O-Ma-Mori Gohonzon Amulette & Réseau Religieux
Posté : 13 févr.18, 02:49
Dans la tradition de Nichiren il existe : l'o-ma-mori gohonzon. Le mot mamori vient du verbe mamoru : protéger, avec o comme particule honorifique cela signifie une protection sacrée, un talisman, une amulette, un porte-bonheur. Au Japon l'amulette est un usage inscrit dans une lointaine tradition magique orientale intégrée au shinto comme aux bouddhismes.
Ici, c'est un gohonzon miniature photocopié et fabriqué en plastique (par la soka gakkai), à porter sur soi pour pouvoir pratiquer à l'extérieur de chez soi généralement, bien que certains le porte plus ou moins quotidiennement avec eux sans l'ouvrir pour psalmodier devant. Le terme originel de protection sacrée ou amulette éclaire fort bien la fonction et les pouvoirs du gohonzon de Nichiren.
Une amulette est un dispositif agençant :
L'amulette ou l'objet de culte participe à la transformation des intensités (nos pensées, sentiments, intentions ou volontés) en « codes informatifs » qui s’incorporent essentiellement aux dispositifs du subconscient humain et contribuent à en augmenter sa puissance.
Le rituel d'utilisation rend possible l’intégration de tout ce qui est émis comme pensées, sentiments, intentions ou volontés et qui sont stockées dans le subconscient ou transitent par lui. Mais cela éclaire peu la nature du réseau spirituel/religieux constitué des invocateurs de l'invocation (namyohorenguékyo) : ces entités humaines et psychiques de tout genre formant un égrégore (soka gakkai). Parce que les modes opératoires et les buts personnels de ces entités sont inconnus des autres et en partie inconscients pour elles-même, ainsi ils ont des effets autant bénéfiques que délétères sur ceux qui, en toute méconnaissance, participent et utilisent ce même réseau occulte, développant ainsi de facto sa puissance.
Car ces utilisateurs d'amulettes et d'invocations sont peu formés et cultivés sur la nature et le fonctionnement ésotériques des croyances qu'ils pratiquent, sur les influences et incidences qu'elles ont sur leur propre vie, leur environnement et la société. La raison en est qu’ils se contentent de respecter la doctrine et l'idéologie officielle de leur groupe spirituel sans rechercher à en savoir plus au-delà des apparences et des concepts sur sa réelle nature visible et invisible.
C'est un malheureux constat. Quand bien même ces adeptes se satisfassent des aléas de leur croyance, ils sont manipulés par leurs pulsions subconscientes, convaincus d'être engagés sur une voie d'éveil spirituel. Dans les faits ils sont totalement inconscients et quasiment incultes malgré toutes leurs lectures, études, conversations, années d'expériences existentielles…
Ici, c'est un gohonzon miniature photocopié et fabriqué en plastique (par la soka gakkai), à porter sur soi pour pouvoir pratiquer à l'extérieur de chez soi généralement, bien que certains le porte plus ou moins quotidiennement avec eux sans l'ouvrir pour psalmodier devant. Le terme originel de protection sacrée ou amulette éclaire fort bien la fonction et les pouvoirs du gohonzon de Nichiren.
Une amulette est un dispositif agençant :
L'amulette ou l'objet de culte participe à la transformation des intensités (nos pensées, sentiments, intentions ou volontés) en « codes informatifs » qui s’incorporent essentiellement aux dispositifs du subconscient humain et contribuent à en augmenter sa puissance.
Le rituel d'utilisation rend possible l’intégration de tout ce qui est émis comme pensées, sentiments, intentions ou volontés et qui sont stockées dans le subconscient ou transitent par lui. Mais cela éclaire peu la nature du réseau spirituel/religieux constitué des invocateurs de l'invocation (namyohorenguékyo) : ces entités humaines et psychiques de tout genre formant un égrégore (soka gakkai). Parce que les modes opératoires et les buts personnels de ces entités sont inconnus des autres et en partie inconscients pour elles-même, ainsi ils ont des effets autant bénéfiques que délétères sur ceux qui, en toute méconnaissance, participent et utilisent ce même réseau occulte, développant ainsi de facto sa puissance.
Car ces utilisateurs d'amulettes et d'invocations sont peu formés et cultivés sur la nature et le fonctionnement ésotériques des croyances qu'ils pratiquent, sur les influences et incidences qu'elles ont sur leur propre vie, leur environnement et la société. La raison en est qu’ils se contentent de respecter la doctrine et l'idéologie officielle de leur groupe spirituel sans rechercher à en savoir plus au-delà des apparences et des concepts sur sa réelle nature visible et invisible.
C'est un malheureux constat. Quand bien même ces adeptes se satisfassent des aléas de leur croyance, ils sont manipulés par leurs pulsions subconscientes, convaincus d'être engagés sur une voie d'éveil spirituel. Dans les faits ils sont totalement inconscients et quasiment incultes malgré toutes leurs lectures, études, conversations, années d'expériences existentielles…