En relisant encore et encore le livre de Job car je ne comprenais pas, je me suis mis à imaginer les couches successives de la création.
Job aussi a souffert, frappé d’un ulcère malin, depuis la plante du pied jusqu’au sommet de la tête. Job souffrait le martyr. C’était la punition que lui avait infligée satan. L’Eternel pouvait-il répondre à Job du milieu de la tempête par des propos désordonnés. L’Eternel n’a-t-il donc aucune maitrise de lui aussi violents puissent être les assauts venus de l’extérieur. Peut-il parler d’un sujet, passer à un autre, revenir au premier sans qu’il y ait de cohérence. Non, moi je crois au contraire que l’Eternel sait ce qu’il dit et qu’il ne saute pas du coq à l’âne sans qu’il y ait un sens certain. La justice de l’Eternel est plus droite qu’une droite. Job avait beaucoup souffert, l’Eternel lui devait une vérité. Il est ainsi, il sait récompenser les attitudes fidèles. L’Eternel va petit à petit agrandir le cercle de la création pour nous faire connaître une vérité essentielle. L’Eternel a dit, je t’interrogerai et tu m’instruiras. L’Eternel, c’est le vouloir et le faire. Il a voulu dire, je t’interrogerai et je t’instruirai. Il commence par dire, où étais tu quand je fondais la terre ? Il répondra bientôt à cette question. Nous pourrions nous demander, mais de quelle terre parle l’Eternel ? Nous parle-t-il de la terre sur laquelle nous marchons, peut être. Il poursuit en disant, alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse. Nous sommes sortis de la terre et à un moment donné, nous nous sommes retrouvés au beau milieu de l’univers parmi les étoiles. Il poursuit et dit, et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? Là, nous apprenons que les anges poussent des cris de joie. Ils sont heureux d’entendre l’Eternel parler, dire des vérités. Ne vous fiez pas aux apparences, un cri venant d’un ange est une langue complexe que même l’imagination ne saurait comprendre même si on la lui expliquait. Je reviens un peu en arrière car même pour le plus petit des anges le temps n’existe plus. Il est dit, alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse et que les fils de Dieu poussaient des cris de joie. Nous avons quitté l’étoile du matin, celle qui se trouve à la périphérie et nous nous sommes enfoncés dans le noir, là où l’étoile du matin a disparue. Nous sommes dans l’univers, loin de notre terre, mais aussi loin de la dernière étoile du matin. L’Eternel veut emmener Job à la vérité et répondre à la toute première question, où étais tu quand je fondais la terre ? Et pour cela l’Eternel va emmener Job en voyage, loin, aussi loin qu’il peut ou qu’il doit pour lui faire connaître son origine. L’Eternel nous a emmenés là où il faudrait des milliards d’années à la lumière pour y arriver, en terre inconnue. L’Eternel poursuit son voyage ou plutôt avec une question, qui a fermé la mer avec ses portes. Nous avons dépassé l’univers sombre et découvrons qu’il existe une mer avec des portes comme un palais, demeure d’un dieu. Le grand Poséidon y aurait-t-il sa demeure. Peut être même que cette mer, c’est le corps du grand dieu grec Poséidon. Il nous observe. Pas uniquement nous, mais l’univers tout entier. La pensée de l’apôtre Paul devient plus clair, premièrement les juifs, puis les grecs. Quand elle s’élança du sein maternel, oui cette mer aussi, a une origine. Elle n’était pas puis elle est née. Mais où veut nous emmener l’Eternel. Il vient de concevoir un dieu olympien et il n’a toujours pas répondu à la question. Pourquoi tant de mystère. Dis-nous enfin la vérité, serions-nous tentés de dire. Un peu de patience car Dieu est lent à la colère. Il sait attendre patiemment que le méchant se détourne de sa mauvaise conduite pour avoir le bonheur de le féliciter. Quand je fis de la nuée son vêtement et de l’obscurité ses langes. Quel vêtement mystérieux. Poséidon n’était pas parfait, juste, à ses débuts, comme l’Eternel ai-je envi de dire. Une certaine part d’obscurité l’habitait. Serait-t-il devenu meilleur avec le temps, au point de parvenir à la perfection. N’oubliant pas que Jésus, le Fils de Dieu s’est livré lui-même en sacrifice pour nous affranchir et nous rendre libre. Quand je lui imposai ma loi, quand je dis, tu viendras jusqu’ici, tu n’iras pas au delà. Ici s’arrêtera l’orgueil de tes flots. La loi de Dieu, c’est l’Esprit, c’est la Vie. Sa turbulence l’aurait-t-elle fait oublier qu’il existe un créateur. Serait-il devenu aveugle au point de nier qu’il existe un Dieu encore plus grand qui se serait fait l’esclave de tous en venant sur notre terre. L’Eternel a excité ma curiosité jusqu’à me demander, que fait Poséidon ? Devons nous attendre quelque chose de lui. Moi, je préfère m’en remettre à la Bible et au Christ. Depuis que tu existes, as-tu commandé au matin ? As-tu montré sa place à l’aurore, pour qu’elle saisisse les extrémités de la terre et que les méchants en soient secoués ? L’Eternel agrandi la création au point de nous faire découvrir un nouveau matin, une nouvelle aurore et une nouvelle terre avec ses extrémités. Ceux qui y habitent seraient-ils méchants jusqu’à en être secoués ? J’imagine ces êtres. Mais quelle taille ont-ils ? Au moins celle d’une galaxie aussi petite soit-elle vue de notre terre, ou peut être même la taille d’une constellation. Ont-ils un rôle à jouer ici bas ? Sont-ils heureux, sont-ils malheureux ? Sont-ils prisonniers de leur existence tout comme certains d’entre nous pensent l’être ? Pour que les méchants soient privés de leur lumière. Cette lumière dont l’Eternel parle, ne serait-ce pas l’ensemble de ces dieux selon la mythologie grecque. Tous ces êtres ont-ils été créés pour nous venir en aide et marquer dans le ciel la trace de leur existence. N’est-ce pas à nous d’aider les plus faibles. N’est-ce pas à eux d’aider les plus faibles. Quoi qu’il en soit, l’Eternel nous parle d’orgueil et de méchanceté. Quel périlleux voyage. Job a-t-il les reins assez solides pour encaisser la destinée du voyage comme le lui demande l’Eternel, ceins tes reins comme un vaillant homme. A partir de ce moment du voyage, les questions vont s’enchainer sans explication comme pour dire que les plus à même de nous aider en sont incapables. Sont-ils soumis à des forces obscures qu’ils ne peuvent décrypter, auxquelles, il leur est impossible de se soustraire ? As-tu pénétré jusqu’aux sources de la mer ? L’Eternel abandonne ce monde plus qu’imaginaire à nos yeux et file tout droit encore plus loin vers une autre mer. Qui l’habite ou tout simplement qui est-elle ? Ne serait-ce pas tout simplement le frère de Poséidon, Zeus, le dieu des dieux, perché au dessus du monde. L’Eternel ne s’attarde pas, il nous emmène au delà. T’es-tu promené dans les profondeurs de l’abime ? Les portes de la mort t’ont-elles été ouvertes ? As-tu vu les portes de l’ombre de la mort ? Trois questions qui résument toute la naissance de la mythologie grecque. Pour cette civilisation, le chaos a existé en tout premier. Nous, nous pouvons le comparer à l’ombre de la mort. Cette même civilisation nous dit que le chaos s’est dédoublé pour former la nuit. Nous, nous pouvons la comparer à la mort. De cette union est né Erèbes, les ténèbres. La Bible nous dit dans la genèse que les ténèbres couvraient l’abime. Cet abime, ne serait-ce pas Hadès, un autre frère de Poséidon, le dieu des enfers, ayant sa demeure au dessus de celle de Zeus, comme empêché par ce dernier de descendre affoler les habitants mystérieux du dessous. L’Eternel reste bien silencieux quant à ces demeures célestes. L’apocalypse de Jean dit, la mer rendit les morts qui étaient en elle, la mort et l’Hadès rendirent les morts qui étaient en eux et chacun fut jugé selon ses œuvres. Puis la mort et l’Hadès furent jetés dans l’étang de feu. C’est la seconde mort, l’étang de feu. Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l’étang de feu. Ce voyage qui au début paraissait mystérieux et apaisant se révèle être à ce stade bien amer. Qui a réellement envi de monter aussi haut ? Ces mondes supérieurs sont destinés à être engloutis par la Justice, par la Vérité. Nous n’avons qu’un pal reflet de ce qui se trame au dessus de notre imagination, qui peut être réelle si on en croit la Bible. L’Eternel n’en a pas fini, il a encore des choses à dire à job. As-tu embrassé du regard l’étendu de la terre. Quoi, après le chaos des grecs, ici l’ombre de la mort, il y aurait encore une terre. Ne serait-ce pas l’éden, le jardin de dieu planté du coté de l’orient. Cet éden ou vivait Adam avec au milieu l’arbre de la vie et l’arbre de la connaissance du bien et du mal. C’est ici que l’antique serpent satan a fait son apparition dans la Bible. Parle si tu sais toutes ces choses. L’Eternel sait très bien qu’Adam a péché, que satan a pris le contrôle de son esprit et que de ce fait Job est incapable de parler. L’Eternel n’en a pas fini de nous étonner et pousse le voyage de l’origine au delà des frontières du jardin. Où est le chemin qui conduit au séjour de la lumière ? Certaines traditions ont repris les travaux d’Abraham qui avait défini neuf systèmes. Ces traditions les ont appelés chœurs angéliques, les séraphins, les chérubins, les trônes, les dominations, les puissances, les vertus, les principautés, les archanges et les anges. Et les ténèbres, où ont- elles leur demeure ? satan viendrait-il des ténèbres ? La Bible nous dit que la lumière luit dans les ténèbres. Le chapitre 1 de la genèse dit que Dieu sépara la lumière des ténèbres, qu’il appela la lumière jour et les ténèbres nuit. Il appela la lumière vérité et les ténèbres mensonge. satan était-il un sujet ou plutôt le maître de Lucifer comme je le pense, un prince de lumière. L’Eternel demande à Ezéchiel de prononcer une complainte contre le roi du Tyr. Tu mettais le sceau à la perfection. Tu étais plein de sagesse, parfait en beauté. Tu étais en éden, le jardin de Dieu. Tu étais un chérubin protecteur, aux ailes déployées. Je t’avais placé et tu étais sur la sainte montagne de Dieu. Tu as été intègre dans tes voies depuis le jour ou tu fus créé jusqu’à celui où l’iniquité a été trouvé en toi. Je te précipite de la montagne de Dieu et je te fais disparaître chérubin protecteur. Ton cœur s’est élevé à cause de ta beauté. Je te livre en spectacle aux rois. Je fais sortir de toi un feu qui te dévore. Tu es réduit à rien, tu ne seras plus à jamais. La justice de l’Eternel est intraitable. Il pose une dernière question à Job comme voulant absolument croire en la justice, que le mal se repente ou plutôt que le mensonge se fasse jour. Peux-tu les saisir à leur limite et connaître le sentier de leur habitation ? L’Eternel a fait le tour de la création. Il est parti d’en bas et il est remonté tout en haut au dessus de la lumière et des ténèbres pour enfin répondre à Job. Tu le sais, car alors tu étais né et le nombre de tes jours est grand. Il n’est pas étonnant de remarquer que satan soit démasqué dans le livre de Job. Une vérité, ou plutôt une question nous vient à l’esprit, Job est-il le frère du Seigneur Jésus.
Dans la suite, l’Eternel va prendre le chemin inverse. Es-tu parvenu jusqu’aux amas de neige ? As-tu vu les dépôts de grêles que je tiens en réserve pour les jours de détresse, pour les jours de guerre et de bataille ? L’Eternel parle de lui et a sa manière bien à lui de nous faire comprendre ce qu’il ressent. Avons-nous conscience de ses grosses larmes pleine de tristesse qu’il nous réserve pour les temps difficiles. Par quel chemin la lumière se divise-t-elle ? L’Eternel passe sur les ténèbres. satan existait déjà et il incarne le mal, pire le mensonge soit peut-être l’impossibilité de faire demi-tour. Pourtant des fois, je crie satan, prosterne-toi devant le trône de la grâce, et il me répond alléluia. Tu te rends compte que si lui et ses démons nous abandonnaient, nous laissant seul sans pouvoir exprimer le moindre mot, nous aurions tous besoin de Dieu et de son Esprit Saint. En attendant, les démons sont là et ils ont besoin d’un cœur, d’une âme, la notre. Et le vent d’orient se répand-il sur la terre ? L’Eternel descend les marches et arrive en Eden. Je sens se perler sur son visage une goutte de nostalgie, du temps où Adam marchait heureux parmi les arbres du jardin. Qui a ouvert un passage à la pluie et tracé la route du tonnerre, pour que la pluie tombe sur une terre sans habitant, sur un désert où il n’y a point d’homme. L’Eternel quitte son jardin pour plonger au cœur du pays de l’ombre de la mort. Qui sont ces ombres qui y vivent ? Peut être que c’est là que la conscience s’éteint. Pour qu’elle abreuve les lieux solitaires et arides et qu’elle fasse germer et sortir l’herbe. Souvenons-nous de la genèse. Là, c’est la terre des démons. Qui a carte blanche pour y entrer, tout le monde ai-je envi de dire mais je ne le souhaite à personne. La pluie a-t-elle un père ? Qui fait naitre les gouttes de la rosée ? Du sein de qui sort la glace et qui enfante le frimas du ciel, pour que les eaux se cachent comme une pierre et que la surface de l’abime soit enchaînée. Il est toujours question d’eau, de larmes. La tristesse de l’Eternel est grande quand il pense à l’Hadès, au séjour des morts. Noues-tu les liens des pléiades, ou détaches-tu les cordages de l’Orion. Fais-tu apparaître en leur temps les signes du zodiaque ? Et conduis-tu la grande Ourse avec ses petits ? Connais-tu les lois du ciel. Règles-tu son pouvoir sur la terre ? L’Eternel continue sa descente et se rapproche de notre terre en nous disant qu’il y a peut-être des signes là haut qu’il faut interpréter, peut-être. Elèves-tu la voix jusqu’aux nuées, pour apporter les torrents d’eaux ? Lances-tu les éclairs ? Partent-ils ? Te disent-ils, nous voici ? L’Eternel a atteint la terre et nous sommes encore loin de maitriser les éléments tels que la pluie et le tonnerre. Nous sommes à peine capables de prévoir le temps qu’il fera dans deux semaines. Qui a mis la sagesse dans le cœur. L’Eternel descend du ciel et pénètre l’homme. Qui a mis la sagesse dans l’âme. Qui a donné l’intelligence à l’esprit. Qui a donné l’intelligence au vide. Qui peut avec sagesse compter les nuages et verser les outres des cieux pour que la poussière se mette à ruisseler et que les mottes de terre se collent ensemble. L’Eternel est arrivé à destination. Il a formé Adam à partir de la terre. J’imagine le bébé dans le ventre de la maman qui se forme petit à petit. Dans une autre version de la Bible, il est dit, qui a mis dans l’ibis la sagesse et donné au coq l’intelligence. Ne serait-ce pas Thot, le dieu ibis égyptien. En d’autres termes, n’avons-nous ici-bas sur notre terre ou plutôt sous terre que la possibilité d’avoir un cœur sage ou une âme de dieu et une intelligence de coq. Si nous avions le choix, que choisir, la sagesse ou l’intelligence. Jésus Christ a dit dans Mathieu chapitre 20 verset 26, celui qui voudra devenir grand parmi vous, sera votre serviteur, et celui qui voudra être le premier d’entre vous, sera votre esclave. Nous sommes composes à 60% d’eau. En somme nous ne sommes que des atomes. Crois-tu sérieusement qu’un atome soit capable de penser. Moi je pense que l’Eternel sait ce qu’il dit.
J’imagine la carte de la création ainsi, le corps céleste en bleu, la vitre en rouge, et la Sainte Cène en vert
Y Eaux Séraphins, yes, le oui de Dieu, l’épaule de Jésus Christ
X Ciel, l’aisselle de Jésus Christ
W Ciel eaux Chérubins, le bras de Jésus Christ, il fit sortir Israël d’Egypte à bras étendu
V Ciel, le coude de Jésus Christ
U Ciel ciel eaux Trônes, l’avant-bras de Jésus Christ
T Ciel, le poignet de Jésus Christ
S Ciel ciel ciel eaux Dominations, la main de Jésus Christ
R Ciel, la paume et le dos de la main de Jésus Christ
Q Ciel ciel ciel ciel Puissances, pas par ma puissance mais par mon esprit, les doigts de Jésus Christ
P Ciel, partie entre les doigts et la tête de Jésus Christ
O Ciel ciel ciel mer Vertus, la tête de Jésus Christ
N Etoiles dans la ténèbre, partie entre la tête et le cou de Jésus Christ
M Terre de bouddha, le cou de Jésus Christ
L Ciel, partie entre le coup et le tronc de Jésus Christ
K Ciel ciel mer Principautés, le tronc de Jésus Christ
J Etoiles dans la ténèbre, le rein de Jésus Christ
I Terre subtile, le sein d’Abraham, les parties génitales de Jésus Christ
H Ciel, l’aine de Jésus Christ
G Ciel mer Archanges, seigneur des seigneurs, la cuisse de Jésus Christ
F Etoiles dans la ténèbre, le genou de Jésus Christ
E Terre Totem, les mollets de Jésus Christ
D Ciel, la cheville de Jésus Christ
C Mer Anges, le pied de Jésus Christ
B Etoiles dans la ténèbre, partie entre le pied et les doigts de pied de Jésus Christ
A Terre Eden à l’orient où vivaient Adam et Eve, les doigts de pied de Jésus Christ
Ombre de la mort
La mort
Abime ou Hadès des païens
Mer Zeus
Étoiles
Terre où est descendu Adam quand il a péché et où a vécu Noé
Mer Poséidon
Univers dans le temps et notre terre Nod, et l’homme, esprit, âme et corps
Les scientifiques disent que l’univers est comparable à une feuille de papier. Au regard de cette carte, la planète paraît toute petite. L’univers tout entier parait une poussière dans la main de l’Eternel, et dire que Jésus Christ nous a tiré de la boue du péché pour nous attirer à son admirable lumière, quel merveilleux don. Sans l’amour, la connaissance absolue de Christ et sans l’intelligence, la compréhension de l’Esprit Saint, nous ne sommes rien. Première épitre aux corinthiens chapitre 14 verset 2 et 4, car celui qui parle en langue ne parle pas aux hommes, mais à Dieu, personne en effet ne comprend, il dit en esprit des choses mystérieuses. Celui qui parle en langue s’édifie lui-même, celui qui prophétise édifie l’assemblée. Ce que j’ai compris du monde, c’est qu’il y a des gens qui sont incapables de parler, et d’autres qui sont à peine capables de parler, et que devant ce handicap, il faut tout de même parler au plus grand nombre. L’Esprit Saint fait une petite place à notre esprit pour qu’il puisse parler librement à Dieu, pour notre édification personnelle. Première épitre aux corinthiens chapitre 14 verset 5, je voudrais, certes, que vous parliez tous en langue…Première épitre aux corinthiens chapitre 1 verset 26, aussi frères considérez votre appel, il n’y a pas beaucoup de sages selon la chair, pas beaucoup de puissants, pas beaucoup de gens bien nés. Première épitre aux corinthiens chapitre 3 verset 18, que nul ne se dupe lui-même. Si quelqu’un parmi vous croit être sage à la façon de ce monde, qu’il se fasse fou pour devenir sage. Première épitre aux corinthiens chapitre 1 verset 28, ce qui dans le monde est sans naissance et ce que l’on méprise, voilà ce que Dieu a choisi, ce qui n’est pas, pour réduire à rien ce qui est. L’anagramme d’esprit ne serait-il pas tripes, ce qui vient de l’intérieur, du plus profond de nous même ? Devons-nous avoir peur ? Psaume 127, si l’Eternel ne bâtit la maison, ceux qui la bâtissent travaillent en vain, si l’Eternel ne garde la ville, celui qui la garde veille en vain. En vain vous vous levez de bon matin, vous vous couchez tard, et vous mangez le pain de douleur, il en donne autant à ses bien aimés pendant leur sommeil. Jésus Christ rempli notre âme de sa connaissance la nuit, lorsque durant la journée nous lisons la Bible. Pourquoi ne pouvons-nous pas profiter de toute cette connaissance ? Jésus Christ est-il de ce monde ? A quoi nous sert toute cette connaissance si nous ne pouvons la saisir ? Verset 5, heureux l’homme qui en a rempli son carquois ! Il ne sera pas confus, quand ses fils parleront avec des ennemis à la porte.
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