Le plus Grand Subterfuge de la fashosphère islamophobe.
Posté : 17 nov.17, 19:31
L’un des plus grands subterfuges de la fashosphère islamophobe, que dis-je, le plus grand, le subterfuge le plus sournois, plus perfide que les lectures biaisées des textes et la propagande mensongère, consiste à glisser de la critique de religion à la critique de la communauté.
Au lieu de s’en tenir à la stricte critique des textes religieux, on quitte le terrain de la religion, on opère un glissement et on déclare que :
"Le Coran prescrit ceci aux musulmans et c’est pourquoi la communauté musulmane est violente."
Ou pire :
"Le Coran prescrit ceci aux musulmans et donc la communauté des musulmans ne peut être que violente".
De telles déclarations visent à faire accroire qu’il n’y a de violence que chez les musulmans, que seuls les musulmans sont violents, et toutes les autres violences sont ainsi occultées, passées sous silence.
Or, en toute rigueur dialectique, ce glissement de la critique de religion à la critique de la communauté est une erreur, une acrobatie de sophiste, un sacré subterfuge.
Car, ou on fait une critique de religion, et là il faut s’en tenir strictement aux textes, ou on fait une critique des communautés, et là on n’est plus dans la religion et il faut alors mettre aussi sur la table les agissements des autres communautés pour voir où se situe la violence. Mais sous prétexte de parler religion (tout en quittant le terrain religieux), on n’évoque que la violence de la communauté musulmane déclarée agir sous l’influence de la religion. Comme si être violent pour des raisons religieuses était seul blâmable ou plus grave qu’avoir pour mobile la rapacité, le pillage et les génocides.
Le subterfuge est à ce niveau. En toute rigueur et en toute équité, on devrait dire (puisqu’on a décidé d’abandonner le terrain religieux pour se porter sur les communautés) :
"Le comportement de la communauté des musulmans a pour mobile la religion (en supposant que ce soit vrai, mais c’est un autre problème) ; le comportement de la communauté X a pour mobile la voracité et les pillages". Car, encore une fois, le mobile religieux n’est pas plus blâmable ou plus grave qu’un autre mobile.
Mais il ne faut espérer aucune rigueur ou impartialité de la part de la fashosphère islamophobe, elle est engagée dans une campagne criminelle savamment orchestrée pour servir les plans machiavéliques de l’Empire occidentalo-sioniste et de ses acolytes.
Au lieu de s’en tenir à la stricte critique des textes religieux, on quitte le terrain de la religion, on opère un glissement et on déclare que :
"Le Coran prescrit ceci aux musulmans et c’est pourquoi la communauté musulmane est violente."
Ou pire :
"Le Coran prescrit ceci aux musulmans et donc la communauté des musulmans ne peut être que violente".
De telles déclarations visent à faire accroire qu’il n’y a de violence que chez les musulmans, que seuls les musulmans sont violents, et toutes les autres violences sont ainsi occultées, passées sous silence.
Or, en toute rigueur dialectique, ce glissement de la critique de religion à la critique de la communauté est une erreur, une acrobatie de sophiste, un sacré subterfuge.
Car, ou on fait une critique de religion, et là il faut s’en tenir strictement aux textes, ou on fait une critique des communautés, et là on n’est plus dans la religion et il faut alors mettre aussi sur la table les agissements des autres communautés pour voir où se situe la violence. Mais sous prétexte de parler religion (tout en quittant le terrain religieux), on n’évoque que la violence de la communauté musulmane déclarée agir sous l’influence de la religion. Comme si être violent pour des raisons religieuses était seul blâmable ou plus grave qu’avoir pour mobile la rapacité, le pillage et les génocides.
Le subterfuge est à ce niveau. En toute rigueur et en toute équité, on devrait dire (puisqu’on a décidé d’abandonner le terrain religieux pour se porter sur les communautés) :
"Le comportement de la communauté des musulmans a pour mobile la religion (en supposant que ce soit vrai, mais c’est un autre problème) ; le comportement de la communauté X a pour mobile la voracité et les pillages". Car, encore une fois, le mobile religieux n’est pas plus blâmable ou plus grave qu’un autre mobile.
Mais il ne faut espérer aucune rigueur ou impartialité de la part de la fashosphère islamophobe, elle est engagée dans une campagne criminelle savamment orchestrée pour servir les plans machiavéliques de l’Empire occidentalo-sioniste et de ses acolytes.