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L'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy annonce qu'elle va se mobiliser pour que les électeurs de droite votent FN au second tour de l'élection présidentielle.

C'est décidé. Le 7 mai prochain, la fondatrice du Parti chrétien démocrate glissera un bulletin «Marine Le Pen» dans l'urne. «Ma décision est claire, c'est “pas de Macron”», annonce lundi soir l'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy au Figaro. «Macron, ce n'est pas possible», insiste l'ancienne candidate à l'élection présidentielle de 2002. «Emmanuel Macron c'est l'incarnation de tout ce que je n'aime pas, c'est à l'opposé de mes valeurs qui ont rythmé ma vie politique. C'est le libéralisme libertaire, c'est la mondialisation, c'est l'argent, c'est la banque», s'agace l'ex-député des Yvelines.

«Il dénie à la France sa culture», martèle Christine Boutin qui estime «avoir le devoir de dire qu'il représente un vrai danger» pour le pays. Celle qui avait voté «non» au référendum européen de 2005 s'est fixée un but pour ces prochains jours: «Mon objectif c'est d'affaiblir Emmanuel Macron. Si on pouvait le faire battre, j'en serais ravie».

«Ce parti, je l'ai combattu toute ma vie»

La fondatrice du Parti chrétien démocrate veut «développer le vote révolutionnaire». «C'est-à-dire voter contre la personne qui a été choisie par son camp. Or, aujourd'hui le candidat de la droite c'est Emmanuel Macron», s'indigne l'ancienne ministre. «Je suis scandalisée que la droite ait trahi ses électeurs qui s'étaient fait une raison de voter François Fillon, en annonçant, un quart d'heure après la défaite, un vote en faveur du candidat d'En Marche!»

«Je veux faire comprendre aux Français de droite que voter Le Pen, ce n'est pas adhérer au Front national. C'est simplement un vote contre Emmanuel Macron», précise-t-elle. Christine Boutin veut être précise: son geste «n'est pas un vote d'adhésion au Front national». «Ce parti, je l'ai combattu toute ma vie. On ne peut pas avoir de doute là-dessus». Ce bulletin Le Pen qu'elle glissera dans l'urne, est simplement un outil qu'elle veut utiliser pour empêcher l'ancien ministre de François Hollande de rejoindre l'Elysée.¨

«Maintenant, je dois travailler pour lever l'inquiétude, la peur et l'opprobre qui pourraient s'abattre sur les électeurs de droite tentés par le vote Le Pen», poursuit Boutin. Elle le jure: Christine Boutin «n'attend rien» du FN en échange de son geste.

Le Figaro

Le FN est le parti le moins cosmopolite, donc le moins mauvais.

Le peuple français en enfant gâté regrette déjà de ne pas avoir voté Fillon.

Seleucide a écrit :Le FN est le parti le moins cosmopolite, donc le moins mauvais.

C'est un parti raciste, sexiste et xénophobe mais Marine Le Pen est lucide sur les dangers de l'islam.

Quand Christine Boutin, qui votera Marine Le Pen, jugeait "pas possible de voter FN lorsque l'on a ces convictions religieuses fortes"


http://lelab.europe1.fr/quand-christine ... es-3310709

Entre deux maux, il faut choisir le moindre

L'islam, c'est pire que le nazisme et le stalinisme réunis. L'islam est le SIDA des sociétés.

L'Algérie en 1962 était un paradis, une dose massive d'injection d'islam l'a amené au bord du gouffre
et elle a fait un grand bond en avant.

Merci aux fascistes du FLN cette belle réussite.

yacoub a écrit :C'est un parti raciste

Qu'est-ce que le racisme ?

En quoi le FN est-il raciste ?

sexiste

Ce qui explique sans doute que leur candidat est une femme.

et xénophobe

La xénophobie est étymologiquement la peur des étrangers.

En quoi est-ce mal que d'avoir peur des étrangers ?

La xénophobie est étymologiquement la peur des étrangers.
En quoi est-ce mal que d'avoir peur des étrangers ?

C'est loin d'être la définition:
La xénophobie est une « hostilité à ce qui est étranger », plus précisément à l'égard d'un groupe de personnes ou d'un individu considéré comme étranger à son propre groupe (endogroupe).

Principalement motivée par la peur de l’inconnu et de perdre sa propre identité, elle se détermine selon la nationalité, l'origine géographique, l’ethnie, la race présumée (notamment en fonction de la couleur de peau ou du faciès), la culture ou la religion, réelles ou supposées, de ses victimes, sous l'influence de croyances populaires. Elle peut se manifester par l'exaltation de la culture de son endogroupe, à travers certaines formes de nationalisme par exemple, et le dénigrement, le rejet voire la destruction de la culture du ou des groupes étrangers, ou des agressions verbales ou physiques des membres de ce groupe, pour assurer la pureté présumée de l'identité de l'endogroupe.

Et si il n'y avait que la l'Hostilité envers ce qui est étranger...
Un petit retour en arrière de 2 3 ans avec le DPS de Ayoub and C°? ils ont pas disparus les activistes contre les travailleurs en grève, j'en garde encore des trace, pas seulement moi.

En même temps, l'avis de Boutin qu'est ce qu'on s'en fout!!!

IL y a encore plus primaire:La defense du territoire, source de securite et de nourriture.

La xénophobie est étymologiquement la peur des étrangers.
En quoi est-ce mal que d'avoir peur des étrangers ?

La télévision est étymologiquement un objet qui "voit loin" (télé -> loin ; vision -> vision)

On peut donc en conclure grâce à la méthode Séleucide que ceci est une télévision






Seleucide, tu es un vrai génie.

Et en quoi le fait qu'un télescope ne soit pas une télévision fait-il de la xénophobie autre chose qu'une peur des étrangers ?

Prétendre que l'étymologie suffit à donner la définition d'un terme est un mensonge. C'est tout.

Dede 95 a écrit :
Principalement motivée par la peur de l’inconnu et de perdre sa propre identité, elle se détermine selon la nationalité, l'origine géographique, l’ethnie, la race présumée (notamment en fonction de la couleur de peau ou du faciès), la culture ou la religion, réelles ou supposées, de ses victimes, sous l'influence de croyances populaires. Elle peut se manifester par l'exaltation de la culture de son endogroupe, à travers certaines formes de nationalisme par exemple, et le dénigrement, le rejet voire la destruction de la culture du ou des groupes étrangers, ou des agressions verbales ou physiques des membres de ce groupe, pour assurer la pureté présumée de l'identité de l'endogroupe

En même temps tout ça peut aisément s'appliquer à tous les communautarismes ( ne pas confondre avec communautés culturelles) fondamentalismes ou intégrismes religieux.

Le hic est qu'il ne faut pas verser dans la "contrition nationale" pour privilégier ou prioriser une identité culturelle minoritaire sur une autre coupable d'être majoritaire. Car il n'y a pas plus hermétique, exclusive et sans compromis qu'une identité religieuse ou un communautarisme. Dans un cas défendre ou promouvoir son identité culturelle est un droit fondamental et inaliénable et dans l'autre cela devient un fascisme réactionnaire​ et régressif.

Il ne faudrait pas que les agendas particuliers des partis deviennent le prétexte à avaler des couleuvres même bien cuisinés.

Peur des étrangers ou peu des valeurs de la société d'accueil on voit bien que le "nous et eux" va dans les deux sens. Seleucide n'a pas eu recours à des sophismes pour exprimer sa pensée pour traduire des préoccupations et inquiétudes populaires qu'on étouffe à gros coups de semonce xénophobique. Au Canada durant la seconde guerre mondiale on a mis dans des camps des citoyens japonais par peur de trahison. Étouffer les murmures ne fait qu'exacerber et libérer les tensions dans le pire des sens.

Dede 95 a écrit :C'est loin d'être la définition:
La xénophobie est une « hostilité à ce qui est étranger », plus précisément à l'égard d'un groupe de personnes ou d'un individu considéré comme étranger à son propre groupe (endogroupe).

La question migratoire soulevée par le FN, c'est notamment celle de la collusion de ce phénomène avec celui de l'insécurité, de l'islamisation, du terrorisme, de la submersion démographique, etc.

Maintenant, est-ce mal que de vouloir sécuriser la vie de nos concitoyens, de nous préserver de l'islam, de ne pas souhaiter une substitution de population ? Au passage : est-ce si ahurissant que cela qu'un État puisse expulser les étrangers irréguliers, gérer ses frontières et son intégrité territoriale ?