Page 1 sur 61

Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 13 avr.17, 06:54
par morpheus777
Le martyre des chrétiens d’orient : les victimes racontent l’enfer au journaliste Frédéric Pons
https://www.infochretienne.com/martyre- ... eric-pons/

Temoignages :

Soeur Marguerite Slim, directrice de l’hôpital Saint Louis d’Alep raconte : “Violence, barbarie, massacre, tortures, décapitations, crimes odieux, viols, exécutions, vols, séquestrations, kidnappings… hommes, femmes, enfants, de toutes religions sont atteints dans leur dignité, privés du nécessaire pour survivre, dérobés du futur et réduits à une vie de réfugiés ou de déplacés.”

“De rage, un barbare lance le bébé contre un mur. ‘J’ai cru mourir avec Razzan’, dit sa mère en revivant le moment, encore sous le choc. La petite a survécu. Par quel miracle ? Ficelée comme une momie dans son berceau, Razzan est immobile, en état de catalepsie depuis plus d’un an.”

Le père Jacques vit à Qaryatayn. Un soir, des hommes masqués pénètrent dans son monastère. Ils jettent le père Jacques et Boutros Hanna dans le coffre de leur voiture. Il y restera 4 jours. Il connaîtra la violence de la captivité, les privations, les menaces, la flagellation, la simulation d’égorgement. 84 jours après, il sera libéré.

“D’autres témoignages sont plus précis. Ils parlent de barbus vainqueurs qui viennent se servir et choisissent les plus belles, les plus jeunes, parfois des fillettes. Quand les femmes souillées par plusieurs miliciens reviennent dans la cave, elles réapparaissent dévastées, muettes, prostrées : ‘Il fallait les encourager à ne pas se laisser mourir, à revivre, à relever la tête, à penser à leurs proches. Mais même cela était trop douloureux.’ “

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 13 avr.17, 07:00
par indian1indian1
Daesh imite la version omeyades de l'Islam, celle de la Bête califale.
Injustice, InHumanisme, Immonde.

En rien la justice de Muhamed.

Qui voulez vous tromper? vous même?

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 13 avr.17, 07:32
par Citizenkan
morpheus777 a écrit :Le martyre des chrétiens d’orient : les victimes racontent l’enfer au journaliste Frédéric Pons
https://www.infochretienne.com/martyre- ... eric-pons/

Temoignages :

Soeur Marguerite Slim, directrice de l’hôpital Saint Louis d’Alep raconte : “Violence, barbarie, massacre, tortures, décapitations, crimes odieux, viols, exécutions, vols, séquestrations, kidnappings… hommes, femmes, enfants, de toutes religions sont atteints dans leur dignité, privés du nécessaire pour survivre, dérobés du futur et réduits à une vie de réfugiés ou de déplacés.”

“De rage, un barbare lance le bébé contre un mur. ‘J’ai cru mourir avec Razzan’, dit sa mère en revivant le moment, encore sous le choc. La petite a survécu. Par quel miracle ? Ficelée comme une momie dans son berceau, Razzan est immobile, en état de catalepsie depuis plus d’un an.”

Le père Jacques vit à Qaryatayn. Un soir, des hommes masqués pénètrent dans son monastère. Ils jettent le père Jacques et Boutros Hanna dans le coffre de leur voiture. Il y restera 4 jours. Il connaîtra la violence de la captivité, les privations, les menaces, la flagellation, la simulation d’égorgement. 84 jours après, il sera libéré.

“D’autres témoignages sont plus précis. Ils parlent de barbus vainqueurs qui viennent se servir et choisissent les plus belles, les plus jeunes, parfois des fillettes. Quand les femmes souillées par plusieurs miliciens reviennent dans la cave, elles réapparaissent dévastées, muettes, prostrées : ‘Il fallait les encourager à ne pas se laisser mourir, à revivre, à relever la tête, à penser à leurs proches. Mais même cela était trop douloureux.’ “
Non, ils imitent Robespierre à la tête des jacobins :

La République de la Terreur

Pour reprendre la fameuse formule de Saint-Just, le sinistre « archange de la Terreur » : « pas de liberté pour les ennemis de la liberté ».

Robespierre, qui a de quoi rendre pâle les zombies de DAESH, le bourreau de la liberté, théorise, au nom des Lumières, le terrorisme, la tyrannie, et la barbarie : « Cette sévérité n’est redoutable que pour les conspirateurs, que pour les ennemis de la liberté. »

Le mode de raisonnement de l’incorruptible restait le même qu’à l’époque du procès de Louis XVI. Le 28 décembre 1792, Robespierre avait déclaré : « Citoyens, la dernière preuve de dévouement que les représentants doivent à la patrie, c’est d’immoler ces premiers mouvements de la sensibilité naturelle au salut d’un grand peuple et de l’humanité opprimée ! Citoyens, la sensibilité qui sacrifie l’innocence au crime est une sensibilité cruelle, la clémence qui compose avec la tyrannie est barbare. »

Comme le déclare Danton : « soyons terribles pour dispenser le peuple de l’être ». L’argument est toujours repris par les historiens : la Terreur légale a permis d’encadrer la violence et donc éviter une violence plus grande encore. « Il est temps d’épouvanter tous les conspirateurs » déclare le club des Jacobins dans son adresse à la Convention le 5 septembre 1793.

Dès l’été 1793, la Terreur occupe une place déterminante dans l’activité gouvernementale, confiée aux deux comités, le Comité de Salut Public et le Comité de Sûreté générale. La loi du 17 septembre donne du suspect une définition des plus vagues …
La volonté des historiens français d’expliquer (on n’ose plus justifier depuis longtemps), de replacer dans le contexte, d’éviter les anachronismes (avec les totalitarismes du XXe siècle) fait chaud au cœur, mais témoigne de l’embarras…
Le représentant en mission (membre de la Convention) est le levier de la Terreur en province : il a pleins pouvoirs pour instituer sur place tribunaux ou cours martiales extraordinaires chargés d’accélérer la répression, sans parler d’exécutions collectives : à Lyon, Fouché utilise la mitraille, trouvant la guillotine trop lente ; à Nantes, Carrier pratique les fameuses noyades dans la Loire…

C’est désormais la « Grande Terreur » alors même que la république a triomphé de ses ennemis extérieurs et intérieurs. « Les têtes tombent comme des ardoises » note Fouquier-Tinville.

Voir : https://www.contrepoints.org/2015/01/19 ... publicaine

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 13 avr.17, 07:35
par indian1indian1
Quand l'histoire se répète sous une autre forme... mais avec le même fond :hi:

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 13 avr.17, 07:52
par Citizenkan
indian1indian1 a écrit :Quand l'histoire se répète sous une autre forme... mais avec le même fond :hi:
Oui, en voici un autre exemple :

« Le roi est captif au Temple et l'élite du clergé français en exil ou à l'Abbaye. Le canon tonnait sur le Pont-Neuf et des écriteaux menaçants proclamaient la Patrie en danger. Alors des hommes inconnus organisèrent le massacre. Un personnage hideux, gigantesque, à longue barbe, était partout où il y avait des prêtres à égorger. « Tiens, leur disait-il avec un ricanement sauvage, voilà pour les Albigeois et les Vaudois ! « VOILA POUR LES TEMPLIERS. Voilà pour la Saint-Barthélemy. Voilà pour les proscrits des Cévennes! »
Et il frappait avec rage, et il frappait avec le sabre, avec le couperet, avec la massue. Les armes se brisaient et se renouvelaient dans ses mains ; il était rouge de sang de la tête aux pieds, sa barbe en était toute collée, et il jurait avec des blasphèmes épouvantables qu'il ne la laverait qu'avec du sang.

http://www.liberius.net/livres/La_Revol ... 000318.pdf



D'autres épisodes sont aussi troublants, notamment avec Napoléon la fierté du peuple :



Le 22 juillet, Napoléon Bonaparte — alors âgé de 28 ans — occupe la ville du Caire où il canonne la grande mosquée sunnite d’al-Azhar et décapite quotidiennement des musulmans qui participaient à la résistance. Les têtes furent ensuite présentées dans les rues de la ville devant une foule terrorisée.
Dans son compte rendu des massacres de l’armée napoléonienne en Égypte, Mahmoud Shâkir raconte comment les colons détruisirent de nombreuses mosquées et pillèrent les maisons avec une cruauté inouïe [11]. Jaloux de l’hygiène et de la propreté des musulmans, les Français vont jusqu’à détruire les toilettes des mosquées [12]. Le récit historique finement détaillé du sheikh égyptien relate que les premières victimes de la barbarie française furent les étudiants d’al-Azhar :

« Dans sa répression, Napoléon agissait avec une dureté impitoyable, il perpétra un carnage et égorgea hommes et femmes. Après avoir fait couler le sang à profusion, il fit serment de ne pas s’arrêter là et il tint sa promesse. À chaque lever de soleil, il immolait cinq ou six personnes en les décapitant. Il ordonna alors d’exhiber leur têtes dans les rues du Caire. Ces cinq ou six victimes étaient bel et bien des étudiants de l’université d’al-Azhar [13] où s’organisait la résistance. »
Mahmoud Shâkir, « Risâla Fi al-Tarîq ila Thaqâfatina » p. 104
Dans une lettre adressée aux chefs d’armée datant de juillet 1798, Napoléon considérait que les décapitations furent le seul moyen pour assujettir les musulmans : « C’est le seul moyen pour asservir ce peuple, il faut que nous prenions soin à désarmer la population locale dans sa totalité. » « Târîkh al-Haraka al-Qawmiya », p. 283
Tout Égyptien qui se fit surprendre avec une arme fut exécuté sur place. Le désarmement de la population égyptienne se déroula sans aucune considération pour les coutumes musulmanes ni leurs sentiments. L’objectif colonial de « civiliser » les autres selon les principes de liberté, égalité et fraternité n’a jamais eu lieu et la « Mission civilisatrice » fit place à la démence coloniale de Napoléon.


« L'histoire est une suite de mensonges sur lesquels on est d'accord. »
– Napoléon

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 13 avr.17, 07:59
par indian1indian1
Nous pourrions aussi reprendre l'histoire des 10 dynasties les plus bestiales qui ont marqué l'islam (débutant avec les Bani-Ummayads) et les côtés le plus sombres de l'histoire de certains chiismes musulmans...

pour la gloire de qui chaque foi? :hum: :hi:

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 13 avr.17, 08:08
par Citizenkan
indian1indian1 a écrit :Nous pourrions aussi reprendre l'histoire des 10 dynasties les plus bestiales qui ont marqué l'islam (débutant avec les Bani-Ummayads) et les côtés le plus sombres de l'histoire de certains chiismes musulmans...

pour la gloire de qui chaque foi? :hum: :hi:
Il faudrait alors ouvrir un thread pour cela, je continue avec un aperçu sur les jacobins :


La Révolution française en particulier représente une application violente de la philosophie des Lumières, notamment lors de la brève période de pouvoir des Jacobins. Le désir de rationalité révolutionnaire se coupe du rationalisme dit « spirituel » de Descartes, jusqu'à conduire à une tentative d’éradiquer l’Église et le christianisme dans son ensemble. Ainsi, la Convention nationale change le calendrier, système de mesure du temps, et le système monétaire, tout en plaçant l’idée d’égalité, sociale et économique, au plus haut point des priorités de l’État.[1]

Ce socle idéologique qui relie les jacobins aux philosophes des Lumières est aussi, voire plus puissant que celui qui relie les djihadistes aux quiétistes.

Les jacobins, d’anciens « dormants »

C’est désormais la Grande Terreur.
« Les têtes tombent comme des ardoises » note Fouquier-Tinville.

Les Jacobins et leur idéologie se confondent avec la Terreur et la dictature de Salut Public (de 1793 au printemps 1794). C’est en partie cette adéquation entre jacobinisme et dictature de Salut Public qui a entretenu la légende jacobine après la disparition du Club lors de la réaction thermidorienne. Aux XIXe et XXe siècles, jacobinisme est synonyme de dictature révolutionnaire, dictature de la liberté.

Leurs idées sont modérées au départ, en effet les membres de la Société préconisent une monarchie constitutionnelle libérale, mais non démocratique (les Jacobins sont tous des citoyens actifs, des bourgeois qui paient une cotisation élevée : 24 francs). Leurs positions, cependant, ont tendance à se durcir par la suite fin 1790 début 1791.

Le 22 septembre 1792, la Société des Amis de la constitution s’était auparavant débaptisée solennellement et avait décidé de se nommer « Société des Jacobins amis de la liberté et de l'égalité ». Le Club des Jacobins ainsi ressaisi joue un rôle d’opposition à la majorité de la Convention (Girondins, Modérés). Les Jacobins ont pu dominer politiquement le pays seulement parce qu’ils avaient une idéologie qui se calquait aux besoins du moment.

Politiquement, ce sont des démocrates, ils comprennent la nécessité d’une révolution politique destinée à assurer à tous les hommes un régime, dont la charte s’inscrit dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen et que résume le slogan Liberté-Égalité-Fraternité (la notion de fraternité n'apparaissant toutefois qu'en 1848). En 1789, les Jacobins étaient monarchistes, en 1793 ils sont devenus des républicains fervents. Le Club est toujours à l’avant-garde politique même si le personnel politique jacobin change. Les Jacobins de l’An II ont pour référence Rousseau, Du contrat social et l’idée de démocratie directe. Socialement, ils demeurent des démocrates bourgeois respectueux de la propriété (même en l’An II, leur composition sociale restera essentiellement bourgeoise et artisanale). Ils désirent par-dessus tout l’établissement de la petite propriété, ils refusent la loi agraire, mais ils condamnent tout autant la très grande propriété regardée comme étant un facteur d’oppression. Ils sont ardemment patriotes, ils observent un culte fervent à la Patrie inséparable de la liberté que l’on doit défendre si elle est attaquée.

La doctrine jacobine implique une volonté de sacrifice individuel à des principes qui dépassent pour le bien de tous l’intérêt de chacun. « Être jacobin » demeure être un homme à principe, prêt à sacrifier son bonheur et sa vie même au triomphe des idées politiques et sociales que proclame la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, et au Salut de la Patrie. Gaston Martin considère les Jacobins comme des fanatiques qui ont admis la nécessité pour vaincre du « despotisme de la liberté ».[2]

Ainsi, ibn Taïmiya est une référence djihadiste au même titre que Rousseau est une référence Jacobine !

[1] Prosper Poullet, Les institutions françaises de 1795 à 1814, Paris, Plon-Nourrit,‎ 1907, 975 p. (lire en ligne [archive]), p. 223.

[2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacobinisme

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 13 avr.17, 09:18
par Nihil
:hi:

D'un côté nous avons des égyptiens qui massacre d'autres égyptiens au nom d'allah :?
de l'autre des français qui ont massacré d'autre français au nom de qui, au nom de quoi :hum:
donc tout va bien :accordeon:
pourvu que ça dure :non:

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 16 avr.17, 14:20
par indian1indian1
Nihil a écrit ::hi:

D'un côté nous avons des égyptiens qui massacre d'autres égyptiens au nom d'allah :?
de l'autre des français qui ont massacré d'autre français au nom de qui, au nom de quoi :hum:
donc tout va bien :accordeon:
pourvu que ça dure :non:
On nom d'un sentiment de supériorité vis à vis l'autre :(

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 16 avr.17, 23:17
par Citizenkan
Nihil a écrit ::hi:

D'un côté nous avons des égyptiens qui massacre d'autres égyptiens au nom d'allah :?
de l'autre des français qui ont massacré d'autre français au nom de qui, au nom de quoi :hum:
donc tout va bien :accordeon:
pourvu que ça dure :non:


Les proches avec lesquels ont est plus exigeant, sont les plus souvent les premières victimes de la violence, ne serait-ce que pour des raisons matérielles toutes simples de proximité...

N'oublions pas que les musulmans sont les premières victimes de DAESH !


Un algérien intégriste fait l’apologie de la violence religieuse



« Il n’est pour l’âme aliment plus suave que la connaissance de la vérité. » (Lactance)



A l'égard du paganisme et des païens, l'attitude d'Augustin – qui n’a rien à envier à l’horrible Robespierre, et devant qui se courbent tels des enfants de cœur les plus ignobles sanguinaires de DAESH – ne comporte aucune ambiguïté. Il trouve absolument naturelles les mesures prises contre eux ; il approuve pleinement la législation de Théodose, par laquelle les sanctions préconisées contre les païens pouvaient aller jusqu'à la mort. Il est probable que tous les chrétiens de son temps partageaient son avis (cette allégation n’engage que son auteur). Écrivant au rogatiste Vincentius, Augustin s'écrie : « Quel est celui d'entre nous, quel est celui d'entre vous qui ne loue les lois promulguées par les empereurs contre les sacrifices des païens ? » La même année, il écrit à Olympius : « II faut que les ennemis de l'Église sachent que les lois envoyées en Afrique pour la destruction des idoles et la correction des hérétiques ont été promulguées par la volonté de l'Empereur très pieux et très fidèle ».



Saint Augustin invoque froidement le cas d'un païen pris en flagrant délit de sacrifice et condamné à mort : « Quant à leurs sacrifices, ils sont condamnés sous peine de mort. Supposé donc que tel païen soit surpris en un flagrant délit de ce genre, le regarderez-vous comme un martyr, parce qu'on lui aura fait l'application des châtiments que les lois infligent à cette superstition qu'il prenait pour un culte pieux ? Un chrétien, quel qu'il soit, n'acceptera jamais cette dénomination ».



Citons encore le texte suivant, car il contient deux thèmes que nous retrouverons dans les polémiques anti-donatistes de saint Augustin : « On a cru devoir éditer des ordonnances contre les païens, ou plutôt pour les païens, s'ils veulent être sages. De même en effet qu'en rencontrant des enfants sans raison qui jouent à la boue et se souillent les mains, le maître prend un visage sévère, leur fait tomber la boue des mains et leur donne un livre, ainsi Dieu a voulu se servir des princes qui lui sont soumis pour jeter la terreur dans l'âme de ces grands enfants, les déterminer à jeter la boue et à faire quelque chose de sérieux »



Pour Julien, « l'expérience lui avait appris qu'il n'y a pas de fauves plus dangereux pour les hommes que ne le sont souvent les chrétiens pour leurs coreligionnaires »[1]



Les Donatistes crient à la persécution, mais il n'y a pas eu de persécution, il y a eu simplement vengeance, châtiment divin. Optât se repose facilement sur la volonté de Dieu : « Vous dites que les artisans de l'unité furent méchants : ce fut peut-être avec la volonté de Dieu... ». Le massacre ne déplaît pas toujours à Dieu. Moïse n'a-t-il pas fait exécuter des milliers d'hommes ? Phinéès n'a-t-il pas été récompensé par Dieu ?



Il suffira de citer quelques passages d'œuvres datant de 400 à 402 pour montrer qu'à ce moment, saint Augustin est partisan de la législation impériale et acquis, contrairement à ce qu'on affirme souvent, à son application effective.



Voici, dans le Contra ep. Parmeniani, 1, 13 : « Quels châtiments, après tout, pourraient donc leur paraître injustes, alors qu'ils les subissent à la suite du jugement suprême de Dieu, qui, par de tels châtiments, les avertit de se garder du feu éternel, alors que ces châtiments sont mérités par la gravité de leurs crimes et appliqués par la sagesse des puissances de la terre ? Qu'ils prouvent d'abord qu'ils ne sont ni hérétiques, ni schismatiques ; alors du moins, ils pourront crier avec fureur à l'indignité des châtiments qui les frappent », et un peu plus bas, un des textes les plus terribles d'Augustin, I, 14 : « Du reste, tout ce bruit que l'on fait autour des châtiments qu'ils subissent ne vient-il pas uniquement de ce que la multitude des hommes place son cœur, non pas dans son cœur, mais dans ses yeux ? Que du sang vienne à couler d'une chair mortelle, on frémit à cet aspect. Et si les âmes, privées de la paix de Jésus-Christ et séparées de sa communion, meurent dans le sacrilège de l'hérésie ou du schisme, parce que rien ne frappe les yeux, personne ne pleure ».

Et dans le Contra litt. Petiliani, entre autres passages, II, 43 : « S'il est prouvé que cette séparation soit un crime, ne vous étonnez plus que Dieu ne manque pas de ministres pour vous flageller ; et la persécution que vous subissez n'est point notre œuvre propre, mais, selon la parole de l'Ecriture, la conséquence nécessaire de vos œuvres ».



« De même, vous nous objectez d'habitude que nous vous persécutons par les puissances de la terre. Sur ce point, je ne veux pas discuter la question de savoir ce que vous, vous méritez pour la cruauté d'un tel sacrilège, ni combien la mansuétude chrétienne nous rend modérés... ». C'est déjà, en 399, le langage qu'il tiendra constamment plus tard, il insistera toujours sur ce thème : la persécution adoucie par la charité.



C'est par amour, par charité qu'il faut les faire souffrir ; les souffrances qu'on leur impose de la sorte sont des bagatelles à côté des châtiments éternels qui les attendent infailliblement dans la vie future s'ils ne se convertissent pas. La même charité qui le pousse à exhorter, à harceler les non-catholiques, à leur proposer des discussions le pousse également, si l'apostolat ne réussit pas, à recourir à des méthodes plus fortes.



Augustin ne fait ainsi qu'exprimer le raisonnement même de Dieu : « Si donc, dans sa miséricorde, Dieu nous avertit maintenant par l'organe des puissances humaines, c'est afin de n'avoir pas à nous frapper au dernier jour, et de ne pas laisser aux orgueilleux (la triste ressource) de se vanter de leur condamnation »



Bien entendu, puisque les catholiques sont seuls à détenir la vérité, seuls ils ont le droit de recourir à une certaine violence.



« Et dans quelle irritation ne vous jetterais-je pas si je vous obligeais à négliger les plaintes de ceux qui souffrent pour ne vous occuper que des intentions de ceux qui sévissent contre les coupables ? ». Id. II, 217

C'est l'argument : « II ne faut pas regarder si l'on force, mais à quoi l'on force »[2] : « Nous n'attirons personne par violence, nous ne tuons pas nos ennemis, mais tout ce que nous faisons à votre égard, quoique ce soit malgré vous, nous le faisons cependant par charité, pour que vous vous corrigiez de votre plein gré, et que, corrigés, vous ayez la vie » ; Contra Cresconium, IV, 56 : « Je veux encore vous forcer à avouer qu'il peut arriver que des hommes religieux persécutent des sacrilèges, que des hommes pieux persécutent des impies, non pas pour le plaisir de nuire, mais dans le but unique et nécessaire de pourvoir (à leur salut) ».



Quand on lui demande ce qu'il fait du libre arbitre, Augustin proteste. On ne force personne à la foi. Seulement, la tribulation fait réfléchir celui qui souffre, elle fait disparaître la perfidia ; après quoi, l'adhésion à la vraie foi devient sincère, spontanée. « La contrainte extérieure fera naître à l'intérieur la bonne volonté. »



Mais ailleurs, Augustin fait bon marché du libre arbitre, dans le Contra Gaudentium notamment : « Gardez-vous de courir vous-mêmes à votre perte éternelle en soutenant que le libre arbitre doit vous être laissé ici-bas par les hommes pour que vous puissiez offenser Dieu. » L'hérésie est un crime contre Dieu, contre la vrai Église ; c'est au fond le pire crime qui soit. Il est donc absolument naturel que les lois l'interdisent et prévoient le châtiment des coupables.



« Avouez donc — vous y êtes déjà obligé — que la question n'est pas de savoir ce que tel homme a souffert, mais pourquoi il a souffert. »



« Et cependant, quelle persécution a-t-il donc à souffrir, ce frère qui nous a été présenté ? J'avoue hautement qu'il n'en est pas de plus glorieuse. M'accuse qui voudra ; toujours est-il que je me flatte de cette persécution... Si c'est en toute justice que je poursuis celui qui commet la détraction occulte contre son prochain, n'ai-je pas à combien plus forte raison le droit de poursuivre celui qui blasphème publiquement contre l'Église ?... Quoi donc ! Je ne poursuivrais pas celui qui blasphème l'Église ? Je le persécuterai, car je suis membre de l'Église, je le persécuterai, car je suis enfant de l'Église... Ils ont arraché un des nôtres pour le précipiter dans la mort spirituelle, et il nous serait défendu de les arracher à l'erreur pour les placer sur le chemin du salut ? »



La force est un bien quand elle est au service de la vérité, quand elle empêche ou châtie l'erreur. Les empereurs chrétiens ont donc entièrement raison d'y recourir.



« Ne te laisse pas émouvoir par les supplices et les châtiments infligés aux malfaiteurs, aux sacrilèges, aux ennemis de la paix, aux adversaires de la vérité. Ce n'est pas en effet pour la vérité que meurent ces sectaires ; ils meurent plutôt pour empêcher qu'on annonce la vérité, qu'on prêche la vérité, qu'on s'attache à la vérité ; pour empêcher qu'on aime l'unité, qu'on embrasse la charité et qu'on parvienne à posséder l'éternité. Que leur cause est affreuse. Aussi leurs souffrances sont-elles sans mérite. »



Le catholique, possédant la vérité, est objectivement supérieur au schismatique, à l'hérétique, au païen, qui sont dans l'erreur. Ne nous étonnons donc pas de lire que le catholique peut contraindre le donatiste comme le médecin violente son patient, comme un père peut battre un fils indiscipliné, comme le premier venu immobilise et lie un frénétique, comme on doit empêcher des enfants de jouer avec des serpents et même les battre pour les corriger, comme on retire d'un puits, même malgré lui quelqu'un qui s'y précipite, comme un berger a le droit de ramener ses brebis, même par la violence. « Les frénétiques ne veulent pas qu'on les lie, les léthargiques ne veulent pas qu'on les stimule ; pourtant, le zèle de la charité persévère à corriger le frénétique, à stimuler le léthargique, à les aimer tous deux. Tous deux sont molestés, mais tous deux sont aimés ; tous deux s'indignent, pendant qu'ils sont malades, qu'on les moleste, mais tous deux, une fois guéris, sont reconnaissants. »



Le sanguin Augustin inspire l’Inquisition du Moyen-âge qui ne se s'encombrera pas de la compréhension métaphorique du texte, et qui manquera de délicatesse platonicienne : « Pour redresser un bâton, on l'approche du feu ; que la douleur serve également à te redresser ; cette douleur est loin d'être encore la flamme éternelle ; elle est comme la chaleur du foyer qui doit faire disparaître les virtuosités de ton cœur, t'avertir, te corriger... Ouvre-le (le livre saint) et reconnais que tu as gardé de quoi te faire brûler. »



http://www.persee.fr/doc/rbph_0035-0818 ... _33_2_1944


[1] Ammien Marcellin, XXII, 5, 2 sq. Cf. J. Bidez, Vie de l'Empereur Julien, p. 228.

[2] Bayle répond, p. 84 : « Et moi, je dis à mes Lecteurs, qu'ils voient présentement, je m'assure, qu'il ne faut pas regarder à quoi l'on force, en cas de Religion, mais si l'on force ; et que, dès que l'on force, on fait une très vilaine Action et très opposée au génie de toute Religion et spécialement à l'Évangile »

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 17 avr.17, 01:37
par indian1indian1
Citizenkan a écrit : N'oublions pas que les musulmans sont les premières victimes de DAESH !
:mains: :hi:
tres tres important.

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 17 avr.17, 01:45
par Seleucide
Citizenkan a écrit :Pour reprendre la fameuse formule de Saint-Just, le sinistre « archange de la Terreur » : « pas de liberté pour les ennemis de la liberté ».
Pour reprendre le fameux hadith du prophète : « j'ai vaincu par la terreur ».

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 17 avr.17, 01:50
par Citizenkan
Seleucide a écrit : Pour reprendre le fameux hadith du prophète : « j'ai vaincu par la terreur ».
Ramenez-le en arabe avec son degré d'authenticité et dans son intégralité, et après, je le commenterais in sha Allah !

En attendant :


La violence dans la Bible



Un chercheur s’est amusé à recenser les versets Bibliques glorifiant la violence, et, à sa grande surprise arriva au nombre faramineux de 917,[1] en voici quelques échantillons :



Abraham, l’Ami de Dieu, fit la guerre, prit du butin (Genèse 14) et eut plusieurs concubines ;
Jacob pratiqua la ruse (la taqya) pour voler la bénédiction de son frère (Genèse 27), était polygame, eut plusieurs femmes et concubines, fit la guerre (Genèse 48, 22), et, l’effronté, affronta Dieu en combat singulier ! (Genèse 32) ;
Les fils de Jacob pratiquèrent également la ruse afin de massacrer ceux qui avaient violé leur sœur Dina, firent la guerre, prirent du butin et des captives de guerre, les fameuses « esclaves sexuelles » (Genèse 34) ;
Moise ordonna aux enfants d’Israël de dépouiller et de voler les Égyptiens avant l’Exode (Exode 3 : 21-22, Exode 11, 2-3, Exode 12 : 35-36) ; Il fit exécuter 3000 juifs qui avaient idolâtré le Veau D’Or (Exode 32 : 27-28) ; Il fit lapider ceux qui avaient profané le Nom de Dieu (Exode 24 : 14), de même que ceux qui avaient violé le Sabbat (Nombres 15 : 32-36) ; Il fit exécuter 24 000 juifs qui avaient couché avec des femmes païennes (Nombres 25 : 9) ; Il avait une armée de plus de 600 000 soldats à la tête de laquelle : « Moise jetait l’effroi et la terreur sur ses ennemis » (Dt 2 : 25) ; 603 550 soldats lors du premier recensement (Nombres 1 : 46) et plus que 601 730 lors du second (Nombres 26) : Qu’a-t-il fait avec tous ces soldats ? Il a commencé des guerres d’extermination radicales. Moise combattit donc les Cananéens et les extermina (Nombres 21), il chassa et extermina les Amorites de leurs pays (Nombres 21 : 24-31) et le texte précise bien qu’il ne restait « pas un seul survivant », il tua hommes, femmes et enfants (Dt 2 : 32-35) et garda le butin ; Il attaqua le roi du Bashân et extermina hommes, femmes et enfants de 60 villes fortifiées et d’un très grands nombre de villages, seul le bétail fut gardé comme butin de guerre (Dt 3 : 2-7) ; Il extermina ensuite les Madianites avec 12 000 hommes. Il fit tuer tous les mâles adultes, il incendia toutes leurs villes et après que ses combattants lui eurent ramené le butin (c’est-à-dire les petits garçons, les femmes), il se fâcha, ordonna qu’on tua tous les bébés mâles ainsi que les femmes non vierges et de ne garder que les filles vierges ; Le texte dit que celles qui survécurent étaient 32 000 petites filles qui furent partagés entre les israélites en tant que captives de guerre ! (Nombres 31)[2] ; Moise aurait donc fait périr durant sa campagne militaire contre les madianites au minimum 100 000 personnes au Nom de Dieu ; Moise donna l’exemple à Josué et lui dit qu’il devra faire exactement pareil de l’autre côté du Jourdain dans la terre promise par Dieu à Abraham (Dt 3 : 21 et 28), c’est-à-dire qu’il devra anéantir jusqu’au dernier les sept peuples dits maudits (Nb 27 : 18-23, Dt 12 : 2 et Dt 31 : 7-8) ;
Josué, l’élu de Dieu, commet des génocides incroyables. Il part à la conquête de Jéricho, tue hommes, femmes, enfants, vieillards et incendie toute la ville (Jos 6 : 20-21), seule la prostituée Rahab et sa famille sont épargnés ! Il attaqua ensuite la ville d’Aïe avec 30 000 soldats en pratiquant la ruse en tant de guerre (Josué 8 : 4-9). Il fait tuer au Nom de Dieu hommes, femmes, enfants, prends du butin et incendie toute la ville. Total des victimes de Josué sous la bénédiction de Dieu : 12 000 victimes (Jos 8 : 25) ! Il attaqua ensuite les villes de Maqqéda, Livna, Lakish, Guezar, Eglon, Hébron, Dévir, tout le pays et à chaque fois le même procédé : tous les habitants sont passés au fil de l’épée (Hommes, femmes, enfants). Tout le monde est exterminé au nom du Dieu d’Israël. Il fit cela avec 31 villes et partagea comme butin tout le territoire avec les tribus d’Israël !
Moise apporta une loi (Exode 21) qui contient environ des dizaines de sentence de peine de morts, même contre les animaux ; une loi qui codifie l’esclavage, qu’un homme peut vendre sa propre fille, qui légifère la polygamie, qui inclut des châtiments corporels, une loi qui légifère sur le butin, les « esclaves sexuelles » et les captives de guerre ; une loi qui ordonne de faire passer au fil de l’épée tous les mâles d’une nation qui refuse de se rendre ; une loi qui autorise de châtier par le feu (Lv 20, 14) ; une loi qui ne donne le droit à l’héritage à la femme que si elle n’a pas de frères (Nombres 27 : 8-11), et qui instaure que les vœux de la femme sont soumis au bon vouloir de l’homme (Nombres 30) ;
Le prophète Elisée a maudit 42 enfants qui le traitaient de « chauve », le Dieu de la Bible répondit à son invocation en envoyant deux ours déchirer ces enfants insolents ! (2 Rois 2 : 23-24) ;
Samson a aussi commis une attaque kamikaze, un attentat-suicide approuvée par Dieu et qui fit plus de 3000 milliers de morts (Juges 16 : 23-30) ;
David tua Goliath et lui trancha la tête (1 Sam 17 : 51) de même qu’il tua les meurtriers du fils de Saül, et mutila leurs corps en leur coupant les mains et les pieds (2 Sam 4 : 12) ; David a commis une véritable Shoah dans la Bible, il extermina totalement les Ammonites en les découpant avec des scies, des herses et des haches et les fit jeter dans des fours à brique ! (1 Ch 20 : 3, 2 Sam 12 : 31) ; David extermina 22 000 Syriens et il asservit le reste en leur faisant payer l’impôt de capitation/la jizya (2 Samuel 8 : 5-6), il extermina de même 18 000 Edomites et les assujettis en leur faisant payer la jizya (2 Samuel 8 : 13-14), plus tard, il massacra également 40 000 Syriens (2 Samuel 10 : 18) ; David fit sournoisement assassiner l’un de ses chefs des armées, le général Uri afin de commettre l’adultère avec sa femme Bath-Schéba (2 Sam : 11) transgressant ainsi trois des plus grands commandements de la Torah (tu ne tueras pas, tu ne commettras point d’adultère et tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain) ! Pourquoi Dieu ne l’a-t-il pas châtié par la peine de mort ? David tua 200 Philistins, mutila leurs corps, coupa leur prépuce pour les remettre au Roi Saül afin qu’il lui donne sa fille Mical pour femme (1 Samuel 18 : 27). Quelle étrange dot pour un mariage ! La Bible nous dit dans 1 Rois 15 : 5 que « David avait fait ce qui est droit aux yeux de l'Éternel, et il ne s'était détourné d'aucun de ses commandements pendant toute sa vie, excepté dans l'affaire d'Urie, le Héthien. » À part l’histoire de l’adultère, tous les massacres de David étaient droits aux yeux de l’Eternel !
Le Prophète Elie n’est pas en reste puisqu’il égorgea les 450 prêtres de Baal (1 Rois 18, 19 et 40).


Tous ces massacres ne doivent pas nous étonner car nous lisons dans la Bible : « Maudit soit celui qui fait avec négligence l’œuvre de l’Eternel, maudit soit celui qui éloigne son épée du carnage » (Jérémie 48 : 10). Comment peut-il en être autrement alors que l’auteur de l’épitre aux hébreux affirme au chapitre 11 que David, Samson, Samuel et les prophètes furent justifiés par leur foi et non par leurs actes, qu’ils pratiquèrent la justice et qu’ils furent vaillants à la guerre ! (Hébreux 11 : 32-34)



Nous apprenons également dans le Nouveau Testament, dans le livre des Actes des Apôtres que le Saint Esprit acheva Ananias ainsi que sa femme parce qu’ils n’avaient pas donné tout l’argent de la vente de leur propre terrain à Pierre (Actes 5 : 1-11) ! Le texte appelle cela « prodige et miracle ».



Tous ces « bons fruits » se trouvent dans la Bible et donc sont approuvé par Jésus-Christ qui est venu accomplir et non pour abolir les lois et les prophètes ! (Mt 5 : 17).


Voir : http://blog.decouvrirlislam.net/Home/ch ... e-la-bible




[1] http://www.blog.sami-aldeeb.com/2012/08 ... -violence/

[2] Le très réputé commentaire protestant de la Bible annoté nous dit qu’elles avaient moins de 12 ans ! Quoi qu’il en soit, s’il ne reste que 32 000 survivantes, on ne peut qu’imaginer l’ampleur du carnage.

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 18 avr.17, 00:59
par Etoiles Célestes
Citizenkan a écrit :Ramenez-le en arabe avec son degré d'authenticité et dans son intégralité, et après, je le commenterais in sha Allah !
Pas la peine, l'histoire avec un grand H raconte les guerres de l'Islam.

La violence dans la Bible
1 - La violence dans l'ancien testament n'est jamais gratuite, il est ordonné par Dieu sur des peuples
vivant dans la débauche et le blasphème.

2 - Tout ce que tu cites n'est plus d'actualité, nous sommes sous une nouvelle alliance.
Alliance scellée par le sang du Christ sur la croix.

Tu aimeras ton prochain comme toi même.
Faites du bien à ceux qui vous persécutent, cela te dit quelque chose?

Re: Daesh imite leur prophete, Mahomet

Posté : 18 avr.17, 01:05
par indian1indian1
Etoiles Célestes a écrit :Ramenez-le en arabe avec son degré d'authenticité et dans son intégralité, et après, je le commenterais in sha Allah !
Pas la peine, l'histoire avec un grand H raconte les guerres de l'Islam.


]La violence dans la Bible
1 - La violence dans l'ancien testament n'est jamais gratuite, il est ordonné par Dieu sur des peuples
vivant dans la débauche et le blasphème.

2 - Tout ce que tu cites n'est plus d'actualité, nous sommes sous une nouvelle alliance.
Alliance scellée par le sang du Christ sur la croix.

Tu aimeras ton prochain comme toi même.
Faites du bien à ceux qui vous persécutent, cela te dit quelque chose?
Parlez vous de l'Historie de l'islam à partir de l'a 666? (l'histoire de la Bête)?

La violence dans le Qur'an n'est jamais gratuite, elle est ordonné par Dieu sur des peuples
vivant dans la débauche et le blasphème.

Voudriez vous que nous laissions faire L'État Islamique? en leur tendant l'Épée la plus tranchante qui soit, La parole, la Bible ou l'autre jour

Que faites vous de la toute nouvelle alliance?