A tous ceux qui suive le combat entre Logos et Agecanonix
Posté : 04 sept.18, 00:35
Comme moi, vous devez être tristes de les voir se disputer sur ce le salut que Jésus est venu nous donner ; alors que tous 2 se plantent totalement dans leur compréhension du salut "par la fois seulement" pour Logos ; "par la foi et les oeuvres", pour Agecanonix.
J'aimerai rebondir sur ce qu'a écrit dans son dernier message, Logos :
"En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle." (Jean 6, 47)
Cette Parole de Jésus, elle se trouve dans ce qu'on appelle "le discours sur le Pain de Vie".
Ce qui veut dire que "celui qui croit en Jésus", c'est "celui qui le croit, quand il nous parle des oeuvres que nous devons accomplir" pour posséder cette Vie éternelle, dont il est porteur, en Lui-même, à l'image de Dieu son Père.
Replaçons ce discours dans son contexte.
Jésus quelques heures avant, a multiplié les pains, il a nourrie la foule. C'est alors que cette foule, reconnaît en Lui, le prophète qui devait venir :
"Ces hommes ayant vu le miracle que Jésus avait fait, disaient: "Celui-ci est vraiment le Prophète qui doit venir dans le monde." Sachant donc qu'ils allaient venir l'enlever pour le faire roi, Jésus se retira de nouveau, seul, sur la montagne. (Jean 6, 14-15)
"Le soir venu, les disciples descendirent au bord de la mer; étant montés dans une barque, ils traversaient la mer dans la direction de Capharnaüm. Il faisait déjà nuit, et Jésus ne les avait pas encore rejoints. Cependant la mer soulevée par un grand vent, était agitée. Quand ils eurent ramé environ vingt-cinq à trente stades, ils virent Jésus marchant sur la mer et s'approchant de la barque, et ils eurent peur. Mais il leur dit: "C'est moi, ne craignez point." 21 Ils voulurent donc le prendre dans la barque, et aussitôt, la barque se trouva au lieu où ils allaient. (Jean 6, 16-21)
C'est alors que cette foule, et d'autres personnes venues de Tibériade, après sans doute avoir entendu parler de la multiplication des pains, s'appercevant que Jésus est parti sur Capharnaüm, vont s'en aller jusqu'à ce village, pour "chercher Jésus" et sans doute, le ramener chez eux. Ils vont lui demander ce qu'il est venu faire à Capharnaüm ( Jean 6, 22-24)
" Maître, quand êtes-vous venu ici?" (Jean 6-25)
Voici la réponse de Jésus :
" En vérité, en vérité je vous le dis, vous me cherchez, non parce que vous avez vu des miracles, mais parce que vous avez mangé des pains et que vous avez été rassasiés. Travaillez, non pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui demeure pour la vie éternelle, et que le Fils de l'homme vous donnera. Car c'est lui que le Père, Dieu, a marqué d'un sceau." (Jean 6, 26, 27)
En invitant cette foule à TRAVAILLER pour la nourriture qui demeure pour la vie éternelle, Jésus parle bien "d'oeuvres à faire" pour obtenir cette Vie qui demeure en Vie éternelle. Il fait comprendre à la foule, qui pensait recevoir de lui, de nouveau à manger, gratuitement, sans travailler, que pour obtenir cette Vie éternelle, il va falloir qu'il travaille, qu'ils fasses des oeuvres.
C'est alors que la foule va penser à la loi, aux commandements que Dieu avait donné, car ils disent :
"Ils lui dirent: "Que devons-nous faire, pour faire les oeuvres de Dieu?" (Jean 6, 28)
Et Jésus va leur dire quelle est la première oeuvre qu'ils vont devoir faire :
"Voici l'oeuvre que Dieu demande, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé." (Jean 6, 29)
Croie en Jésus, en ce qu'il dit, et faire ce qu'il dit, c'est "la première oeuvre à accomplir".
Mettre sa foi en Jésus, c'est la Porte d'entrée dans la Vie éternelle, qu'il est venu nous apporter ; car Jésus EST LA PORTE d'entrée dans la Vie éternelle, reçue dans son Royaume, le Royaume de Dieu, son Père.
Nombreux sont ceux qui ne vont pas franchir cette Porte (en suivant Jésus), tel ce jeune homme riche, parce que prisonnier de ses biens, dont il n'a pas voulu se débarasser pour suivre Jésus. Nombreux aussi sont ceux, qui après avoir entendu Jésus parler de la deuxième oeuvre que doit accomplir (manger sa chair et boire son sang) afin de recevoir sa Vie éternelle, n'ont pas suivi Jésus.
Beaucoup de ses disciples l'ayant entendu dirent: "Cette parole est dure, et qui peut l'écouter?" Dès ce moment, beaucoup de ses disciples se retirèrent, et ils n'allaient plus avec lui. (Jean 6, 60-66)
Vous voyez donc, qu'on n'est pas sauvé qu'en ayant la foi ; il faut que notre foi, qui est "la confiance" que nous mettons en Jésus, aille jusqu'à le croire, quand il nous dit que pour recevoir la Vie éternelle, il faut manger sa chair et boire son sang.
Combien parmi ceux d'entre vous, qui ont mis en leur foi, acceptent de manger sa chair et boire son sang, qu'il nous donne à manger, chaque dimanche, dans sa Sainte Eglise Catholique, dans les osties consacrées pendant la messe ?
Vous voyez bien que "croire que Jésus nous a sauvé par son sacrifice", en mourrant sur la croix, ne suffit pas. Encore faut-il que nous accueillons son sacrifice de communion, offert avant qu'il ne soit arrêté et crucifié sur la croix ; ce sacrifice offert à ses Apôtres, le jeudi saint.
J'aimerai rebondir sur ce qu'a écrit dans son dernier message, Logos :
Le problème de Logos c'est qu'il ne n'appuie que sur une parole de Jésus qu'il a sorti de son contexte pour la faire coller à sa croyance :Logos a écrit :En revanche, comme je l'ai déjà expliqué un million de fois, un enfant de Dieu ne peut pas cesser d'être un enfant de Dieu. Comme Jésus l'a affirmé, "il est passé de la mort à la vie" et "il ne mourra jamais". C'est clair, net, et précis. Cordialement.
"En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle." (Jean 6, 47)
Cette Parole de Jésus, elle se trouve dans ce qu'on appelle "le discours sur le Pain de Vie".
Ce qui veut dire que "celui qui croit en Jésus", c'est "celui qui le croit, quand il nous parle des oeuvres que nous devons accomplir" pour posséder cette Vie éternelle, dont il est porteur, en Lui-même, à l'image de Dieu son Père.
Replaçons ce discours dans son contexte.
Jésus quelques heures avant, a multiplié les pains, il a nourrie la foule. C'est alors que cette foule, reconnaît en Lui, le prophète qui devait venir :
"Ces hommes ayant vu le miracle que Jésus avait fait, disaient: "Celui-ci est vraiment le Prophète qui doit venir dans le monde." Sachant donc qu'ils allaient venir l'enlever pour le faire roi, Jésus se retira de nouveau, seul, sur la montagne. (Jean 6, 14-15)
"Le soir venu, les disciples descendirent au bord de la mer; étant montés dans une barque, ils traversaient la mer dans la direction de Capharnaüm. Il faisait déjà nuit, et Jésus ne les avait pas encore rejoints. Cependant la mer soulevée par un grand vent, était agitée. Quand ils eurent ramé environ vingt-cinq à trente stades, ils virent Jésus marchant sur la mer et s'approchant de la barque, et ils eurent peur. Mais il leur dit: "C'est moi, ne craignez point." 21 Ils voulurent donc le prendre dans la barque, et aussitôt, la barque se trouva au lieu où ils allaient. (Jean 6, 16-21)
C'est alors que cette foule, et d'autres personnes venues de Tibériade, après sans doute avoir entendu parler de la multiplication des pains, s'appercevant que Jésus est parti sur Capharnaüm, vont s'en aller jusqu'à ce village, pour "chercher Jésus" et sans doute, le ramener chez eux. Ils vont lui demander ce qu'il est venu faire à Capharnaüm ( Jean 6, 22-24)
" Maître, quand êtes-vous venu ici?" (Jean 6-25)
Voici la réponse de Jésus :
" En vérité, en vérité je vous le dis, vous me cherchez, non parce que vous avez vu des miracles, mais parce que vous avez mangé des pains et que vous avez été rassasiés. Travaillez, non pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui demeure pour la vie éternelle, et que le Fils de l'homme vous donnera. Car c'est lui que le Père, Dieu, a marqué d'un sceau." (Jean 6, 26, 27)
En invitant cette foule à TRAVAILLER pour la nourriture qui demeure pour la vie éternelle, Jésus parle bien "d'oeuvres à faire" pour obtenir cette Vie qui demeure en Vie éternelle. Il fait comprendre à la foule, qui pensait recevoir de lui, de nouveau à manger, gratuitement, sans travailler, que pour obtenir cette Vie éternelle, il va falloir qu'il travaille, qu'ils fasses des oeuvres.
C'est alors que la foule va penser à la loi, aux commandements que Dieu avait donné, car ils disent :
"Ils lui dirent: "Que devons-nous faire, pour faire les oeuvres de Dieu?" (Jean 6, 28)
Et Jésus va leur dire quelle est la première oeuvre qu'ils vont devoir faire :
"Voici l'oeuvre que Dieu demande, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé." (Jean 6, 29)
Croie en Jésus, en ce qu'il dit, et faire ce qu'il dit, c'est "la première oeuvre à accomplir".
Mettre sa foi en Jésus, c'est la Porte d'entrée dans la Vie éternelle, qu'il est venu nous apporter ; car Jésus EST LA PORTE d'entrée dans la Vie éternelle, reçue dans son Royaume, le Royaume de Dieu, son Père.
Nombreux sont ceux qui ne vont pas franchir cette Porte (en suivant Jésus), tel ce jeune homme riche, parce que prisonnier de ses biens, dont il n'a pas voulu se débarasser pour suivre Jésus. Nombreux aussi sont ceux, qui après avoir entendu Jésus parler de la deuxième oeuvre que doit accomplir (manger sa chair et boire son sang) afin de recevoir sa Vie éternelle, n'ont pas suivi Jésus.
Beaucoup de ses disciples l'ayant entendu dirent: "Cette parole est dure, et qui peut l'écouter?" Dès ce moment, beaucoup de ses disciples se retirèrent, et ils n'allaient plus avec lui. (Jean 6, 60-66)
Vous voyez donc, qu'on n'est pas sauvé qu'en ayant la foi ; il faut que notre foi, qui est "la confiance" que nous mettons en Jésus, aille jusqu'à le croire, quand il nous dit que pour recevoir la Vie éternelle, il faut manger sa chair et boire son sang.
Combien parmi ceux d'entre vous, qui ont mis en leur foi, acceptent de manger sa chair et boire son sang, qu'il nous donne à manger, chaque dimanche, dans sa Sainte Eglise Catholique, dans les osties consacrées pendant la messe ?
Vous voyez bien que "croire que Jésus nous a sauvé par son sacrifice", en mourrant sur la croix, ne suffit pas. Encore faut-il que nous accueillons son sacrifice de communion, offert avant qu'il ne soit arrêté et crucifié sur la croix ; ce sacrifice offert à ses Apôtres, le jeudi saint.