le miracle ; une raison d'être ?
Posté : 18 juin17, 02:49
"N'espérez rien du monde. Car lui n'attend rien de vous, ni même ne s'attend à vous. Les engrenages de sa mécaniques prendront place sans prendre en compte la votre et vous broieront. Il n'y a rien attendre d'autre de ce monde ; il ne peut offrir que ce qu'il est.
Mais parce que nous sommes ce à quoi il ne s'attend pas, nous constituons tout ce qui n'est pas sous son contrôle. Nous sommes le phénomène qui par nature, brille au furs et à mesure que nous le défions.
Telle est donc cette sensations qui nous fait passer au dessus de toute la souffrance qui nous est infligées par la faute d'un corps matériel, fragile et entraver par le temps.
Tel est ce sentiment qui nous donne cette impression de dominer cet Univers, car d'en avoir conscience, de le découvrir ainsi que d'apprendre à le contrôler.
Ce sentiment d'être un être non passif face au reste, et, contrairement à son milieu, jamais indifférent à autrui.
Cela fait de nous l'insoupçonné ; Cela fait de nous le miracle !
Et il n'est pas sans raison d'évoqué que le miracle à pousser l'Homme loin de ses rivages primitif. Si ce n'est pas la peur ou le désespoir qui le force à agir dans le but de survivre, c'est bien cette euphorie issu de sa volonté et de son désir de mimétisme qui en est à l'origine : nous parlons d'émerveillement.
Et c'est cet émerveillement qui nous habite tous ; celui qui nous pousse à agir pour, dans un premier temps, notre bien et enfin, le bien commun de tous... Et ce, même par les moyens les plus vils !"
(Anonyme)
Bien que ce texte me parle beaucoup, je tiens à préciser que je n'en suis pas l'auteur. Toutefois cela ne m'empêche pas de le questionner ainsi :
Selon vous, une humanité évoluant grâce au moteur qu'est l'émerveillement, ou (appelé autrement) la contemplation du miracle (je croit que c'est ce qui est insinué dans le texte) pourrait-elle fonctionner de manière utopique ?
Mais parce que nous sommes ce à quoi il ne s'attend pas, nous constituons tout ce qui n'est pas sous son contrôle. Nous sommes le phénomène qui par nature, brille au furs et à mesure que nous le défions.
Telle est donc cette sensations qui nous fait passer au dessus de toute la souffrance qui nous est infligées par la faute d'un corps matériel, fragile et entraver par le temps.
Tel est ce sentiment qui nous donne cette impression de dominer cet Univers, car d'en avoir conscience, de le découvrir ainsi que d'apprendre à le contrôler.
Ce sentiment d'être un être non passif face au reste, et, contrairement à son milieu, jamais indifférent à autrui.
Cela fait de nous l'insoupçonné ; Cela fait de nous le miracle !
Et il n'est pas sans raison d'évoqué que le miracle à pousser l'Homme loin de ses rivages primitif. Si ce n'est pas la peur ou le désespoir qui le force à agir dans le but de survivre, c'est bien cette euphorie issu de sa volonté et de son désir de mimétisme qui en est à l'origine : nous parlons d'émerveillement.
Et c'est cet émerveillement qui nous habite tous ; celui qui nous pousse à agir pour, dans un premier temps, notre bien et enfin, le bien commun de tous... Et ce, même par les moyens les plus vils !"
(Anonyme)
Bien que ce texte me parle beaucoup, je tiens à préciser que je n'en suis pas l'auteur. Toutefois cela ne m'empêche pas de le questionner ainsi :
Selon vous, une humanité évoluant grâce au moteur qu'est l'émerveillement, ou (appelé autrement) la contemplation du miracle (je croit que c'est ce qui est insinué dans le texte) pourrait-elle fonctionner de manière utopique ?