Bonjour à tous!
Yèshoua (Jésus) cet inconnu du monde chrétien !
Nous ne devons en aucun cas prendre pour argent comptant ce qui est écrit ici mais devons tout vérifier dans notre bible et voir si c’est réellement écrit ou pas, sinon nous sombrons dans du sectarisme qui consiste à suivre des raisonnements d’homme et non des raisonnements que Dieu veut nous faire comprendre.
La traduction utilisée est de J-N Darby.
Tout un monde se questionne.
Qui au cours de son existence ne se pose pas la question quant à savoir la réponse aux grandes interrogations brûlantes que tout homme ne cesse de se poser sur ses origines, son destin, le sens de sa vie, les problèmes du mal, de la mort et de ce qui la suit ? Que ce soit sur un plan individuel ou collectif, l’homme a besoin de savoir d’où il vient. Depuis la nuit des temps les religions ont en grande partie répondu à ce questionnement et combler ce vide de diverses manières. Ce qui a pu paraître suffisant à certaines époques ne l’est plus aujourd’hui car ces réponses reposent sur des croyances proches des superstitions et des mythologies qui rendent ces réponses incompréhensibles, fragiles à cause des scepticismes et des doutes profonds qu’elles engendrent. C’est ce qui fait que beaucoup de gens ne croient pas ou ne croient plus.
Dans les temps anciens pour donner de la puissance à ces croyances et aussi, il faut le dire, dans un but de domination, les hommes ont construit des monuments magnifiques, des temples, des pyramides, des cathédrales toutes plus belles les unes que les autres et les ont hérissées de flèches toujours plus hautes. C’est ainsi que l’humanité s’est imaginée des dieux, des saints pour satisfaire ce besoin afin de répondre à sa manière à ces questions brûlantes qui nous hantent tout au long de notre vie, même si nous ne voulons pas nous l’avouer.
Certains seraient tentés de penser que tout cela est d’une autre époque, que les temps ont changé et que l’homme a besoin de s’adapter, peut-être même oseraient-ils dire qu’il a besoin d’évoluer et que ces questions ne se posent plus ! Et bien non, à la différence du passé, même si les hommes ne construisent plus des monuments et des cathédrales sur terre comme par le passé, ils les construisent d’une autre manière dans l’espace comme par exemple la station Mir ou la station ISS encore en service à ce jour.
Les flèches qui hérissaient les cathédrales sont aujourd’hui les engins spatiaux que l’on envoie toujours plus haut, toujours plus loin dans l’espace, sur la Lune, sur Mars en plaçant des machines extraordinaires à la recherche de traces de vie sensées nous faire connaître nos origines et ce qui pourrait rendre la vie possible dans ces endroits. Curiosity, un des derniers engins envoyés sur la planète Mars est un exemple récent mais déjà avant cela des engins porteurs de messages ont été envoyés dans le cosmos et sur terre des stations de radio sont à l’écoute d’éventuels signaux intelligents qui nous viendraient de l’espace. Nous connaissons tous le télescope Hubble qui nous fait découvrir l’immensité de l’univers sans toutefois nous en faire voir les limites. Beaucoup de gens sont convaincus que la vie existe ailleurs dans l’univers et vu d’une certaine manière nous pouvons dire que le monde cherche de façon plus ou moins avouée à savoir si Dieu existe ou pas.
Nous passerons sous silence toutes les recherches effectuées sur terre dans un même but. Tous les chercheurs en quête de vérité à ce sujet sont en quelque sorte spirituels puisqu’ils recherchent la même chose que les croyants qui veulent connaître la chose qui nous concernent tous : d’où vient la vie ? Est-ce par le hasard ou est-ce le fruit d’un créateur ?
Poussé par la curiosité, aujourd’hui comme par le passé, l’homme engloutit des sommes d’argent colossales et toujours l’élite de ses savants pour ces recherches. Les projets futurs, qui sont plus que pharaoniques, donnent et confirment l’impression que l’homme est né pour chercher ces réponses que tout homme ne cesse de se poser à un moment ou à un autre de son existence. Dit autrement, nous sommes tous concernés par ce questionnement et quelques soient les réponses que nous apportons nous serons tous engloutis par la réalité des choses qu’est la vérité. Mais quelle vérité ?
Quoiqu’il arrive ce qui est sûr….
Lors de nos derniers instants de vie, tous nous nous trouverons face à cette vérité, c’est là une certitude à laquelle nous n’échapperons pas. Qu’adviendra-t-il de nous et dans quelle mesure? Il est certain que si Dieu n’existe pas tous ceux qui n’y croient pas ont tout à fait raison et peuvent se dire buvons, mangeons, vivons bien car demain nous mourrons et c’est ce que beaucoup font ou recherche ardemment. À l’inverse, si Dieu existe ceux qui pensent ainsi se trompent lourdement car leur choix ne sera pas sans les suites qui découlent de ces choix.
À ce questionnement chacun répond à sa manière. Certains, plus guidés par un fanatisme que par la raison, préfèreraient plutôt mourir que de se renier alors que d’autres de ces croyances que certains se donnent sont prêts eux aussi à en mourir, mais de rire ! Entre ces deux extrêmes se trouvent quantité de croyances, plusieurs milliers dit-on, alors que la vérité ne peut être qu’unique et son caractère universel être acceptable par tous.
Cette vérité que je recherche m’éloigne des religions que je considère toutes plus ou moins dans l’erreur. La seule vraie religion dans laquelle je me réfugie est celle qui consiste à dire que je ne sais pas, je cherche et c’est la sincérité et l’honnêteté de mes démarches, qui sont peut-être aussi les vôtres, qui donnent de la valeur à ma relation avec Dieu. Mais qui est Dieu pour que nous le recherchions ? Peut-on réellement croire qu'il existe vraiment? Seuls des réponses simples et pragmatiques peuvent nous donner une croyance forte et une bonne argumentation pour convaincre dans un sens comme dans l’autre.
Les sciences peuvent-elles nous aider ?
Soyons logiques. Pour que les sciences et les religions puissent se compléter, il est indispensable que les sciences que l’on va comparer soient vraies et non basées sur des théories elles-mêmes basées sur des hypothèses… Il en va de même pour les religions.
En ce qui nous concerne puisque notre étude sera basée sur la bible, il ne sera pas question de comparer des interprétations, cela nous mènerait dans un travail de recherche stérile. Pour qu’il y ait adéquation entre les sciences et la bible il faut bien sûr des sciences basées sur des faits et sur ce qui est réellement écrit dans ce livre qu’est la bible.
Il y a dans cet ouvrage, la bible, diverses formes d’écritures, des textes à prendre au sens littéral alors que d’autres sont des textes allégoriques qui doivent s’expliquer uniquement par la bible. Nous reconnaissons les textes allégoriques lorsqu’ils décrivent dans leur contenu des choses surnaturelles comme par exemple un serpent qui parle. Nous verrons que les allégories lorsqu’elles sont bien expliquées cachent des choses très précises. Sans chercher à donner dès à présent des explications nous verrons que tout ce qui nous entoure se résume à des principes touchant plus ou moins toutes les sciences généralement connues de tous ou du moins pouvant être comprises de tous.
Le monde scientifique se démène depuis de nombreuses décennies pour découvrir sur terre et aussi dans l’univers ne serait-ce que des traces de vie ou des traces de vie possible. Si nous savons lire entre les lignes, nous comprendrons qu’en cherchant à démontrer que la vie puisse exister un peu partout dans l’univers, que la science cherche à démontrer que la vie serait apparue seule au hasard de conditions favorables. Il en est de même pour l’origine de l’univers. Alors que le but non avoué de la science est de démontrer que Dieu n’existe pas, nous verrons que sans le savoir elle apporte beaucoup de preuves démontrant au contraire que la bible dit vrai et démontre ainsi que les sciences et la religion lorsqu’elles disent vrai s’harmonisent parfaitement et peuvent se conforter mutuellement sur certains points. Cependant nous ne voulons pas dire pour autant que la bible soit un livre scientifique mais simplement un livre qui ouvre réellement des portes à la science dont c’est le rôle de les expliquer.
Les religions peuvent-elles nous aider ?
Il suffit de se poser la question quant à savoir pourquoi telle ou telle personne est catholique, juive, musulmane, protestante, bouddhiste athée et voir même ‘’je m’en foutiste’’. La liste est fort longue et inutile de l’énumérer. La question qu’il faut se poser est de savoir si ces gens appartiennent à ces religions parce qu’ils détiennent la vérité ou tout simplement parce qu’ils sont nés dans un milieu entouré d’un père, d’une mère, de frères et de sœurs qui leur ont inculqué ces repères dès la naissance, voire même dès le sein de leur mère, puis par la suite parce qu’ils ont reçu des compléments d’éducation dans les écoles, les médias, par tout ce monde qui les entoure. Ce sont là des repères qui se forgent et s’ancrent de façon très puissante et presque indélébile dans nos esprits et pas simplement écrits mais gravés comme dans de la pierre taillée au ciseau et au maillet. C’est en cela que nous sommes tous divisés, prisonniers, asservis voir même esclaves de ces repères et cela depuis que le mensonge est entré dans le monde au jour d’Adam. Ce mensonge généralisé, nous le verrons s’appelle Babylone la Grande de laquelle il nous faut sortir afin de n’avoir pas de part à sa destruction promise. Nous pourrions reprendre l’étude de toutes les religions, toutes les philosophies et toutes les sciences pour éventuellement juger mais je crains fort qu’une vie ne suffise pas et combien en faudrait-il ? Nous finissons prisonniers de nos vérités devenues comme nous-mêmes. Changer ou découvrir une autre religion ne rythme pas forcément avec découvrir la vérité comme beaucoup de gens se l’imaginent.
Ce qui nous égare, nous divise les uns et les autres et nous éloigne de la vérité est un peu comme si chacun de nous recevait des lunettes de vue de diverses couleurs, des bleues, des jaunes, des rouges, des noires, des vertes, bref toute une panoplie de couleurs de teinte plus ou moins foncée. Equipés ainsi nous verrions tous différemment les choses qui nous entourent. Pour comprendre où je veux en venir il faut savoir que ces lunettes nous les aurions reçus tout à fait inconsciemment dès notre naissance et sur notre nez elles sont totalement invisibles. Bien sûr c’est une image pour faire une comparaison que je vous raconte. Imaginez-vous maintenant dans cette image et que vous vous trouviez avec une personne au milieu d’un paysage enneigé. Elle reconnaîtra facilement avec vous certains traits du paysage où elle se trouve mais votre interlocuteur aura bien du mal à admettre, que vous, qui avez des lunettes bleues lui disiez que la neige est bleue alors qu’elle aurait, elle, des lunettes vertes ! Et au nom de quoi l’accepterait-elle, elle et vice et versa bien-sûr. Ne faudrait-il pas que chacun enlève ses propres lunettes ?
Nous ne pouvons pas prétendre avoir le libre arbitre et être trompés par de faux enseignements qui nous maintiennent ainsi divisés et prisonniers en nous habitant. Nous comprenons la nécessité de retrouver ce libre arbitre et d’enlever ces lunettes qui faussent tous nos chemins et c’est pour cela aussi qu’il est indispensable d’être d’abord conscient de porter ces lunettes. Par la suite de même que nous devons nous construire un corps saint, nous devons aussi nous construire un esprit saint, c’est-à-dire un corps et un esprit habités par Dieu et sa parole. Pour cela nous devons extirper de nous-mêmes le mensonge, les fausses doctrines.
C’est cette même démarche à faire que nous enseigne Yèshoua (Jésus). Celui-ci a enseigné pour celui qui veut marcher à sa suite qu’il doit renier son père, sa mère, ses frères et ses sœurs. Cela paraît insupportable bien-sûr mais il ne s’agit pas d’abandonner sa famille en coupant tous les liens qui nous unissent à elle car un commandement incontournable ordonne d’honorer son père et sa mère. Il s’agit en réalité de renoncer à certains enseignements erronés reçus d’eux et qu’eux-mêmes ont reçus et de refaire un parcours vers Dieu sur une page blanche, de redevenir comme un enfant, d’avoir un esprit simple, c’est-à-dire de se libérer du mensonge. Dans une autre circonstance Yèshoua redira la même chose avec cependant des mots différents disant que pour aller à sa suite nous devons nous renier nous-mêmes. Plus facile à dire qu’à faire car notre plus grand ennemi c’est nous-même et cela favorise grandement notre aveuglement.
Sans cette démarche il est impossible d’aller à la suite de Yèshoua sinon il ne nous aurait pas parlé de cette manière. Après s’être renié, la seule façon d’aller sur ses traces et d’y marcher est d’apprendre à connaître Dieu et les liens qui l’unissent à son fils. Dans le cas contraire ce sont les faux enseignements qui orienteront notre compréhension de la bible. Il est certain qu’un juif comprendra la bible à sa manière et de même pour un catholique, un protestant, un musulman ou même un athée…. Nous serions dirigés par les réponses toutes faites déjà présentes dans nos esprits. C’est inévitable et c’est pourquoi il est si important de nous défaire de nos anciens enseignements quels qu’ils soient ou être à même de les occulter lorsque nous raisonnons. Si l’on n’accomplit pas cette démarche tout notre travail est vain. N’oublions pas que notre plus grand ennemi, nous venons de le dire, c’est nous-même. Cela demande une attention de tous les instants. Faisons-nous ou avons-nous sérieusement fait cette démarche ?
En réalité cette démarche s’avèrera un peu plus complexe. En effet ce problème ne peut être résolu que par des inverses, expliquons-nous. Pour que la mort soit détruite, il faudra d’abord la stopper puis lui faire rendre tous ses morts qu’elle entraîne dans son sillon et ainsi lui enlever toute forme de victoire. Puisque l’aiguillon de la mort c’est le péché, il faut aussi le détruire par son inverse qui est l’incorruptibilité qu’il nous faudra conquérir et acquérir. De la même manière pour vraiment effacer toute trace du mensonge en nous il faudra par la vérité, son inverse, l’effacer jusqu’à l’oubli. Ne soyons pas étonnés de cela, ce sont les écritures qui nous le disent de façon formelle comme dans 1Corinthiens 15 : 25 et 26 qui dit : «Car il faut qu’il règne jusqu’à ce qu’il ait mis tous les ennemis sous ses pieds : le dernier ennemi qui sera aboli, c’est la mort.» et encore dans 1 Corinthiens 15 : 53 à 56 qui dit : «Car il faut que ce corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce mortel revête l’immortalité. Or quand ce corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite: «La mort a été engloutie en victoire» (Ésaïe 25:8). «Où est, ô mort, ton aiguillon ? Où est, ô mort, ta victoire ?» (Osée 13:14). Or l’aiguillon de la mort, c’est le péché ; et la puissance du péché, c’est la loi. » La puissance du péché c’est la loi car la loi condamne le péché et c’est ce qui semble donner au péché toute une puissance qui n’est pas sienne. Ce n’est pas le péché qui condamne mais la justice.
Pourquoi cette démarche ?
Certainement, vous qui me lisez, êtes d’accord sur ces principes, cela paraît tellement évident. C’est facile à dire et à entendre voir même agréable mais lorsque l’on se retrouve au pied du mur, c’est-à-dire lorsque nous allons devoir mettre les choses en pratique, nous positionner et accepter les choses comme elles sont réellement écrites, c’est une toute autre affaire car on se heurte à tout ce monde de pensée acquis au fil des ans qui nous entoure et nous fait barrage. Ce dicton bien connu qui nous dit que c’est au pied du mur que l’on voit le maçon est cette situation où nous sommes tous placés et c’est un rude combat qui nous attend.
Où trouver les réponses ?
Il y a ce livre qui est le plus publié, le plus traduit, ce livre que tout homme peut facilement se procurer dans sa propre langue, et cela, quel que soit l’endroit où il habite sur cette planète. Dans les temps anciens ce livre coûtait une véritable fortune et il était pratiquement impossible de se le procurer alors qu’aujourd’hui il se trouve à la portée de tous. C’est le premier livre à avoir été imprimé et aujourd’hui nous pouvons le lire facilement sur des supports multimédias dans toutes nos langues. Bien-sûr vous l’avez compris il s’agit de la Sainte Bible. Ces multimédias très pratiques nous permettent de choisir un verset et de le voir s’afficher dans un grand nombre de traductions pour nous forger une idée précise et solide de ce qui est écrit. Pour effectuer notre travail de recherche nous pouvons également à l’aide d’un mot faire des recherches et trouver tous les passages où il se trouve. Nous disposons à notre époque d’outils exceptionnels qui nous donnent également la possibilité de communiquer les uns les autres d’un bout à l’autre de la planète et de s’entraider spirituellement. C’est ainsi que lorsque selon Daniel certains comprendront, que la connaissance ira grandissante, que la vérité éclatera qu’elle se répandra comme un éclair.
Nous ne devrions pas dire dans un premier temps que la bible est la parole de Dieu, car il s’agit là d’une conclusion mais par contre nous pouvons dire avec une certitude absolue que la bible est un livre qui prétend être la parole de Dieu avec tout ce que cela oblige. Nous disons bien que la bible prétend être la parole de Dieu car elle le répète à de nombreuses reprises et dans cette étude nous ferons comme si elle l’était vraiment. Ce ne sera qu’à la fin ou au cours de notre étude si nous sommes bien avancés que nous pourrons accepter que ce livre soit vraiment la parole de Dieu et que l’accueillir comme guide véritable est vie pour nous.
Ainsi nous découvrirons les choses qu’elle dit, des choses qui nous sont la plupart du temps cachées par les fausses interprétations. Abordons ce livre comme un archéologue aborderait un véritable monument littéraire sans pourtant y croire d’entrée et peu importe ce qu’il dit, le but étant uniquement de connaître son contenu.
Ne crayons pas de mettre Dieu à l’épreuve !
Un passage des écritures nous dit, et c’est Dieu qui parle nous demandant de le mettre à l’épreuve et de voir s’il ne nous ouvre pas les écluses des cieux. Une écluse est une construction faite pour retenir l’eau pour irriguer des cultures par exemple. Il ne s’agit pas ici d’eau comme H²O, mais de l’eau dont Yèshoua parlait à la Samaritaine au Puit de Jacob, de cette eau qui donne la vie éternelle c’est-à-dire de la parole de Dieu car elle possède en elle la vie. Ceci est confirmé par le passage de Jean au chapitre 17 et au verset 3 qui nous dit : «Et c’est ici la vie éternelle, qu’ils te connaissent seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Yèshoua».
Prenons Dieu au mot et ne craignons pas d’agir ainsi ! Lorsque Yèshoua s’adressait à la Samaritaine, il ne lui parlait pas d’un leurre mais d’une réalité certaine. Il ne faut pas considérer cette rencontre que comme une belle histoire. De cette affirmation nous devrions logiquement et dès à présent acquérir la vie éternelle si nous nous abreuvions vraiment de cette eau. Si tous nous mourrons c’est parce que nous ne nous abreuvons pas vraiment de cette eau promise qui est la parfaite et la pleine connaissance de la parole de Dieu. Pour y parvenir nous devons mettre Dieu à l’épreuve et sans nous priver de cela puisque c’est lui-même qui nous le demande. Pas question évidemment de mettre Dieu à l’épreuve avec nos interprétations, nos hypothèses, nos illusions qui ne sont d’aucune utilité mais avec des faits, des écrits bien réels qui ne soient pas discutables même par Dieu car il lui est impossible de mentir et voyons ce qu’il en est réellement sans préjuger de la suite.
Soyons certains que si à ce jour nous avions atteint la pleine sagesse, nous serions incorruptibles et donc immortels. Puisque de toute évidence ce n’est pas le cas, cela doit malgré tout demeurer l’objectif à atteindre que nous montrent les saintes écritures dans la Lettre aux Romains 2 : 6 et 7 qui dit : «….et de la révélation du juste jugement de Dieu, qui rendra à chacun selon ses œuvres ; à ceux qui, en persévérant dans les bonnes œuvres, cherchent la gloire et l’honneur et l’incorruptibilité, la vie éternelle… » Il s’agit bien sûr de gloire et d’honneur en Dieu ! Regardons aussi le Livre des Proverbes au chapitre 4 et les versets 20 à 22 qui disent : «Mon fils, sois attentif à mes paroles, incline ton oreille à mes discours. Qu’ils ne s’éloignent point de tes yeux ; garde-les au dedans de ton cœur ; car ils sont la vie de ceux qui les trouvent, et la santé de toute leur chair.» Pour que cette connaissance soit vie et santé de notre chair, cela ne sera pleinement possible que lorsque nous découvrirons la pleine connaissance de la parole que Dieu veut que nous apprenions et c’est possible dès à présent puisqu’il dit : «…qui me cherche me trouve». Soyons sûr que ce temps viendra pour nous dès que nous serons capables de cette démarche.
C’est la raison pour laquelle Dieu a dit : «….faisons l’homme à notre image». De ces paroles tirées de la genèse nous remarquons que le verbe faire est conjugué à la deuxième personne du pluriel ce qui montre que Dieu n’est pas seul pour faire l’homme à son image. Effectivement il est impossible à Dieu de créer un homme incorruptible et à son image. Expliquons-nous. Si Dieu avait créé un homme parfait, incorruptible et donc incapable de toute faute, il serait comme un robot formaté, programmé or un robot ne peut pas être à l’image de Dieu qui est amour car il ne disposerait d’aucune liberté. L’homme doit être libre d’aimer Dieu et de lui obéir ou pas, ce doit être son choix et c’est ce que Dieu veut. Ainsi pour être à l’image de Dieu, il devra atteindre la sagesse et l’incorruptibilité en grandissant en connaissance et en sagesse collaborant ainsi volontairement avec Dieu pour se faire à son image. Dieu a bien dit : «faisons l’homme à notre image» puis ensuite il a créé l’homme et la femme. C’est après avoir créé l’homme et la femme que Dieu façonne à l’aide de sa parole l’homme à son image.
L’amour est totalement indissociable de la liberté, l’amour sans la liberté n’est plus de l’amour mais autre chose. Pour faire un homme à son image, c’est à Dieu de susciter de toutes les manières l’adhésion de l’homme. Pour cela il nous offre sa parole pour que nous apprenions à le connaître et ainsi à l’aimer de notre propre chef afin qu’avec Dieu et notre complicité nous nous transformions en êtres incorruptibles et donc immortels après avoir acquis sagesse et intelligence qui nous procureront la paix de l’esprit et donc la vie éternelle qui en découle. C’est en cela que Dieu dit ce mot «faisons» et en cela que sera la victoire de Dieu sur la mort et le péché à la fin des temps, à la fin des mille ans dont nous ne manquerons pas de parler. Il en était ainsi pour Adam qui dès l’origine a été le réceptacle de la parole de Dieu dans un même but et de ce fait était la parole de Dieu. Adam est le premier être de toute éternité à qui Dieu adresse la parole et même le premier mot sorti de sa bouche ! Ce langage tenu ici est certainement surprenant pour beaucoup mais pour ceux-là soyez sûrs que vous pouvez et allez comprendre.
Nous savons qu’Adam a fauté avant d’atteindre l’incorruptibilité et que certains privilèges lui ont été retirés. Nous connaissons les conséquences qui ont mené par la suite les hommes qui ignoraient en ce temps-là d’où vient le vent et où il va, ceci pour montrer leur ignorance, à avoir besoin d’imaginer des croyances pour combler ce désir de savoir et cela vraisemblablement aussi pour s’apaiser, nourrir une espérance. Précisons qu’avant le commencement de la création de Dieu il n’est fait mention selon la Torah d’aucune autre création qu’Adam. Nous imaginons notre étonnement mais ici nous nous basons uniquement sur ce qui est écrit, c’est la règle.
Le livre de Daniel au chapitre 12 : 9 à 10 dit : «Et moi, j’entendis, mais je ne compris pas. Et je dis : Mon seigneur, quelle sera l’issue de ces choses ? Et il dit : Va, Daniel ; car ces paroles sont cachées et scellées jusqu’au temps de la fin. Plusieurs seront purifiés et blanchis et affinés ; et les méchants agiront méchamment, et aucun des méchants ne comprendra ; mais les sages comprendront.» Ces passages nous montrent que ce n’est qu’au temps de la fin que nous comprendrons le dénouement de la parole de Dieu et que la connaissance ira en augmentant et que nous évoluerons vers l’intelligence et la sagesse et donc vers l’incorruptibilité qui ouvre les portes de la vie éternelle. Cela signifie qu’avant cette période l’homme n’a pas tout compris, que nous sommes tous dans une certaine ignorance.
Précisons que dans les paroles de Daniel il n’est pas question que Dieu chuchote à l’oreille de l’homme les choses cachées, il est bien dit que certains comprendront. Ce sont des hommes qui comprendront ce qui est caché, tous attirés et assoiffés de vérité et par la bonté de Dieu le miséricordieux. Cela signifie qu’un travail honnête et sérieux sera effectué aux temps de la fin. Beaucoup s’accordent à dire que nous approchons de ce temps.
Avertissements.
Les déclarations qui vont suivre dans ce fascicule sont faciles à comprendre, elles coulent de source mais ne sont pas simples à accepter pour autant. Lorsque je les ai découvertes j'ai moi-même eu beaucoup de mal à me rendre à l'évidence tant l'étonnement était grand. Elles m'ont remis en question sur bien des points que je croyais dur comme fer..... Ne jugez pas trop vite ce qui va être dit, prenez le temps de lire et reprenez-le encore et vous aussi cherchez et cherchez encore tout en vérifiant dans la bible. Ici nous utilisons la traduction de J-N Darby, une traduction reconnue par beaucoup pour être très proche de l’original.
Ce ne sont pas des interprétations personnelles et inutiles que je vais décrire mais des découvertes de ce qui est bel et bien écrit. Je me contente de les montrer du doigt et de faire ressortir l’analyse logique de ce qui est montré. Cela pourra choquer au début, voir scandaliser mais quelle joie nous attend avec ces sentiments de liberté et de découvrir une grandeur de Dieu et de son fils jusque-là inconnue ! Bien souvent c’est un Dieu rabaissé qui nous est présenté, un Dieu où tout se termine par un combat et une destruction physique entre lui qui est d’une grandeur insondable et d’une puissance infinie et nous qui ne sommes à ses yeux pas plus qu’une couche de poussière sur une balance. Esaïe 40 :15 «Voici, les nations sont réputées comme une goutte d’un seau, et comme la poussière d’une balance ; voici, il enlève les îles comme un atome. » N’ayons pas peur des mots ; vu ce rapport de force où est la victoire de Dieu ?
Ce n’est qu’à la fin de notre étude voir au cours de notre étude si nous sommes bien avancés que nous pourrons nous dire que ce livre est vraiment la parole de Dieu et devrons le considérer comme guide véritable. Il est extrêmement important de ne pas prendre pour argent comptant ce que je vais dire, nous ne devons en aucun cas suivre les raisonnements d’un homme ou d’un système, c’est le fondement du sectarisme, je l’ai déjà dit. Chaque chose doit être reprise par nous-mêmes à la lumière des écritures et généralement c’est écrit ou ça ne l’est pas. C’est aussi simple que cela !
Salutations.
Le Presbytre.
Yéshoua (Jésus) cet inconnu du monde chrétien!
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Yéshoua (Jésus) cet inconnu du monde chrétien!
Ecrit le 08 mai17, 01:53-
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