Parallèle entre l’hérésie chrétienne et musulmane
Posté : 25 févr.18, 17:22
Parallèle entre l’hérésie chrétienne et musulmane
« Qui imite un peuple compte dans ses rangs. » [Rapporté par Ahmed (n° 5114), et Abû Dâwûd (n° 4031), selon ‘Abd Allah ibn ‘Omar – qu’Allah les agrée son père et lui –.] Sheïkh el Islâm ibn Taïmiya explique que ce texte renferme implicitement l’interdiction de ressembler aux non-musulmans, bien que si l’on s’en tient à son sens littéral, il va beaucoup plus loin. Il exprime en effet qu’une telle initiative voue (ou amène ndt.) à la mécréance. [Voir : iqtidhâ e-sirât el mustaqîm (1/83).]
D’après ‘Abd Allah ibn ‘Amr, le Messager d’Allah (r) a dit : « Vous allez suivre les usages des enfants d’Israël empan par empan ; même si l’un d’entre eux avait des relations avec sa mère en public, il y en aurait parmi vous pour l’imiter. Les Juifs se sont divisés en soixante et onze sectes, tandis que les chrétiens se sont divisés en soixante douze sectes. Quant à cette communauté, elle va se diviser en soixante-treize sectes ; toutes sont vouées à l’Enfer à l’exception d’une seule.
Laquelle Messager d’Allah, demandèrent son assemblée ?
C’est la voie sur laquelle nous sommes mes Compagnons et moi. »[1]
Selon une version : « Vous allez suivre les usages des enfants d’Israël en marchant sur leurs pas jusque dans le trou d’un gros lézard du désert.
Cher Messager d’Allah, nous sommes-nous interrogés, seraient-ce les Juifs et les chrétiens ?
Qui d’autres, a-t-il confirmé. »[2]
Certains Juifs sont à l’origine de la franc-maçonnerie qui a infiltré le protestantisme pour détruire le catholicisme de la même manière que, chez les musulmans, certains Juifs sont à l’origine de l’ésotérisme fatimide qui a infiltré le chiisme pour détruire le sunnisme. Par ailleurs, les conjurés parmi les Juifs et les penseurs-libres ont infiltré deux autres domaines : le soufisme dont la dérive ultra donnera la gnostique qui se manifeste à travers le monisme panthéisme, et la théologie spéculative. Chez les chrétiens, ces mêmes conjurés ont infiltrés le protestantisme, nous l’avons vu, mais aussi la mystique, et la scolastique.
Les théologiens du kalâm, les scolastiques, les penseurs libres, et les gnostiques (franc-maçons et fatimides) se réfèrent tous à la logique néo-platonicienne, aristotélicienne, ou péripatéticienne, mais, pour les uns en vue d’établir le monothéisme, avec sa version dégradé de la Trinité chez les chrétiens, et pour les autres en vue de justifier leur déisme.
La scolastique va rivaliser avec la franc-maçonnerie, de la même manière que la théologie spéculative va rivaliser avec les libres-penseurs affiliés à l’islam, et le gnosticisme fatimide. En opposition au déterminisme de leurs opposants idéologiques, les rationalistes musulmans, qui intègrent l’ensemble de la théologie spéculative, adhèrent au libre-arbitre que l’on retrouve chez les protestants et les franc-maçons ; cette perception extensive du livre-arbitre accouchera des courants de pensée modernes tels que l’humanisme qui débouchera sur le libéralisme et le libertinage ; la trilogie maçonnique : liberté, égalité, fraternité n’en est qu’une manifestation.
À l’époque moderne, dans les pas des sociétés européennes, les mouvements islamiques d’émancipation s’imaginent à l’étape de « Renaissance » qui devrait aboutir sur le siècle des Lumières (maçonniques) sous le couvert de la religion.
Aujourd’hui, pour lutter contre le wahhabisme (même s’il utilise l’un de ses dérivés au service du « terrorisme »), l’Occident, à l’image de la France, encourage le soufisme – qui représenterait l’islam traditionnel incarné par la Mosquée de Paris issue de l’ère colonialiste – le néo-rationalisme avec son représentant déchu, l’internationaliste Tarik Ramadan à qui Juda vient d’offrir un baiser, et, peut-être de façon plus sournoise, le chiisme révolutionnaire. Il s’agit de remodeler le paysage islamique français en distribuant de nouvelles cartes au gré d’une conjoncture changeante.
Annexe
« On donne ce nom d’Illuminés à ces hommes coupables qui osèrent de nos jours concevoir et même organiser en Allemagne, par la plus criminelle association, l’affreux projet d’éteindre en Europe le christianisme et la souveraineté. »
Joseph de Maistre
Voir : http://www.liberius.net/livres/La_Revol ... 000318.pdf
Maréchal Lyautey tout français doit lire ce livre
Du fond de sa prison, Jacques Molay aurait déjà créé quatre loges-mères : pour l'Orient, tapies ; pour l'Occident, Edimbourg ; pour le Nord, Stockholm, et pour le Midi, Paris (Tomb. de J. Molay, p. a3). Aussitôt après la mort du Grand-Maître, les quatre Loges s'organisent et tous les membres y prêtent serment : a d'exterminer tous les rois et la race des Capétiens, de détruire la puissance du pape, de prêcher la liberté des peuples et de fonder une République Universelle. (id., p. 26)
Il y a encore des catholiques libéraux qui se laissent piper par les formules maçonniques. Ils se réclament de la déclaration des droits de l'homme.
La Révolution, je le répète, est détestable en tout ; elle l'est dans ses excès sanglants, mais elle l’est beaucoup plus dans ses principes, à commencer par les immortels principes de 89.
Sous sa phraséologie pédantesque, la déclaration des droits de l'homme est antichrétienne et par suite antisociale. Elle ignore les droits de Dieu ; elle prétend ouvrir l'ère de la justice et de la vérité, comme si l'Évangile n'existait pas ; elle s'inspire du Contrat social qui est une insanité ; elle n'admet pas d'autre autorité que celle qui émane de la nation et par là même rejette celle de l'Église.
En réalité, la Révolution, contrairement à la thèse libérale, fut dirigée beaucoup plus contre la religion que contre la monarchie. Elle n'attaqua la monarchie que parce que celle-ci était catholique, et pour se faire la main en vue d'une guerre plus formidable contre le christianisme. Les abus de l'ancien régime ne furent pour elle qu'un prétexte. Elle en voulait à Dieu. Elle a été le grand frémissement luciférien, prédit dans l'Écriture, contre le Seigneur et contre son Christ.
STÉPHEN COUBÉ
« L'histoire est le plus souvent un complot contre la vérité. »
« La Révolution est satanique », avait dit, le premier, Joseph de Maistre.
http://www.liberius.net/livres/La_Revol ... 000318.pdf
https://archive.org/stream/lafrancmacon ... 4/mode/2up
Disciples de J.-J. Rousseau, les Conventionnels de 1792 donnèrent pour fondement au nouvel édifice ce principe, que l'homme est bon par nature ; là-dessus, ils élevèrent la trilogie maçonnique : liberté, égalité, fraternité. Liberté à tous et pour tout, puisqu'il n'y en l'homme que de bons instincts ; égalité, parce que, également bons, les hommes ont des droits égaux en tout ; fraternité, ou rupture de toutes les barrières entre individus, familles, nations, pour laisser le genre humain s'embrasser dans une République universelle.
Pie IX, en 1849 : « La Révolution est inspirée par Satan lui-même ; son but est de détruire de fond en comble l'édifice du christianisme, et de reconstruire sur ses ruines l'ordre social du paganisme. »
Léon XIII : « Le dessein suprême de la franc-maçonnerie est de RUINER DE FOND EN COMBLE toute la discipline religieuse et sociale qui est née des institutions chrétiennes, ET DE LUI EN SURSTITUER UNE NOUVELLE façonnée à son idée, et dont les principes fondamentaux et les lois sont empruntés au NATURALISME » Encyclique du 20 avril 1884.
Le secret de la Franc-Maçonnerie consiste en ceci : Tous les hommes sont égaux et libres, tous les hommes sont frères. »
Dans son récent ouvrage, M. Gustave Bord confirme cette manière de voir. D'après lui aussi, la première suggestion lancée dans le monde par la Franc-Maçonnerie pour préparer les voies à la Jérusalem de nouvel ordre, le Temple que les francs-maçons veulent élever sur les ruines de la civilisation chrétienne, ce fut l'idée d'égalité.
L’égalité parfaite ne doit se trouver que dans la liberté totale, dans l'indépendance de chacun, à l'égard de tous, après la rupture définitive des liens sociaux. Plus de maître, plus de magistrats, plus de pontifes ni de souverains ; tous égaux sous le niveau maçonnique, et libres de suivre leurs instincts, — telle était la signification totale des mots : égalité, liberté.
Il n'est pas facile de suggérer à une nation qu'elle doit détruire ses traditions, c'est-à-dire se détruire elle-même. On ne peut atteindre un pareil résultat qu'en procédant par suggestions successives, ménagées avec une extrême habileté et une prodigieuse hypocrisie ; une hypocrisie dont la mesure est donnée par ce fait que la devise liberté, égalité et fraternité qu'on n'a cessé de présenter, tant qu'il s'agissait de séduire la nation, comme une charte d'émancipation et d'universelle félicité, manifesta son venin dès qu'on fut arrivé à dominer cette nation, par la terreur et la guillotine.
http://livres-mystiques.com/partieTEXTE ... tionT1.pdf
Par : Karim Zentici
http://mizab.over-blog.com/
Rapporté par e-Tirmidhî (n° 2641) qui a fait le commentaire suivant : « Ce hadîth est bon et singulier. » ; un autre hadîth-témoin vient le renforcer ; il est rapporté par Mu’âwiya chez Ahmed (n° 16937), et Abû Dâwûd (n° 4597), avec une chaine narrative jugée bonne ; il est rapporté également par Anas ibn Mâlik chez ibn Mâja (n° 3993), avec une chaine narrative jugée potable ; il est enfin rapporté par ‘Awf ibn Mâlik chez ibn Mâja (n° 3992) ; ainsi, en regard de toutes ses chaines narratives, il est considéré authentique.
Rapporté par el Bukhârî (n° 7320) et Muslim (n° 2669), selon Abû Sa’îd el Khudrî (t)
Les religions n'ont pas le monopole de la terreur, loin de là !
Les paléo-Jaccobins DAESHIEN qui acquirent très tôt l’art de la terreur, offrirent à leurs héritiers en poste en Syrie matière à exercer leur philanthropie : « Les brigands, disait-on, arrivent, ils pillent les demeures, incendient les récoltes, égorgent les femmes et les enfants... »
« Le roi est captif au Temple et l'élite du clergé français en exil ou à l'Abbaye. Le canon tonnait sur le Pont-Neuf et des écriteaux menaçants proclamaient la Patrie en danger. Alors des hommes inconnus organisèrent le massacre. Un personnage hideux, gigantesque, à longue barbe, était partout où il y avait des prêtres à égorger. « Tiens, leur disait-il avec un ricanement sauvage, voilà pour les Albigeois et les Vaudois ! « VOILA POUR LES TEMPLIERS. Voilà pour la Saint-Barthélemy. Voilà pour les proscrits des Cévennes! »
Et il frappait avec rage, et il frappait avec le sabre, avec le couperet, avec la massue. Les armes se brisaient et se renouvelaient dans ses mains ; il était rouge de sang de la tête aux pieds, sa barbe en était toute collée, et il jurait avec des blasphèmes épouvantables qu'il ne la laverait qu'avec du sang.
« Qui imite un peuple compte dans ses rangs. » [Rapporté par Ahmed (n° 5114), et Abû Dâwûd (n° 4031), selon ‘Abd Allah ibn ‘Omar – qu’Allah les agrée son père et lui –.] Sheïkh el Islâm ibn Taïmiya explique que ce texte renferme implicitement l’interdiction de ressembler aux non-musulmans, bien que si l’on s’en tient à son sens littéral, il va beaucoup plus loin. Il exprime en effet qu’une telle initiative voue (ou amène ndt.) à la mécréance. [Voir : iqtidhâ e-sirât el mustaqîm (1/83).]
D’après ‘Abd Allah ibn ‘Amr, le Messager d’Allah (r) a dit : « Vous allez suivre les usages des enfants d’Israël empan par empan ; même si l’un d’entre eux avait des relations avec sa mère en public, il y en aurait parmi vous pour l’imiter. Les Juifs se sont divisés en soixante et onze sectes, tandis que les chrétiens se sont divisés en soixante douze sectes. Quant à cette communauté, elle va se diviser en soixante-treize sectes ; toutes sont vouées à l’Enfer à l’exception d’une seule.
Laquelle Messager d’Allah, demandèrent son assemblée ?
C’est la voie sur laquelle nous sommes mes Compagnons et moi. »[1]
Selon une version : « Vous allez suivre les usages des enfants d’Israël en marchant sur leurs pas jusque dans le trou d’un gros lézard du désert.
Cher Messager d’Allah, nous sommes-nous interrogés, seraient-ce les Juifs et les chrétiens ?
Qui d’autres, a-t-il confirmé. »[2]
Certains Juifs sont à l’origine de la franc-maçonnerie qui a infiltré le protestantisme pour détruire le catholicisme de la même manière que, chez les musulmans, certains Juifs sont à l’origine de l’ésotérisme fatimide qui a infiltré le chiisme pour détruire le sunnisme. Par ailleurs, les conjurés parmi les Juifs et les penseurs-libres ont infiltré deux autres domaines : le soufisme dont la dérive ultra donnera la gnostique qui se manifeste à travers le monisme panthéisme, et la théologie spéculative. Chez les chrétiens, ces mêmes conjurés ont infiltrés le protestantisme, nous l’avons vu, mais aussi la mystique, et la scolastique.
Les théologiens du kalâm, les scolastiques, les penseurs libres, et les gnostiques (franc-maçons et fatimides) se réfèrent tous à la logique néo-platonicienne, aristotélicienne, ou péripatéticienne, mais, pour les uns en vue d’établir le monothéisme, avec sa version dégradé de la Trinité chez les chrétiens, et pour les autres en vue de justifier leur déisme.
La scolastique va rivaliser avec la franc-maçonnerie, de la même manière que la théologie spéculative va rivaliser avec les libres-penseurs affiliés à l’islam, et le gnosticisme fatimide. En opposition au déterminisme de leurs opposants idéologiques, les rationalistes musulmans, qui intègrent l’ensemble de la théologie spéculative, adhèrent au libre-arbitre que l’on retrouve chez les protestants et les franc-maçons ; cette perception extensive du livre-arbitre accouchera des courants de pensée modernes tels que l’humanisme qui débouchera sur le libéralisme et le libertinage ; la trilogie maçonnique : liberté, égalité, fraternité n’en est qu’une manifestation.
À l’époque moderne, dans les pas des sociétés européennes, les mouvements islamiques d’émancipation s’imaginent à l’étape de « Renaissance » qui devrait aboutir sur le siècle des Lumières (maçonniques) sous le couvert de la religion.
Aujourd’hui, pour lutter contre le wahhabisme (même s’il utilise l’un de ses dérivés au service du « terrorisme »), l’Occident, à l’image de la France, encourage le soufisme – qui représenterait l’islam traditionnel incarné par la Mosquée de Paris issue de l’ère colonialiste – le néo-rationalisme avec son représentant déchu, l’internationaliste Tarik Ramadan à qui Juda vient d’offrir un baiser, et, peut-être de façon plus sournoise, le chiisme révolutionnaire. Il s’agit de remodeler le paysage islamique français en distribuant de nouvelles cartes au gré d’une conjoncture changeante.
Annexe
« On donne ce nom d’Illuminés à ces hommes coupables qui osèrent de nos jours concevoir et même organiser en Allemagne, par la plus criminelle association, l’affreux projet d’éteindre en Europe le christianisme et la souveraineté. »
Joseph de Maistre
Voir : http://www.liberius.net/livres/La_Revol ... 000318.pdf
Maréchal Lyautey tout français doit lire ce livre
Du fond de sa prison, Jacques Molay aurait déjà créé quatre loges-mères : pour l'Orient, tapies ; pour l'Occident, Edimbourg ; pour le Nord, Stockholm, et pour le Midi, Paris (Tomb. de J. Molay, p. a3). Aussitôt après la mort du Grand-Maître, les quatre Loges s'organisent et tous les membres y prêtent serment : a d'exterminer tous les rois et la race des Capétiens, de détruire la puissance du pape, de prêcher la liberté des peuples et de fonder une République Universelle. (id., p. 26)
Il y a encore des catholiques libéraux qui se laissent piper par les formules maçonniques. Ils se réclament de la déclaration des droits de l'homme.
La Révolution, je le répète, est détestable en tout ; elle l'est dans ses excès sanglants, mais elle l’est beaucoup plus dans ses principes, à commencer par les immortels principes de 89.
Sous sa phraséologie pédantesque, la déclaration des droits de l'homme est antichrétienne et par suite antisociale. Elle ignore les droits de Dieu ; elle prétend ouvrir l'ère de la justice et de la vérité, comme si l'Évangile n'existait pas ; elle s'inspire du Contrat social qui est une insanité ; elle n'admet pas d'autre autorité que celle qui émane de la nation et par là même rejette celle de l'Église.
En réalité, la Révolution, contrairement à la thèse libérale, fut dirigée beaucoup plus contre la religion que contre la monarchie. Elle n'attaqua la monarchie que parce que celle-ci était catholique, et pour se faire la main en vue d'une guerre plus formidable contre le christianisme. Les abus de l'ancien régime ne furent pour elle qu'un prétexte. Elle en voulait à Dieu. Elle a été le grand frémissement luciférien, prédit dans l'Écriture, contre le Seigneur et contre son Christ.
STÉPHEN COUBÉ
« L'histoire est le plus souvent un complot contre la vérité. »
« La Révolution est satanique », avait dit, le premier, Joseph de Maistre.
http://www.liberius.net/livres/La_Revol ... 000318.pdf
https://archive.org/stream/lafrancmacon ... 4/mode/2up
Disciples de J.-J. Rousseau, les Conventionnels de 1792 donnèrent pour fondement au nouvel édifice ce principe, que l'homme est bon par nature ; là-dessus, ils élevèrent la trilogie maçonnique : liberté, égalité, fraternité. Liberté à tous et pour tout, puisqu'il n'y en l'homme que de bons instincts ; égalité, parce que, également bons, les hommes ont des droits égaux en tout ; fraternité, ou rupture de toutes les barrières entre individus, familles, nations, pour laisser le genre humain s'embrasser dans une République universelle.
Pie IX, en 1849 : « La Révolution est inspirée par Satan lui-même ; son but est de détruire de fond en comble l'édifice du christianisme, et de reconstruire sur ses ruines l'ordre social du paganisme. »
Léon XIII : « Le dessein suprême de la franc-maçonnerie est de RUINER DE FOND EN COMBLE toute la discipline religieuse et sociale qui est née des institutions chrétiennes, ET DE LUI EN SURSTITUER UNE NOUVELLE façonnée à son idée, et dont les principes fondamentaux et les lois sont empruntés au NATURALISME » Encyclique du 20 avril 1884.
Le secret de la Franc-Maçonnerie consiste en ceci : Tous les hommes sont égaux et libres, tous les hommes sont frères. »
Dans son récent ouvrage, M. Gustave Bord confirme cette manière de voir. D'après lui aussi, la première suggestion lancée dans le monde par la Franc-Maçonnerie pour préparer les voies à la Jérusalem de nouvel ordre, le Temple que les francs-maçons veulent élever sur les ruines de la civilisation chrétienne, ce fut l'idée d'égalité.
L’égalité parfaite ne doit se trouver que dans la liberté totale, dans l'indépendance de chacun, à l'égard de tous, après la rupture définitive des liens sociaux. Plus de maître, plus de magistrats, plus de pontifes ni de souverains ; tous égaux sous le niveau maçonnique, et libres de suivre leurs instincts, — telle était la signification totale des mots : égalité, liberté.
Il n'est pas facile de suggérer à une nation qu'elle doit détruire ses traditions, c'est-à-dire se détruire elle-même. On ne peut atteindre un pareil résultat qu'en procédant par suggestions successives, ménagées avec une extrême habileté et une prodigieuse hypocrisie ; une hypocrisie dont la mesure est donnée par ce fait que la devise liberté, égalité et fraternité qu'on n'a cessé de présenter, tant qu'il s'agissait de séduire la nation, comme une charte d'émancipation et d'universelle félicité, manifesta son venin dès qu'on fut arrivé à dominer cette nation, par la terreur et la guillotine.
http://livres-mystiques.com/partieTEXTE ... tionT1.pdf
Par : Karim Zentici
http://mizab.over-blog.com/
Rapporté par e-Tirmidhî (n° 2641) qui a fait le commentaire suivant : « Ce hadîth est bon et singulier. » ; un autre hadîth-témoin vient le renforcer ; il est rapporté par Mu’âwiya chez Ahmed (n° 16937), et Abû Dâwûd (n° 4597), avec une chaine narrative jugée bonne ; il est rapporté également par Anas ibn Mâlik chez ibn Mâja (n° 3993), avec une chaine narrative jugée potable ; il est enfin rapporté par ‘Awf ibn Mâlik chez ibn Mâja (n° 3992) ; ainsi, en regard de toutes ses chaines narratives, il est considéré authentique.
Rapporté par el Bukhârî (n° 7320) et Muslim (n° 2669), selon Abû Sa’îd el Khudrî (t)
Les religions n'ont pas le monopole de la terreur, loin de là !
Les paléo-Jaccobins DAESHIEN qui acquirent très tôt l’art de la terreur, offrirent à leurs héritiers en poste en Syrie matière à exercer leur philanthropie : « Les brigands, disait-on, arrivent, ils pillent les demeures, incendient les récoltes, égorgent les femmes et les enfants... »
« Le roi est captif au Temple et l'élite du clergé français en exil ou à l'Abbaye. Le canon tonnait sur le Pont-Neuf et des écriteaux menaçants proclamaient la Patrie en danger. Alors des hommes inconnus organisèrent le massacre. Un personnage hideux, gigantesque, à longue barbe, était partout où il y avait des prêtres à égorger. « Tiens, leur disait-il avec un ricanement sauvage, voilà pour les Albigeois et les Vaudois ! « VOILA POUR LES TEMPLIERS. Voilà pour la Saint-Barthélemy. Voilà pour les proscrits des Cévennes! »
Et il frappait avec rage, et il frappait avec le sabre, avec le couperet, avec la massue. Les armes se brisaient et se renouvelaient dans ses mains ; il était rouge de sang de la tête aux pieds, sa barbe en était toute collée, et il jurait avec des blasphèmes épouvantables qu'il ne la laverait qu'avec du sang.