Analyse du christianisme et de l'invention de Noël
Posté : 19 déc.17, 05:53
On ne peut pas nier que certaines facettes du christianisme soient un moindre mal par rapport au paganisme romains et celtes, mais pour un diagnostic concret et efficace il faut reconnaître ce qui a fait la gloire de l'Islam...
Les romains prétendaient que leurs divinités font leurs affaires dans les cieux et ne se mêlent pas aux affaires des hommes. Comme a dit un philosophe; « il nous est obligatoire de ne pas occuper nos esprits de ce qu'ils (les dieux) veulent de nous, car ils ne veulent rien de nous. »
Telle était la théorie de la philosophie; les dieux sont seulement des modèles pour les gens dans leurs comportements. Ils ne savent rien. Ils n'ordonnent pas, n'interdisent pas, ne légifèrent pas et ne jugent pas. Ces philosophes et politiciens païens avaient donc l'idée de la séparation entre la vie du peuple et les commandements divins.
Mais fini le temps de l'ignorance, depuis la révélation du dernier Livre, nous savons désormais clairement ce que l'unique Vrai Dieu veut de nous. Fini les dieux païens qui ne parlent jamais, ne font pas miséricorde et ne guide pas. Fini l'idée de la séparation entre nos vies et Celui qui nous a donné la vie. Fini l'idée de la séparation entre la religion et nos responsabilités quotidiennes...
Allah notre Seigneur a promis le Paradis aux croyants sincères, et Il ne manque jamais à Sa promesse. Il a fait de l'Islam le centre du profit et de la réussite.
Finie la médiocrité et l'amertume d'une religiosité pleine d'incertitude. L'envoi du Prophète Mohammed (salla Allahu 'alayhi wa salam) à toute l'humanité est la plus grande des miséricordes venant d'Allah.
Mohammed - صلى الله عليه وسلم - est en effet l'homme que notre Seigneur a élu pour transmettre Sa religion.
L'imam Ahmed ibnou Taïmiya رحمه الله a dit à son sujet :
« Et celui qui aura examiné les situations du monde, se sera éclairci pour lui le fait qu'Allah n'a pas comblé les gens de la terre d'un bienfait plus immense que celui de son envoi (prière d'Allah et paix sur lui), et que ceux qui ont rejeté son message, sont ceux sur lesquelles Allah تعالى a dit dans le Qur'an (selon le sens) : { Ne vois-tu point ceux qui troquent le bienfait d'Allah contre l'ingratitude et établissent leur peuple dans la demeure de la perdition (l'Enfer). } [Ibrahim: 28].
C'est pour cela qu'il a caractérisé par la reconnaissance (le remerciement) celui qui a accepté ce bienfait (l'Islam), Il a ainsi dit – élevé soit-Il - { Ainsi, éprouvons-Nous (les gens) les uns par les autres, pour qu'ils disent : “Est-ce là ceux qu'Allah a favorisés parmi nous ?” N'est-ce pas Allah qui sait le mieux lesquels sont reconnaissants ? } [Al An'am: 53, TRSV]. » Fin de propos (voir Al djawab as-sahih).
"Noël" ; origine historique de la fête...
La disparition progressive des savants de l'Evangile en Europe, l'hypocrisie de certains et les pressions politique exercées par le pouvoir romain alors en place ; tels sont les éléments principaux qui ont conduits les chrétiens à des concessions qui ont détruites leur religion. Faire comprendre aux européens les droits de Dieu n'était pas la préoccupation des représentants dits chrétiens.
Leurs intérêts étaient dirigés par l'amour de la vie mondaine. Ils ne pouvaient pas guider les européens vers le monothéisme, car leur conception de la nature même du Prophète Jésus était imprégnée par les idées païennes. Ils furent en discorde et en divergence entre eux sur les base de la religion. Ainsi, leur prédication ne pouvait se faire que dans la pire des confusions.
Inévitablement il en fut ainsi; adoption de croyances, de rites païens et de pratiques culturelles en contradiction totale avec l'Evangile et la religion du Messie fils de Marie.
Le carnaval en est un exemple flagrant. Mais surtout et encore plus de la fête de "Noël". Cette fête est-elle réellement chrétienne ? Est-ce l’anniversaire de Jésus ? Jésus l'aurait-il approuvé ? La plupart des chrétiens considèrent "Noël" comme une fête religieuse. À travers le monde, les églises diffusent messages et sermons qui laissent croire que le 25 décembre est l’anniversaire authentique de Jésus-Christ!
Il est un fait que ni l’année, ni le mois, ni encore le jour de la naissance de Jésus ne sont mentionnés dans la Bible. En fait, le récit biblique nous indique qu’il naquit durant l’été (de juin à septembre en Palestine), car les bergers étaient dehors avec leurs troupeaux. L’hiver étant une saison de pluie, il n’était pas question pour les bergers de passer la nuit à la belle étoile. Si l’histoire de la naissance du Messie se trouve bien dans la Bible, la célébration de l’événement, quant à elle, n’est nullement indiquée. D’ailleurs, il est intéressant de noter que selon la Bible, ni Issa (Jésus) ne l’avait jamais célébré, ni ses disciples auxquels il avait lui-même enseigné la religion juste.
En effet, si la célébration de Noël devait figurer dans la religion de Jésus, ses suivants l’auraient certainement fêtée.
Or, l’édition anglaise de 1911 de l’Encyclopédie catholique, diffusée par l’Église catholique romaine, déclare que « Noël ne figure pas parmi les premières fêtes de l’Église... elle apparaîtra pour la première fois en Égypte. » C’est à dire que cette fête est d’origine païenne.
Selon l’encyclopédie éditée par Schaff-Herzog : «… la fête, solidement enracinée dans la tradition populaire, ne put être éliminée par l’influence chrétienne. Cette fête païenne, avec sa débauche et ses réjouissances, était si populaire que les paléochrétiens de l’Empire Romain furent heureux d’avoir un prétexte pour continuer à la célébrer sans trop changer son esprit ou sa tradition. »
Bien loin de rejeter cette fête païenne, l’Église l’agréa en prenant le soin de l’adapter : au lieu d’être la naissance du Roi-Soleil des Romains, désormais ce serait celle de Jésus-Christ, faussement désigné "Fils de Dieu"... Puis, ce fut le pape Jules 1er qui en l’an 320 du calendrier, avait déclaré que le 25 décembre serait la date officielle de la naissance du Christ.
Dès lors, le christianisme deviendrait une "religion" attirante et acceptable pour les masses populaires païennes de Rome. Ceci poussa les chrétiens de Mésopotamie (les Syriens et les Arméniens) à accuser leurs coreligionnaires occidentaux d’idolâtrie pour avoir adoptée cette fête païenne.
Pour finir, notons qu’en 1643, le parlement britannique avait officiellement aboli la célébration de la fête de Noël, la considérant non chrétienne en raison de son origine païenne… Pas de salut pour les hommes sans monothéisme. Pas de salut dans la conversion à une religion anthropomorphique qui ne différencie pas le Créateur de ses créatures. Pas de salut par les chants à côté des statues et des crucifix; pas de salut sans Islam...
AbdeSalam
Les romains prétendaient que leurs divinités font leurs affaires dans les cieux et ne se mêlent pas aux affaires des hommes. Comme a dit un philosophe; « il nous est obligatoire de ne pas occuper nos esprits de ce qu'ils (les dieux) veulent de nous, car ils ne veulent rien de nous. »
Telle était la théorie de la philosophie; les dieux sont seulement des modèles pour les gens dans leurs comportements. Ils ne savent rien. Ils n'ordonnent pas, n'interdisent pas, ne légifèrent pas et ne jugent pas. Ces philosophes et politiciens païens avaient donc l'idée de la séparation entre la vie du peuple et les commandements divins.
Mais fini le temps de l'ignorance, depuis la révélation du dernier Livre, nous savons désormais clairement ce que l'unique Vrai Dieu veut de nous. Fini les dieux païens qui ne parlent jamais, ne font pas miséricorde et ne guide pas. Fini l'idée de la séparation entre nos vies et Celui qui nous a donné la vie. Fini l'idée de la séparation entre la religion et nos responsabilités quotidiennes...
Allah notre Seigneur a promis le Paradis aux croyants sincères, et Il ne manque jamais à Sa promesse. Il a fait de l'Islam le centre du profit et de la réussite.
Finie la médiocrité et l'amertume d'une religiosité pleine d'incertitude. L'envoi du Prophète Mohammed (salla Allahu 'alayhi wa salam) à toute l'humanité est la plus grande des miséricordes venant d'Allah.
Mohammed - صلى الله عليه وسلم - est en effet l'homme que notre Seigneur a élu pour transmettre Sa religion.
L'imam Ahmed ibnou Taïmiya رحمه الله a dit à son sujet :
« Et celui qui aura examiné les situations du monde, se sera éclairci pour lui le fait qu'Allah n'a pas comblé les gens de la terre d'un bienfait plus immense que celui de son envoi (prière d'Allah et paix sur lui), et que ceux qui ont rejeté son message, sont ceux sur lesquelles Allah تعالى a dit dans le Qur'an (selon le sens) : { Ne vois-tu point ceux qui troquent le bienfait d'Allah contre l'ingratitude et établissent leur peuple dans la demeure de la perdition (l'Enfer). } [Ibrahim: 28].
C'est pour cela qu'il a caractérisé par la reconnaissance (le remerciement) celui qui a accepté ce bienfait (l'Islam), Il a ainsi dit – élevé soit-Il - { Ainsi, éprouvons-Nous (les gens) les uns par les autres, pour qu'ils disent : “Est-ce là ceux qu'Allah a favorisés parmi nous ?” N'est-ce pas Allah qui sait le mieux lesquels sont reconnaissants ? } [Al An'am: 53, TRSV]. » Fin de propos (voir Al djawab as-sahih).
"Noël" ; origine historique de la fête...
La disparition progressive des savants de l'Evangile en Europe, l'hypocrisie de certains et les pressions politique exercées par le pouvoir romain alors en place ; tels sont les éléments principaux qui ont conduits les chrétiens à des concessions qui ont détruites leur religion. Faire comprendre aux européens les droits de Dieu n'était pas la préoccupation des représentants dits chrétiens.
Leurs intérêts étaient dirigés par l'amour de la vie mondaine. Ils ne pouvaient pas guider les européens vers le monothéisme, car leur conception de la nature même du Prophète Jésus était imprégnée par les idées païennes. Ils furent en discorde et en divergence entre eux sur les base de la religion. Ainsi, leur prédication ne pouvait se faire que dans la pire des confusions.
Inévitablement il en fut ainsi; adoption de croyances, de rites païens et de pratiques culturelles en contradiction totale avec l'Evangile et la religion du Messie fils de Marie.
Le carnaval en est un exemple flagrant. Mais surtout et encore plus de la fête de "Noël". Cette fête est-elle réellement chrétienne ? Est-ce l’anniversaire de Jésus ? Jésus l'aurait-il approuvé ? La plupart des chrétiens considèrent "Noël" comme une fête religieuse. À travers le monde, les églises diffusent messages et sermons qui laissent croire que le 25 décembre est l’anniversaire authentique de Jésus-Christ!
Il est un fait que ni l’année, ni le mois, ni encore le jour de la naissance de Jésus ne sont mentionnés dans la Bible. En fait, le récit biblique nous indique qu’il naquit durant l’été (de juin à septembre en Palestine), car les bergers étaient dehors avec leurs troupeaux. L’hiver étant une saison de pluie, il n’était pas question pour les bergers de passer la nuit à la belle étoile. Si l’histoire de la naissance du Messie se trouve bien dans la Bible, la célébration de l’événement, quant à elle, n’est nullement indiquée. D’ailleurs, il est intéressant de noter que selon la Bible, ni Issa (Jésus) ne l’avait jamais célébré, ni ses disciples auxquels il avait lui-même enseigné la religion juste.
En effet, si la célébration de Noël devait figurer dans la religion de Jésus, ses suivants l’auraient certainement fêtée.
Or, l’édition anglaise de 1911 de l’Encyclopédie catholique, diffusée par l’Église catholique romaine, déclare que « Noël ne figure pas parmi les premières fêtes de l’Église... elle apparaîtra pour la première fois en Égypte. » C’est à dire que cette fête est d’origine païenne.
Selon l’encyclopédie éditée par Schaff-Herzog : «… la fête, solidement enracinée dans la tradition populaire, ne put être éliminée par l’influence chrétienne. Cette fête païenne, avec sa débauche et ses réjouissances, était si populaire que les paléochrétiens de l’Empire Romain furent heureux d’avoir un prétexte pour continuer à la célébrer sans trop changer son esprit ou sa tradition. »
Bien loin de rejeter cette fête païenne, l’Église l’agréa en prenant le soin de l’adapter : au lieu d’être la naissance du Roi-Soleil des Romains, désormais ce serait celle de Jésus-Christ, faussement désigné "Fils de Dieu"... Puis, ce fut le pape Jules 1er qui en l’an 320 du calendrier, avait déclaré que le 25 décembre serait la date officielle de la naissance du Christ.
Dès lors, le christianisme deviendrait une "religion" attirante et acceptable pour les masses populaires païennes de Rome. Ceci poussa les chrétiens de Mésopotamie (les Syriens et les Arméniens) à accuser leurs coreligionnaires occidentaux d’idolâtrie pour avoir adoptée cette fête païenne.
Pour finir, notons qu’en 1643, le parlement britannique avait officiellement aboli la célébration de la fête de Noël, la considérant non chrétienne en raison de son origine païenne… Pas de salut pour les hommes sans monothéisme. Pas de salut dans la conversion à une religion anthropomorphique qui ne différencie pas le Créateur de ses créatures. Pas de salut par les chants à côté des statues et des crucifix; pas de salut sans Islam...
AbdeSalam