Coucou Komyo , à vrai dire je ne l'ai pas visionné encore, non. Mais je suis très emballée ! Interessée.
Merci à toi, je te laisserai un petit mot ensuite
https://www.youtube.com/watch?v=_GQvkoFPd7U
10 min de vidéo sur l’émission
Le dessous des cartes, pour plus de clarté sans doute, ou en préliminaire à ta vidéo.
Et également, du point de vu du bouddhisme de Nichiren, présent au Japon également, j'aimerai tenter un pont entre école.
Cela non en vertu de suprématie , cela va de soi, mais dans un soucis de cohésion. J'espère que vous y verrez donc une prunelle et non une attaque inutile envers les enseignements
nécessaire du
Zen.
Nichiren dit que "
C'est seulement à la lumière de la vérité révélée dans le Sûtra du Lotus que tous les autres sûtras prennent leur véritable signification."
Gosho "La même saveur salée" , volume 4 , p.7
Lettre et Traités de Nichiren Daishonin
Éditions Acep.
Je cite l'
arrière plan intégral de ce Gosho, dans lequel la compréhension des liens entre école bouddhique est globalement plus accessible :
La date et le destinataire de ce
gosho sont inconnus, et les raisons pour lesquelles il fut écrit sont également incertaines, par manque de documentation fiable. Il semblerait que Nichiren Daishonin écrivit cette lettre à une époque où lui et ses disciples subissaient des persécutions, comme l'indique la phrase " Un pratiquant du Sûtra du Lotus lorsqu'il est en prison..." ou "Mettre en prison un pratiquant du Sûtra du Lotus...".
Quant à la date à laquelle elle fût écrite, plusieurs hypothèses sont avancées. L'une est qu'elle aurait été écrite en 1261, lorsque Nichiren Daishonin fut envoyé en exil sur la péninsule d'Izu ; une autre, en 1271, lorsqu'il fut exilé sur l'île de Sado ; et une troisième, en 1279, lorsque ses disciples furent persécutés à Atsuhara. Des trois dates, 1261 est la plus probable.
Ce
gosho comprend trois parties. Dans l'introduction, Nichiren Daishonin rappelle qu'il y a six sortes de goûts, le goût salé étant de tous le plus important. Sans sel, toute nourriture est sans saveur. Utilisant cette métaphore, Nichiren Daishonin explique que c'est seulement à la lumière de la vérité révélée dans le Sûtra du Lotus que tous les autres sûtras prennent leur véritable signification. Dans la deuxième partie, il évoque huit propriétés merveilleuses de l'océan, énumérées dans le Sûtra du Nirvana, pour illustrer les caractéristiques exceptionnelles du Sûtra du Lotus.
Dans la dernière partie, Nichiren Daishonin compare le sel dans une jarre ou dans un récipient empli de feuilles de vignes mises à mariner à un pratiquant du Sûtra du Lotus, et le sel de l'océan au bouddha Shakyamuni. Le sel qui se trouve dans la jarre ou le récipient était à l'origine dans l'océan. Par conséquent, l'eau salée, dans la jarre, a les mêmes propriétés que celles de l'océan. Par analogie, emprisonner le bouddha Shakyamuni lui-même. Nichiren Daishonin proclame que ceux qui persécutent les pratiquants du Sûtra du Lotus seront inévitablement punis par les divinités célestes. Au contraire, ceux qui pratiquent la Loi merveilleuse atteindront la boddhéité en tant que simples mortels, même s'ils doivent endurer des souffrances avant d'y parvenir.