Des recits de Mahomet sont profondements racistes et haineux

[morpheus777]

Le messager d’Allah a dit : Un groupe des Banû Israël était perdu. Je ne sais pas ce qui leur est arrivé, mais je pense qu’ils se sont transformés en rats. ”

(récit d’Abu Huraira, Muslim XLII 7135 et Bukhari LIV 524)

[yacoub]

Le messager d’Allah a dit : Un groupe des Banû Israël était perdu. Je ne sais pas ce qui leur est arrivé, mais je pense qu’ils se sont transformés en rats. ”

(récit d’Abu Huraira, Muslim XLII 7135 et Bukhari LIV 524)

Les Grands Savants de l'islam sont partagés entre trois options:
-les rats
-les singes
-les cochons

[Gorgonzola]

C'est étonnant comme il est frappant (et désolant) de constater à chaque fois le mépris et la rancoeur dont font preuve depuis les origines les adeptes de l'islam.
Toujours prêt à montrer du doigt et à moquer (dans le meilleur des cas) comme l'avait fait Ismaël.

"les autres sont des cochons, des singes, des rats, des chiens...".
cf l'islam.

Qu'est-ce qui motive à la base autant de rejet et de rancoeur. Quel en est la source avant même le coran. Pourquoi rejettent-ils l'amour et l'autre ? Pourquoi ont-ils adopté la haine l'orgueil et le repli sur soi comme livre de chevet ? Le coran est-il là pour épanouir et exacerber tous les mauvais penchants de la nature humaine ? L'islam est-il là pour montrer au monde entier ce qu'est l'éloignement de l'homme et de son Créateur ? Pourquoi n'adoptent t'ils pas Jésus celui qui rassemble et prennent ils Mahomet celui qui divise, qui part au combat et crée une hiérarchie entre les hommes ?
Quelle est la source de cette différence profonde qui divise autant.

[spin]

Le Coran exhale de toute façon, en des dizaines d'endroits, une haine de ceux qui ne croient pas tout ce qu'il prétend. C'est tellement frénétique, hallucinant, que ça ne peut même pas venir d'un homme sain d'esprit. http://pagesperso-orange.fr/daruc/divers/coranf.htm

La foi est un don de Dieu, mais le doute aussi. Les deux sont opposés mais aussi complémentaires, comme le masculin et le féminin. Le Dieu du Coran ne peut être qu'une invention de psychopathe.

[prisca]

Parce que déjà les Musulmans ont créé un apocryphe celui de Barnabé et personne n'y voit que du feu, tous les hommes tombent dans leur panneau à les croire sur parole lorsqu'il est rapporté que Mohamed aurait dit des Juifs qu'ils sont des rats, alors que les Musulmans haineux des Juifs ont simplement encore une fois fait parler Mohamed pour trouver eux le confort d'insulter à souhait les Juifs qu'ils détestent, tout simplement.

Jamais il ne vous vient à l'idée que la haine et le mensonge font partie de ce monde ?


Le Coran n'exhale rien d'autre que de dire aux Musulmans qu'ils sont de vils personnages ayant un besoin réel de se repentir.

Il ne faut pas disculper les Musulmans en disant d'eux qu'ils sont les victimes de leurs lectures c'est grotesque, surtout que le Coran n'intime en rien la criminalité, seuls les "tordus de l'esprit" trouvent matière à être des criminels en s'appropriant les versets pour démontrer qu'ils seraient dans leur bon droit.

Bien entendu Dieu leur a tendu ce piège là, ils y tombent à rangs formés.


Puisque les Musulmans utilisent la ruse,

15. "Ils se servent d'une ruse, 16. et Moi aussi Je me sers de Mon plan. "

[spin]

Parce que déjà les Musulmans ont créé un apocryphe celui de Barnabé et personne n'y voit que du feu, tous les hommes tombent dans leur panneau à les croire sur parole lorsqu'il est rapporté que Mohamed aurait dit des Juifs qu'ils sont des rats,

Le Coran leur dit par exemple : "Soyez des singes abjects" (2:65). Cela vise formellement les juifs qui ont transgressé le Sabbat. Mais Jésus, et bien avant lui un leader pharisien connu (la réhabilitation des pharisiens me tient à coeur), considéraient que "le Sabbat est fait pour l'Homme et non l'Homme pour le Sabbat".

[Gorgonzola]

Le Coran n'exhale rien d'autre que de dire aux Musulmans qu'ils sont de vils personnages ayant un besoin réel de se repentir.

Il ne faut pas disculper les Musulmans en disant d'eux qu'ils sont les victimes de leurs lectures c'est grotesque, surtout que le Coran n'intime en rien la criminalité, seuls les "tordus de l'esprit" trouvent matière à être des criminels en s'appropriant les versets pour démontrer qu'ils seraient dans leur bon droit.

La question se pose : qu'est-ce qui est la source chez eux de cette acceptation du coran comme livre divin alors qu'il ne délivre que rejet, haine, supériorité, guerre..
Qu'il soit de nature humaine ou divine, pourquoi les musulmans l'adoptent ils comme référence suprême.. qu'est-ce qui est viscéralement ancré chez eux pour avoir besoin de croire dans un livre comme le coran et les hadiths qui les placent au-dessus des autres jusqu'à refaire l'histoire pour se faire passer pour des héros ou des victimes.

Comment analyser ça rapporté à l'échelle d'une vie.. un enfant isolé qui n'a jamais voulu se mêler ou s'assimiler ? Pourquoi cet acharnement à se sentir indigne de l'amour de Dieu.. Quel en est la source..

[prisca]

Les Musulmans ne s'expliquent le Coran que d'une seule façon. Pour eux, le Coran décrit des guerres du temps de Mohamed et il n'y a qu'un seul reproche à leur encontre, leur adoration d'idoles à cette époque là. Tous les reproches, les musulmans les imputent à leurs ancêtres. Toutefois, alors que beaucoup d'exemples sont tirés de la Bible pour leur enseigner certaines choses, les musulmans utilisent ces renvois à la Bible pour dire du mal des Juifs et des Chrétiens.

Alors d'un coté les musulmans ne veulent voir qu'une chose, le côté uniquement historique du Coran, mais lorsque cela les arrange, ils projettent le Coran à toutes les époques pour se donner l'occasion de hair et combattre Juifs et Chrétiens jusqu'à ce jour où ils ne reculent pas devant l'action si abjecte qu'ils profèrent à tuer maintenant.

Après le Coran a un but éducatif pour eux, dans leur vie, la société, la famille etc .....

Et tout tourne autour de l'adoration d'Allah.

Ils ne se demandent pas plus que cela pourquoi eux ont reçu un livre.

Ils ne se posent pas la question que d'avoir un livre de contes narrant des faits historiques cela ne rime à rien.

Ils ne se disent pas que ce sont des histoires inabouties parce que où est l'enseignement divin dans des guerres mohamédiennes ?

Mais en somme ils détournent l'orientation des versets pour éviter de les faire parler, et préfèrent noyer le poisson autour d'histoires pré hégire ou post hégire.

Mais cela montre bien à quel point ils ont besoin des reproches de Dieu, preuve en est, ils ne renoncent pas à mentir, et plus encore, aujourd'hui ils font la pire chose qui soit, ils osent dire qu'ils agissent au Nom de Dieu en commettant des crimes.

Alors que le Coran est un rappel pour eux car ils ont tourné le dos à Jésus, on se demande pourquoi ils ont ce caractère si déterminé à vouloir jouer de corruption et violence, il suffit de lire deutéronome où ils sont décrits avec précision, mais qui à cette époque là peut donner des leçons à d'autres, sauf que les arabes sont un peuple isolé et habitué à une vie de nomades la plupart du temps, un peuple qui ne connaît que la débrouillardise et ne s'organise pas de la meilleure des façons, alors que l'occident lui s'installe avec lui aussi des travers que nous connaissons à travers par exemple les romains qui sacrifient des hommes et des femmes à des jeux d'arène, on peut dire que tous plus ou moins à cette époque là sont terribles. Le peuple Juif lui est éduqué pendant 40 ans il est différent mais Moise craint pour ce peuple alors qu'il est prêt à entrer dans l'arène de la vie où justement les arabes vont les conduire à être de nouveau terribles, Jésus vient alors pour donner des enseignements, ne nous étonnons pas des gens, tous les gens sont terribles, sauf que les arabes pèsent sur la balance par leur présence massive dans le monde, de nombreuses nations qui vivent de criminalité pendant longtemps, et bien entendu rien ne les engage à entrer en chrétienté, Dieu a instauré l'Islam avec des contraintes de prières drastiques pour les contraindre à baisser l'échine.

[yacoub]

C'est étonnant comme il est frappant (et désolant) de constater à chaque fois le mépris et la rancoeur dont font preuve depuis les origines les adeptes de l'islam.
Toujours prêt à montrer du doigt et à moquer (dans le meilleur des cas) comme l'avait fait Ismaël.

"les autres sont des cochons, des singes, des rats, des chiens...".
cf l'islam.

Qu'est-ce qui motive à la base autant de rejet et de rancoeur. Quel en est la source avant même le coran. Pourquoi rejettent-ils l'amour et l'autre ? Pourquoi ont-ils adopté la haine l'orgueil et le repli sur soi comme livre de chevet ? Le coran est-il là pour épanouir et exacerber tous les mauvais penchants de la nature humaine ? L'islam est-il là pour montrer au monde entier ce qu'est l'éloignement de l'homme et de son Créateur ? Pourquoi n'adoptent t'ils pas Jésus celui qui rassemble et prennent ils Mahomet celui qui divise, qui part au combat et crée une hiérarchie entre les hommes ?
Quelle est la source de cette différence profonde qui divise autant.

PBSL, à la Mecque, en 610, au départ et pendant 10 ans à essayé d'imiter le philosophe Jésus de Nazareth, il n'a eu que même pas une centaine de disciple et on a voulu l'assassine
Aussi PBSL s'est enfui à Yathrib devenue Médine où il a changé de méthode
Il disait aslam taslam ce qui signifie convertis toi à l'islam tu auras la vie sauve.
Ceux qui se convertissaient à l'islam et les rebelles étaient égorgés de façon halal
C'est comme ça que toute l'Arabie a été islamisé puis de proche en proche tous les pays voisins comme le Yémen l’Égypte...etc

[Gorgonzola]

PBSL, à la Mecque, en 610, au départ et pendant 10 ans à essayé d'imiter le philosophe Jésus de Nazareth, il n'a eu que même pas une centaine de disciple et on a voulu l'assassine
Aussi PBSL s'est enfui à Yathrib devenue Médine où il a changé de méthode
Il disait aslam taslam ce qui signifie convertis toi à l'islam tu auras la vie sauve.
Ceux qui se convertissaient à l'islam et les rebelles étaient égorgés de façon halal
C'est comme ça que toute l'Arabie a été islamisé puis de proche en proche tous les pays voisins comme le Yémen l’Égypte...etc

Ca c'est l'exemple qu'ils ont trouvé comme leur exemple.
Mais ma question va un peu plus loin : aujourd'hui l'islam est la seule communauté qui prend Dieu en otage pour faire la guerre. Ils se l'approprient et c'est une excuse. Quelles sont en fait les vraies raisons qui les poussent à vouloir dominer sur les autres hommes alors que le monde entier ne demande qu'à en finir avec toutes ces guerres.
Dieu est l'excuse. Le coran est la raison. Mahomet en est le guide.
Pourquoi tout ce fatras s'emboite parfaitement dans leur mentalité et leur manière de voir les choses..

Je pose la question tabou de la différence..

En définitive que veulent-ils et pourquoi.

Mais en somme ils détournent l'orientation des versets pour éviter de les faire parler, et préfèrent noyer le poisson autour d'histoires pré hégire ou post hégire.

Mais cela montre bien à quel point ils ont besoin des reproches de Dieu, preuve en est, ils ne renoncent pas à mentir, et plus encore, aujourd'hui ils font la pire chose qui soit, ils osent dire qu'ils agissent au Nom de Dieu en commettant des crimes.

Alors que le Coran est un rappel pour eux car ils ont tourné le dos à Jésus, on se demande pourquoi ils ont ce caractère si déterminé à vouloir jouer de corruption et violence, il suffit de lire deutéronome où ils sont décrits avec précision, mais qui à cette époque là peut donner des leçons à d'autres, sauf que les arabes sont un peuple isolé et habitué à une vie de nomades la plupart du temps,

Pourquoi ont-ils besoin des reproches de Dieu.. Pourquoi veulent-ils rester figé à Abraham..

Il y a quelque chose de biblique dans tout ça. Lié à leur psychologie. Cette paternité à Abraham qu'ils revendiquent tant, cette prétendue supériorité, cette manie de vouloir être les plus aimés et le favori du père Abraham, cette manie de projeter sur les autres tout ce qui les concernent.. , cette volonté à ne pas vouloir entendre parler d'amour et à se le refuser.. Lui et son pardon..

Le coran n'est pas la cause du malheur des musulmans. C'est leur refus de l'amour et le coran en est la conséquence.

[spin]

Le coran n'est pas la cause du malheur des musulmans.

Je pense que si, ne serait-ce qu'avec son constant matraquage (des centaines de versets) du doute. Ali Sina, ex-musulman, a cru pouvoir écrire, après une série de citations coraniques éloquentes : "Tout cela attend ceux qui doutent de Mahomet. Si quelqu’un croit en ces sornettes, même légèrement, il est esclave pour la vie, bloqué par la peur, et il ne peut plus douter.
Shakila est une dame que j’ai aidée à quitter l’Islam. Elle m’a parlé de sa grand-mère pakistanaise qui se lamentait de ce que, alors qu’elle avait lu le Coran toute sa vie, elle n’avait jamais lu sa traduction. Et à présent, à 82 ans, ses yeux ne le lui permettaient plus. Espérant des ajr (récompenses), sa belle-fille se proposa pour le lui lire. Quand cette vieille dame comprit ce que dit le Coran, elle fut submergée par la peur. Elle se souvenait des prières qu’elle avait manquées, du jeûne qu’elle avait négligé, et même qu’elle avait pu désobéir à son mari. Elle se convainquit qu’elle allait devoir passer du temps en enfer avant de gagner le paradis. Elle vécut les quatre dernières années de sa vie dans la terreur de ce qui l’attendait, croyait-elle. Bien que grabataire elle ne manqua plus une prière, qu’elle accomplissait avec difficulté".

Si la foi est un don de Dieu, son opposé et complémentaire le doute l'est tout autant. La foi sert à faire le bien, le doute sert à éviter de faire le mal. La foi est le moteur, le doute est le frein. La foi sans le doute est le fanatisme, le doute sans la foi le nihilisme. Et donc, déjà là, un texte qui privilégie à ce point la foi aveugle et diabolise à ce point le doute, il n'est pas de Dieu. Du Diable, peut-être.

[yacoub]

C'est étonnant comme il est frappant (et désolant) de constater à chaque fois le mépris et la rancoeur dont font preuve depuis les origines les adeptes de l'islam.
Toujours prêt à montrer du doigt et à moquer (dans le meilleur des cas) comme l'avait fait Ismaël.

"les autres sont des cochons, des singes, des rats, des chiens...".
cf l'islam.

Qu'est-ce qui motive à la base autant de rejet et de rancoeur. Quel en est la source avant même le coran. Pourquoi rejettent-ils l'amour et l'autre ? Pourquoi ont-ils adopté la haine l'orgueil et le repli sur soi comme livre de chevet ? Le coran est-il là pour épanouir et exacerber tous les mauvais penchants de la nature humaine ? L'islam est-il là pour montrer au monde entier ce qu'est l'éloignement de l'homme et de son Créateur ? Pourquoi n'adoptent t'ils pas Jésus celui qui rassemble et prennent ils Mahomet celui qui divise, qui part au combat et crée une hiérarchie entre les hommes ?
Quelle est la source de cette différence profonde qui divise autant.

PBSL, à la Mecque, en 610, au départ et pendant 10 ans à essayé d'imiter le philosophe Jésus de Nazareth, il n'a eu même pas une centaine de disciples et on a voulu l'assassiner
Aussi PBSL s'est enfui à Yathrib devenue Médine où il a changé de méthode
Il disait aslam taslam ce qui signifie:
convertis toi à l'islam tu auras la vie sauve.

Ceux qui se convertissaient à l'islam avaient la vie sauve et les rebelles étaient égorgés de façon halal

C'est comme ça que toute l'Arabie a été islamisée puis de proche en proche tous les pays voisins comme le Yémen l’Égypte...etc

La Douloureuse Pénétration Islamique atteint de nos jours la France et la Belgique qui changeront de nom pour être
le Frankistan, le Belgistan.

[Gorgonzola]

Ce que je veux dire dans ce que j'ai écrit (Le coran n'est pas la cause du malheur des musulmans. C'est leur refus de l'amour et le coran en est la conséquence), c'est qu'ils épousent le coran. C'est une sorte de consentement mutuel. Le coran les a demandé en mariage, ils ont accepté. Ils n'ont pas reconnu le vrai amour mais le coran n'est pas responsable de ça. Le coran est un livre, ils s'y sont retrouvé dedans. La peur et la menace du châtiment éternel est une cause de cet emprisonnement, mais la plupart y ont trouvé leur foi.

D'accord mais où est la raison là-dedans ? Ne sont-ils pas doués de raison ? La peur et la menace n'explique pas tout. C'est surtout l'orgueil d'être maintenant présenté au monde entier comme "les vrais héritiers de Dieu". La peur a laissé la place à la vanité, l'arrogance, l'orgueil, le pouvoir.. l'islam n'est plus (n'a jamais été) une religion. Elle se révèle comme elle s'est toujours révélée : une puissance au service du pouvoir qui ne pense qu'à prendre sa place. Rien de divin là-dedans. C'est une soumission aveugle mais avec le souhait dissimulé de prendre la place de privilégié que leur accorde Allah (la projection de leur orgueil).
Ils ne se rendent même pas compte que c'est anti-dieu, eux qui acquiescent que le royaume terrestre est abandonné à Satan (pour un temps) dont ils cherchent à avoir la place d'honneur !
Ceux qui recherchent le pouvoir en ces derniers temps ne sont pas proches de Dieu.

[yacoub]

Si tu étais née en pays d'islam avec du coran 24 heures sur 24 que ce soit à la radio ou à la télé, ce sera difficile pour toi de te libérer de l'islam sachant en plus que celui qui quitte l'islam, tout bon musulman a le droit de l'égorger de façon halal

Même en France les apostats de l'islam vivent plus ou moins clandestinement et dans la peur des fous de PBSL.

Les barbus le rasent
Par Judith PERRIGNON — 1 mars 2006 à 20:30

Les barbus le rasent

Par les temps qui courent, il serait presque soulagé. Qu'enfin ça pète, que la figure du Prophète dessine le visage intolérant de l'islam, que les Arabes et les juifs se haïssent à découvert, que la République française n'ait d'autres choix que de reconnaître son échec. Ainsi, il se sent moins seul, avec son histoire et ses désillusions. La preuve, après enquête et recoupements, le voilà dans le journal.

Messaoud Bouras a apostasié l'islam, le Prophète, et le temps passant, tous ses adeptes. Il n'a pas vu ses enfants depuis deux ans. Ils vivent à Roubaix, là où il naquit, grandit et milita. Il n'y met plus les pieds. «Mon divorce a pour origine l'intolérance religieuse.» Il est au chômage. Il a les joues creuses, les yeux brillants chapeautés d'épais sourcils, des mots gonflés par la douleur, parfois tentés par la provocation. Il respire les combats perdus. Et s'il écrit un jour son histoire, il l'appellera : les Musulmans m'ont tué.

Chapitre I. Messaoud naît à Roubaix, de parents kabyles venus en France au début des années 60. Il est l'aîné de neuf enfants. Le père est ouvrier teinturier du textile, chez Caullier et Delaoutre, musulman classique qui fait la prière et le ramadan, la mère est pieuse et (alors) sans foulard. La famille, installée dans le quartier populaire de l'Alma, prêche le sérieux et le respect à ses enfants. Messaoud est fragile, il fait des bronchites à répétition, il est régulièrement hospitalisé. A 6 ans, il est donc mis dans une école spécialisée, pas à l'Alma. Le jour, il grandit loin du quartier, ici comme ailleurs chaudron communautaire. Il y revient, toujours malingre, à l'âge ordinaire des premiers prurits virils, collège Anne-Franck. «J'étais chétif, je n'appartenais à aucune bande, je n'avais pas de grand frère, je me faisais racketter, frapper, on me disait : "Tu parles comme un Français." Tout me prédisposait à une attitude de recul vis-à-vis du communautarisme.» Le prof de français a repéré la graine d'affranchi, il l'encourage à lire.

Chapitre II. Tandis que le textile s'effondre, met au chômage technique le père et au chômage tout court oncles et cousins, Messaoud passe brillamment son bac au lycée Maxence-Van-der-Meer, et participe à la marche des beurs. Il s'éveille politiquement, lance une association de jeunes issus de l'immigration, fait de l'animation de quartier, affronte son père pour protéger les frangines, suit les cours d'économie à la fac d'éco de Lille. En 1988, Messaoud est responsable du suivi scolaire du quartier de l'Alma. Muni d'une licence, il se lance dans la vie professionnelle, au coeur de l'action sociale, chargé auprès de mairies ou d'offices HLM, de la jeunesse, de logement, de développement social de quartier. En 1995, alors que la violence grimpe les escaliers des cités, il est chargé de mission de sécurité par l'Opac du Pas-de-Calais. «J'ai fait plus de 200 procédures, concernant les agressions, le vandalisme, commis dans une immense majorité par des jeunes issus de l'immigration. Au tribunal, je demandais une sanction exemplaire, la fin de la loi du silence. Mais ça me valait d'être poursuivi, insulté, traité de "sale Blanc", de "pauvre harki". Il retombait sur les costauds et les caïds des cours de récré. Il était alors sympathisant des Verts. Pensait et pense encore : «Une grande partie de la gauche a sombré dans l'idéologie victimaire, c'est une vision postcoloniale.»

Chapitre III. Il raconte un mariage qui très vite tourne mal, deux enfants naissent, Syriane puis Gybril. La mésentente s'installe, la religion s'en empare, à moins que ce ne soit l'inverse. L'épouse a fait du droit, ne porte pas le voile, mais invoque la loi divine, appelle frères et imam à la rescousse, pour contrer son mari si peu pratiquant, même les jours de ramadan. Tous l'appellent «le mécréant». Les insultes ont changé, celles de l'enfance étaient empreintes de guerre coloniale, celle d'aujourd'hui emprunte à la religion revenue en force avec les années 90. En 2002, après onze années de vie conjugale, Messaoud Bouras ramasse quelques affaires, s'enfuit et engage une procédure de divorce. Le juge aux affaires familiales ne lui accorde qu'un droit de visite à l'amiable. Mais l'accord est introuvable. Il raconte la brutalité des frères, des mains courantes après ses plaintes à la police. Elle se plaint du harcèlement par SMS. Il n'a plus revu ses enfants, aujourd'hui 11 et 8 ans. Un troisième est né, d'une mère «française». Ils l'ont appelé Benjamin, il a 2 ans : «C'est un prénom juif, j'ai beaucoup combattu la judéophobie de ma communauté, c'est aussi une référence à un film que j'ai vu à 14 ans, l'Oncle Benjamin, avec Jacques Brel, histoire d'un médecin libre-penseur et épicurien.»

Chapitre IV. Il part en guerre. Et tout s'imbrique, déchirure familiale et combat politique. L'année où il fuit sa femme, il quitte aussi les Verts, devenu selon lui l'instrument du lobbying politique des islamistes. Il y a effectivement parmi les responsables écologistes des représentants de mouvances musulmanes, aux interfaces religieuses proches de Tariq Ramadan. Bouras dénonce publiquement, via la presse locale, un cercle de réflexion subventionné par la mairie, parfois tribune antisémite. L'association porte plainte en diffamation, défendue par Me Jean-Louis Brochen (M. Martine Aubry). Messaoud gagne le procès. Mais il est définitivement persona non grata, «mort politiquement et socialement à Roubaix», dit-il. Il ne donne à personne sa nouvelle adresse. Il est menacé par une avalanche de mails. Il les garde tous. Il inonde à son tour élus et journalistes.

Il a relu tout le Coran. «Je n'y ai pas trouvé une seule fois le mot "amour". Jésus dit à la foule qui veut lapider la femme infidèle qu'il faut pardonner, le Coran ordonne de la tuer.» Il est intarissable, explique que la tolérance a généré l'intolérable, assure que s'il existe des musulmans modérés, il n'y aura jamais d'islam des Lumières. «Les versets sont incompatibles avec les droits de l'homme. En fait, l'islamisme n'est pas né de la misère, mais de la frustration de la puissance perdue et du besoin de pouvoir. L'islam a raté la modernité. Il n'a rien créé : ni la démocratie, ni la croissance économique.»

Il prend des risques à parler ainsi. On le traitera de dingue tendance parano, mais bien des connaisseurs du bocal de Roubaix confirment ce qu'il raconte de la construction politique locale. D'autres le diront lepénisé par la rancoeur. Il a rejoint le discret mouvement des musulmans laïques de France, il craint Sarkozy : «C'est un libéral qui veut remplacer les mécanismes de solidarité par la charité communautaire.» Et en veut à la gauche. «Par choix électoraliste, Lille et Roubaix sont devenus les capitales françaises de l'islamogauchisme.» Villes qui tentent écoles islamiques et piscines municipales avec jour des hommes et jour des femmes.

Il est trop tôt pour dire la fin de l'histoire. Messaoud Bouras promène sa silhouette de soldat amoché du côté de Lille, avec dans son cartable un livre, la Schizophrénie de l'islam (1), et des coupures de presse où il est question de lui. Il connaît le frisson de la liberté conquise. «La culture musulmane prédispose à l'immaturité sexuelle, affective et psychologique. Moi, j'ai fait beaucoup de progrès.» Il peut aussi sombrer. Il a des douleurs violentes à la tête, autour des yeux, dans la mâchoire. Il était un enfant chétif. Mais cette fois, c'est lié à la pression et au bruit des sirènes identitaires.

(1) D'Anne-Marie Delcambre. Editions Desclée de Brouwer.

Photo Edouard CAUPEIL

Messaoud Bourasen 6 dates

Août 1964

Naissance à Roubaix (Nord).

1983

Première marche des beurs.

1987

Licence d'économie.

1991

Se marie.

2002

Engage une procédure de divorce.

2005

Dénonce dans le quotidien Nord Eclair l'instrumentalisation des Verts de Roubaix par les islamistes.
Judith PERRIGNON

[Gorgonzola]

Si tu étais née en pays d'islam avec du coran 24 heures sur 24 que ce soit à la radio ou à la télé, ce sera difficile pour toi de te libérer de l'islam sachant en plus que celui qui quitte l'islam, tout bon musulman a le droit de l'égorger de façon halal

Même en France les apostats de l'islam vivent plus ou moins clandestinement et dans la peur des fous de PBSL.

Je parle surtout de ceux à qui on essaie d'ouvrir les yeux.

Mais par bonheur, et ce n'est pas une fausse info, les musulmans sont de plus en plus nombreux à quitter l'islam en terre musulmane. Et j'en veux surtout aux médias français qui encensent l'islam, ce qui renforce évidemment davantage la foi et diffuse comme une trainée de poudre le désir du jihad. Ils montrent une image acceptable et victimise ce qui est une agression. On ne donne pas la parole aux apostats pour éviter un embrasement. Tout cela est voulu et politique comme l'invasion de l'Europe.
Il faut un contrepoids. Dire les choses. Ouvrir les yeux.
En terre musulmane les musulmans se posent beaucoup plus de question qu'ici et une parole ouverte est donnée à ceux qui critiquent l'islam (frère Rachid au Maroc par exemple). Frère Rachid est inconcevable en France. C'est l'inverse qui se passe. Ici, toute tentative de critique est étouffée (pour le moment). Hollande s'était déplacé pour un voyou qui a reçu une raclée parce qu'il a provoqué la police, mais réagit sur son compte twitter pour un prêtre égorgé.
Tout ceci renforce le mensonge islam, mais l'islam c'est une peu (euphémisme) comme le nazisme.
Il restera comme une honte dans les mémoires et les conversions n'en seront que plus fortes.