Les djihadistes ont peur
Posté : 31 mars18, 22:24
Les fanatiques de l’islam ne cessent jamais d’avoir peur.
Peur d’un Allah primitif (susceptible, coléreux, jaloux, tyrannique, meurtrier…).
Peur de manger du porc, d’avaler de l’alcool, de fumer, du contact avec une chose non halal (juteux trafic qui sépare dramatiquement les hommes).
Peur des plaisirs de la vie, de l’amusement, des spectacles, de la fête, des plaisanteries, des blagues, de l’humour, de subir des niches.
Peur des animaux de compagnie.
Peur du sport.
Peur de la culture, des arts, des chansons, de la danse, de la littérature, du cinéma, de la télévision, de la peinture, des bandes dessinées, de la sculpture.
Peur de l’inventivité des hommes, de l’intelligence féminine, du savoir, de la science, du progrès, des nouveautés.
Peur moyenâgeuse du mauvais œil, des envoûtements, des maléfices, des sortilèges, des djinns, des succubes, des incubes, des goules, des éfrits (dont ils se défendent avec divers talismans, amulettes, grigris). Ces trouilles obscurantistes les prédisposent à gober n’importe quelle fantasmagorie de l’islam délirant (Coran incréé, cheval volant, houris à virginité renouvelée…).
Peur d’une damnation éternelle (Allah n’est pas pervers), d’un enfer aux supplices d’inspiration pathologique (le système karmique est son équivalent, parfaite justice divine), du diable (qui est leur Allah tyrannique), de Lucifer (à ne pas confondre avec le diable, il intensifie les tourments d’une prochaine réincarnation du djihadiste).
Peur de perdre la solde du califat.
Peur d’être rayé des «élus» (Allah n’avantage aucune tribu, Il ne fait jamais de favoritisme).
Peur d’un impossible retour à leur «âge d’or» (qui fut seulement l’époque sanguinaire où ils avaient la supériorité guerrière), d’une impossible réapparition de l’éden d’Adam sur terre (en moralité, il n’y a jamais eu d’«âge d’or»), d’une impossible arrivée du «jugement dernier» (qui n’existera jamais), d’un impossible avènement de leur «fin des temps» (fonds de commerce sectaire), d’une impossible survenue d’apocalypse d’hallucinés.
Peur de courroucer leur Allah démoniaque en assassinant trop peu d’humains, en ratant des sous-hommes «miséricordieusement» interdits d’exister: athées, apostats, mécréants, hérétiques, infidèles, adultères, opposants, journalistes, caricaturistes, blasphémateurs, penseurs, intellectuels, écrivains, artistes, amuseurs…
Peur d’avoir de la pitié pour une victime (leur Allah diabolique proscrit toute empathie, il veut des machines à tuer, y compris les enfants).
Peur de ne pas exterminer assez vite tous les mécréants du globe: Chinois, Indiens, Africains, Nord-Américains, Sud-Américains, Européens…
Peur des énigmatiques délaissements d’Allah (l’entubage sectaire baptise «tests divins pour éprouver sa foi» la perte du califat, les déroutes successives, etc.).
Peur d’empêchements pour devenir martyr (cette supposée largesse d’Allah est une promesse sans preuves inventée par des religieux escrocs).
Peur d’omettre des obséquiosités faisant mousser le nom d’Allah et celui de Mahomet.
Peur de la philosophie, de la lucidité, de la critique, de l’exercice du libre arbitre.
Peur de la franchise (l’apparence religieuse est exigée, pas le sens moral du musulman).
Peur de l’interrogation métaphysique (l’unicité d’Allah clamée remplace la quête spirituelle du musulman). Peur de l’indépendance d’esprit (Mahomet, prétendument dernier prophète d’Allah, interdit les inspirations inédites des musulmans).
Peur de l’autonomie religieuse (cinq prières imposées par jour évincent l’appréciation personnelle du musulman).
Peur de l’évasion confessionnelle (l’appel aux offrandes dont profitent les mosquées ponctionnent le portefeuille du musulman).
Peur de l’émancipation alimentaire (le ramadan avec l’injonction halal entretiennent l’asservissement des musulmans).
Peur des saints ancêtres (le pèlerinage sur leur terre favoriserait les prières du musulman),
Peur de ne pas accéder au paradis d’un Allah maboul où sont récompensés les criminels.
Peur de la vie (le suicide religieux prouve leur lâcheté devant les épreuves d’une existence terrestre).
Peur que soit appliquée la REFORME PACIFIQUE de l’islam.
Peur d’un Allah primitif (susceptible, coléreux, jaloux, tyrannique, meurtrier…).
Peur de manger du porc, d’avaler de l’alcool, de fumer, du contact avec une chose non halal (juteux trafic qui sépare dramatiquement les hommes).
Peur des plaisirs de la vie, de l’amusement, des spectacles, de la fête, des plaisanteries, des blagues, de l’humour, de subir des niches.
Peur des animaux de compagnie.
Peur du sport.
Peur de la culture, des arts, des chansons, de la danse, de la littérature, du cinéma, de la télévision, de la peinture, des bandes dessinées, de la sculpture.
Peur de l’inventivité des hommes, de l’intelligence féminine, du savoir, de la science, du progrès, des nouveautés.
Peur moyenâgeuse du mauvais œil, des envoûtements, des maléfices, des sortilèges, des djinns, des succubes, des incubes, des goules, des éfrits (dont ils se défendent avec divers talismans, amulettes, grigris). Ces trouilles obscurantistes les prédisposent à gober n’importe quelle fantasmagorie de l’islam délirant (Coran incréé, cheval volant, houris à virginité renouvelée…).
Peur d’une damnation éternelle (Allah n’est pas pervers), d’un enfer aux supplices d’inspiration pathologique (le système karmique est son équivalent, parfaite justice divine), du diable (qui est leur Allah tyrannique), de Lucifer (à ne pas confondre avec le diable, il intensifie les tourments d’une prochaine réincarnation du djihadiste).
Peur de perdre la solde du califat.
Peur d’être rayé des «élus» (Allah n’avantage aucune tribu, Il ne fait jamais de favoritisme).
Peur d’un impossible retour à leur «âge d’or» (qui fut seulement l’époque sanguinaire où ils avaient la supériorité guerrière), d’une impossible réapparition de l’éden d’Adam sur terre (en moralité, il n’y a jamais eu d’«âge d’or»), d’une impossible arrivée du «jugement dernier» (qui n’existera jamais), d’un impossible avènement de leur «fin des temps» (fonds de commerce sectaire), d’une impossible survenue d’apocalypse d’hallucinés.
Peur de courroucer leur Allah démoniaque en assassinant trop peu d’humains, en ratant des sous-hommes «miséricordieusement» interdits d’exister: athées, apostats, mécréants, hérétiques, infidèles, adultères, opposants, journalistes, caricaturistes, blasphémateurs, penseurs, intellectuels, écrivains, artistes, amuseurs…
Peur d’avoir de la pitié pour une victime (leur Allah diabolique proscrit toute empathie, il veut des machines à tuer, y compris les enfants).
Peur de ne pas exterminer assez vite tous les mécréants du globe: Chinois, Indiens, Africains, Nord-Américains, Sud-Américains, Européens…
Peur des énigmatiques délaissements d’Allah (l’entubage sectaire baptise «tests divins pour éprouver sa foi» la perte du califat, les déroutes successives, etc.).
Peur d’empêchements pour devenir martyr (cette supposée largesse d’Allah est une promesse sans preuves inventée par des religieux escrocs).
Peur d’omettre des obséquiosités faisant mousser le nom d’Allah et celui de Mahomet.
Peur de la philosophie, de la lucidité, de la critique, de l’exercice du libre arbitre.
Peur de la franchise (l’apparence religieuse est exigée, pas le sens moral du musulman).
Peur de l’interrogation métaphysique (l’unicité d’Allah clamée remplace la quête spirituelle du musulman). Peur de l’indépendance d’esprit (Mahomet, prétendument dernier prophète d’Allah, interdit les inspirations inédites des musulmans).
Peur de l’autonomie religieuse (cinq prières imposées par jour évincent l’appréciation personnelle du musulman).
Peur de l’évasion confessionnelle (l’appel aux offrandes dont profitent les mosquées ponctionnent le portefeuille du musulman).
Peur de l’émancipation alimentaire (le ramadan avec l’injonction halal entretiennent l’asservissement des musulmans).
Peur des saints ancêtres (le pèlerinage sur leur terre favoriserait les prières du musulman),
Peur de ne pas accéder au paradis d’un Allah maboul où sont récompensés les criminels.
Peur de la vie (le suicide religieux prouve leur lâcheté devant les épreuves d’une existence terrestre).
Peur que soit appliquée la REFORME PACIFIQUE de l’islam.