence:
Burdick, A 2004. Review of A Man after His Owwn Heart, par Charles Siebert.
Discover 25, no. 5
Stephen Caesar détient une maîtrise en anthropologie/archéologie de Harvard. Il est un membre du personnel à Associates for biblical Research et il est l’auteur du livre-e The Bible Encounters Modern Science qui est disponible au lien
www.authorhouse.com.