Coeur de Loi a écrit :
Ben explique moi la possibilité théorique du passage de l'un a l'autre.
La reproduction sexuée commence avec la méïose. Ce processus biologique n'est pas encore bien expliqué d'après ce que je lis sur internet.
Mais la méïose c'est très loin de l'image de papa dans maman si tu vois ce que je veux dire.
Coeur de Loi a écrit :
Tu croyais pas te défiler avec une fausse excuse, non ? c'est pas sérieux !
C'est une impossibilité logique !
En quoi est-ce une impossibilité logique ?
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Coeur de Loi a écrit :
Contraintes :
- un organisme sexué dépend d'un autre organisme de son espèce pour sa reproduction.
- Il faut à la fois un organisme mâle sexuellement mature et un organisme femelle sexuellement mature pour aboutir à une reproduction réussi.
Bien observé.
Coeur de Loi a écrit :
Apparition d'un coup de :
- un mécanisme physique pour la transmission des gamètes (pénis <- trompes de Fallope chez les vertébrés)
Il n'est pas apparu d'un coup. Les organes sexuels sont le fruit de.... l'évolution.
Tu confonds reproduction sexuée avec organe sexuel. Il n'y a pas besoin d'organes sexuels pour qu'il y ait reproduction sexuée mais ça aide.
Coeur de Loi a écrit :
- spermes et ovules compatibles (même nombre de chromosomes)
Bin oui. C'est une évidence. Sinon ça ne donne rien.
Là où ton exemple est encore fallacieux c'est que le sperme est l'ovule ne sont pas apparus d'un coup. Au départ il n'y avait aucune différence entre la cellule du mâle et la cellule de la femelle. Il n'y avait ni mâle ni femelle d'ailleurs. Juste deux individus de la même espèce. Mais bon.... on pourrait en parler des heures.
Coeur de Loi a écrit :
- les gamètes comportent la moitié des chromosomes d'une cellule normale
Oui. D'accord.
Coeur de Loi a écrit :
- système permettant le développement de l'ovule fécondé (utérus -> intérieur ou oeuf -> extérieur)
Encore une fois, c'est comme l'exemple de l'organe reproducteur. Ça aide mais ça n'était pas là au départ. C'est là parce que ça donne un avantage indéniable.
[/quote]
Coeur de Loi a écrit :
- un mâle fertile de l'espèce
- une femelle fertile de l'espèce.
Au début de la reproduction sexuée il n'y avait ni mâle, ni femelle. Cette distinction s'est faite quand les gamètes se sont différenciées.
Ça n'est pas impossible d'expliquer cette différentiation.
Coeur de Loi a écrit :
- une attirance (instinctuelle ou pas) entre un mâle et une femelle fertiles (un comportement pourtant non-appris)
A nouveau, ça aide grandement l'espèce en question. A nouveau, c'est le fruit de la sélection naturelle. Les fornicateurs font plus de bébés que les curés. C'est pour ça que d'un point de vue purement évolutionniste, les curés vont disparaitre.
Coeur de Loi a écrit :
- développement simultané d'un mâle et d'une femelle fertile
Bon... c'est le même argument qu'un peu plus haut. C'est juste pour faire croire que tu as beaucoup d'arguments.
Coeur de Loi a écrit :
- compatibilité des organes sexuels des deux individus en question
Qu'entends-tu par là ? Les deux individus doivent forcément être compatibles, quel que soit le stade de l'évolution. Sinon la reproduction s'arrête.
Coeur de Loi a écrit :
Si tout n'est pas en place d'un coup dans une génération, alors il n'y a pas reproduction et donc fin de l'espece sexuée.
[/quote]
Ta conclusion est un pur sophisme car elle repose sur des arguments fallacieux.
Vas-y. Essaye encore. Prouve moi que la théorie de l'évolution est fausse.