point de vue
Posté : 22 mai05, 21:59
points de vue…..
pour comprendre il convient de voyager en esprit au-delà des mots, jusqu’à atteindre la quintessence, la substantifique moelle.
Christ est un état d’être, tout comme l’état de bouddha ou bouddhique. C’est un état de réalisation absolu.
La nature tend vers la perfection. Ce qui est imparfait, faible, ou tiède, est vouée à l’extinction naturelle. Ceci est valable pour toutes les espèces y compris l’espèce humaine. L’évolution ne s’arrête pas à la forme. L’intelligence, la conscience, aussi est en voie d’évolution. L’Homme est au sommet (pour l’instant) de la spirale.(la spirale étant le symbole de l’évolution. Pour la petite histoire, l’adn possède une forme en spirale). L’état, cité plus haut, est ce qui correspond au plus haut dans l’évolution de la conscience humaine. Il va de soi que nous ne sommes pas tous égaux dans un sens : certains sont au début de l’échelle, d’autres au milieu, d’autres à la fin. Rien à voir bien entendu, avec la culture. Nous pouvons en effet trouver de simples berger analphabètes, plus proche de la vérité que nous tous.Si nous devions symboliser cela par une pyramide, nous pourrions constater que le plus grand nombre est à la base, et que plus nous grimpons, plus la population se raréfie. Il convient, je précise, de ne pas prendre cela au sens péjoratif, loin s’en faut, et ce n’est pas le but de cet exposé. L’adaptation des espèces, selon Darwin, n’est pas inintéressante. Nous pouvons ainsi en déduire que l’adaptation s’effectue aussi sur le plan de la spiritualité. Ce qui sous entend que, toute sa vie durant, l’individu est en proie à un choix terrible : la Lumière ou bien les Ténèbres.
Si nous prenons une chenille et que nous la plaçons loin d’une source lumineuse (une bougie par exemple) , instinctivement elle va rebrousser chemin et se diriger vers la lumière. L’animal possède cet instinct de vie, de survie. L’homme, par contre, du fait d’une intelligence plus complexe en est devenue quelque peu maso. Puisque, non seulement il tourne le plus souvent le dos à la lumière, mais en plus, il cherche à l’éteindre. Qui plus est, il veut empêcher les autres de s’en approcher.
A mon avis, tout comme l’inexorable loi de la nature, la vérité est cruelle.
La lumière de la bougie est une métaphore qui sous entend la lumière spirituelle, la conscience de soi, disons, la réalisation de Dieu en soi. S’en éloigner, c’est mourir ! Aussi, plus l’être s’enfonce dans la matérialité, l’illusion de Maïa (l’apparence), plus sa conscience s’alourdie,plus son intelligence s’étiole, plus il meurt…..dans tous les sens du terme. La Nature s’adapte physiquement mais aussi psychiquement. Ce qui veut dire que, quelque part, l’âme se construit à mesure de notre évolution. Nous n’avons pas une âme dans le corps, mais nous sommes un corps dans une âme. En fermant les portes, nous refusons de prendre part à l’évolution naturelle des choses, nous tournons le dos à la lumière, ce qui veut dire enfin que la nature n’a plus besoin de nous, son instrument étant devenu inutile.
Une casserole d’eau froide sur un feu éteint reste froide. Pour faire chauffer cette eau, il convient d’allumer le feu………..et de l’entretenir.
Si on laisse le feu s’éteindre, l’eau redeviendra froide. Donc, il est plus facile d’aller vers le froid que vers le chaud. La source de la chaleur est l’énergie, la force, l’effort.
La spiritualité est un feu intérieur qu’il sied d’entretenir. Plus on l’attise, plus il grandit, plus il rayonne à l’extérieur, et plus…………..à Dame Nature on rend service. Ce feu intérieur c’est, avant tout, le travail sur nous même, transmuer les vices en vertus, la haine en amour, la guerre en paix, la mort en vie, etc…
La vie est donc un éternel combat entre les ténèbres et la lumière, le froid et le chaud.
sur cette réflexion,
bien amicalement
[/i]
pour comprendre il convient de voyager en esprit au-delà des mots, jusqu’à atteindre la quintessence, la substantifique moelle.
Christ est un état d’être, tout comme l’état de bouddha ou bouddhique. C’est un état de réalisation absolu.
La nature tend vers la perfection. Ce qui est imparfait, faible, ou tiède, est vouée à l’extinction naturelle. Ceci est valable pour toutes les espèces y compris l’espèce humaine. L’évolution ne s’arrête pas à la forme. L’intelligence, la conscience, aussi est en voie d’évolution. L’Homme est au sommet (pour l’instant) de la spirale.(la spirale étant le symbole de l’évolution. Pour la petite histoire, l’adn possède une forme en spirale). L’état, cité plus haut, est ce qui correspond au plus haut dans l’évolution de la conscience humaine. Il va de soi que nous ne sommes pas tous égaux dans un sens : certains sont au début de l’échelle, d’autres au milieu, d’autres à la fin. Rien à voir bien entendu, avec la culture. Nous pouvons en effet trouver de simples berger analphabètes, plus proche de la vérité que nous tous.Si nous devions symboliser cela par une pyramide, nous pourrions constater que le plus grand nombre est à la base, et que plus nous grimpons, plus la population se raréfie. Il convient, je précise, de ne pas prendre cela au sens péjoratif, loin s’en faut, et ce n’est pas le but de cet exposé. L’adaptation des espèces, selon Darwin, n’est pas inintéressante. Nous pouvons ainsi en déduire que l’adaptation s’effectue aussi sur le plan de la spiritualité. Ce qui sous entend que, toute sa vie durant, l’individu est en proie à un choix terrible : la Lumière ou bien les Ténèbres.
Si nous prenons une chenille et que nous la plaçons loin d’une source lumineuse (une bougie par exemple) , instinctivement elle va rebrousser chemin et se diriger vers la lumière. L’animal possède cet instinct de vie, de survie. L’homme, par contre, du fait d’une intelligence plus complexe en est devenue quelque peu maso. Puisque, non seulement il tourne le plus souvent le dos à la lumière, mais en plus, il cherche à l’éteindre. Qui plus est, il veut empêcher les autres de s’en approcher.
A mon avis, tout comme l’inexorable loi de la nature, la vérité est cruelle.
La lumière de la bougie est une métaphore qui sous entend la lumière spirituelle, la conscience de soi, disons, la réalisation de Dieu en soi. S’en éloigner, c’est mourir ! Aussi, plus l’être s’enfonce dans la matérialité, l’illusion de Maïa (l’apparence), plus sa conscience s’alourdie,plus son intelligence s’étiole, plus il meurt…..dans tous les sens du terme. La Nature s’adapte physiquement mais aussi psychiquement. Ce qui veut dire que, quelque part, l’âme se construit à mesure de notre évolution. Nous n’avons pas une âme dans le corps, mais nous sommes un corps dans une âme. En fermant les portes, nous refusons de prendre part à l’évolution naturelle des choses, nous tournons le dos à la lumière, ce qui veut dire enfin que la nature n’a plus besoin de nous, son instrument étant devenu inutile.
Une casserole d’eau froide sur un feu éteint reste froide. Pour faire chauffer cette eau, il convient d’allumer le feu………..et de l’entretenir.
Si on laisse le feu s’éteindre, l’eau redeviendra froide. Donc, il est plus facile d’aller vers le froid que vers le chaud. La source de la chaleur est l’énergie, la force, l’effort.
La spiritualité est un feu intérieur qu’il sied d’entretenir. Plus on l’attise, plus il grandit, plus il rayonne à l’extérieur, et plus…………..à Dame Nature on rend service. Ce feu intérieur c’est, avant tout, le travail sur nous même, transmuer les vices en vertus, la haine en amour, la guerre en paix, la mort en vie, etc…
La vie est donc un éternel combat entre les ténèbres et la lumière, le froid et le chaud.
sur cette réflexion,
bien amicalement
[/i]