Notion de création et d'enfer, bonté de Dieu?
Posté : 22 sept.18, 08:30
Bonjour tout le monde,
Je m'appelle François et j'ai arrêté de boire depuis...
Nan en vrai j'ai pas arrêté.
Je suis là parce que les débats sur la religion m'intéressent depuis toujours.
Elevé dans la religion catholique, je m'en suis (plus) qu'éloigné.
Je ne peux pas me dire athée. Sans doute agnostique.
Ceux qui ont été élevés de la sorte vont sans doute comprendre lorsque je dis que, quelquefois, on se sent à côté de la plaque.
Bon, ça a peut-être déjà été traité.
Sais pas.
Y a quand même pas mal de sujets à lire, et je vous avoue que je ne vais pas tout lire pour savoir si je peux ou non traiter de la question.
Alors Dieu, est-il bon? Lorsque l'on voit comme la nature est belle, certes, mais ô combien cruelle?
L'enfer existe-t-il? Sachant qu'une punition éternelle semble bien dure face à une existence très éphémère à l'échelle universelle?
Je développe un peu :
Concernant l'enfer et le paradis : la signification la plus logique de notre devenir dans l'au-delà serait pour moi celle-ci : on se retrouve dans un état "psychique" (si on peut dire) identique à celui dans lequel on se trouve lorsqu'on meurt. Si on est fermé, fermé on reste, et réciproquement.
Il est très difficile de changer d"état" en fin de vie, nous sommes ce que nous sommes. Parait qu'il y en a qui y sont arrivés.
Comme le temps n'existerait pas au-delà, il n'y a pas de question d'éternité, mais de ce que nous sommes, tout simplement, figés "pour toujours", ceci n'ayant pas une grande signification hors du temps.
Mais brrrr quand même...
Bref, comme disait Pépin, il y a plusieurs questions qui me turlupinent.
La première question que je me pose, déjà, est celle-ci : n'ayant pas demandé à naître (à ma connaissance, mais on sait pas tout), où est la justice si on m'impose une vie de souffrance éternelle en raison de mes actes temporaires, dus, certes à ma personne, mais d'abord à une existence non moins temporaire mais surtout non réclamée?
La deuxième : une phrase d'Hitler (désolé) : "la nature est cruelle, nous avons donc le droit de l'être aussi".
Je ne dis pas qu'il avait raison sur la deuxième partie de sa phrase.
Mais la première est juste (mon prénom, c'est François, pas Juste).
Mais comment donc un Dieu bon peut imaginer une nature dont les membres ne peuvent survivre qu'en dévorant ce qui est vivant autour d'eux?
Si l'on observe cette nature, c'est l'esprit de corps qui demeure, l'esprit guerrier, seule compte la survie de l'espèce, et tant pis pour ceux qui ne suivent pas.
Suffit de jeter un oeil sur l'organisation (au demeurant fabuleuse) des fourmis pour se rendre compte de la cruauté de notre mère Nature.
On peut me répondre que l'homme n'est pas un insecte.
Mais même, ça me chatouille ...
Sais pas, je suis bon, je n'imagine pas un truc pareil.
Mais suis pas Dieu (peut-être heureusement pour beaucoup )
La troisième : ne serions nous pas des bienfaiteurs devant l'Eternel si nous supprimions les bébés à la naissance (après les avoir baptisés, cela va de soi)?
Bah oui, ils n'ont pas le temps de faire le mal, donc, paradis direct.
On leur sauve l'Eternité.
Il y en a d'autres, mais je vais m'arrêter là pour ce soir.
C'est sur un ton léger et humoristique que je pose le problème, mais mes questions sont réelles.
Le débat est ouvert, et je suis tout ouïe (vraiment!)
Je m'appelle François et j'ai arrêté de boire depuis...
Nan en vrai j'ai pas arrêté.
Je suis là parce que les débats sur la religion m'intéressent depuis toujours.
Elevé dans la religion catholique, je m'en suis (plus) qu'éloigné.
Je ne peux pas me dire athée. Sans doute agnostique.
Ceux qui ont été élevés de la sorte vont sans doute comprendre lorsque je dis que, quelquefois, on se sent à côté de la plaque.
Bon, ça a peut-être déjà été traité.
Sais pas.
Y a quand même pas mal de sujets à lire, et je vous avoue que je ne vais pas tout lire pour savoir si je peux ou non traiter de la question.
Alors Dieu, est-il bon? Lorsque l'on voit comme la nature est belle, certes, mais ô combien cruelle?
L'enfer existe-t-il? Sachant qu'une punition éternelle semble bien dure face à une existence très éphémère à l'échelle universelle?
Je développe un peu :
Concernant l'enfer et le paradis : la signification la plus logique de notre devenir dans l'au-delà serait pour moi celle-ci : on se retrouve dans un état "psychique" (si on peut dire) identique à celui dans lequel on se trouve lorsqu'on meurt. Si on est fermé, fermé on reste, et réciproquement.
Il est très difficile de changer d"état" en fin de vie, nous sommes ce que nous sommes. Parait qu'il y en a qui y sont arrivés.
Comme le temps n'existerait pas au-delà, il n'y a pas de question d'éternité, mais de ce que nous sommes, tout simplement, figés "pour toujours", ceci n'ayant pas une grande signification hors du temps.
Mais brrrr quand même...
Bref, comme disait Pépin, il y a plusieurs questions qui me turlupinent.
La première question que je me pose, déjà, est celle-ci : n'ayant pas demandé à naître (à ma connaissance, mais on sait pas tout), où est la justice si on m'impose une vie de souffrance éternelle en raison de mes actes temporaires, dus, certes à ma personne, mais d'abord à une existence non moins temporaire mais surtout non réclamée?
La deuxième : une phrase d'Hitler (désolé) : "la nature est cruelle, nous avons donc le droit de l'être aussi".
Je ne dis pas qu'il avait raison sur la deuxième partie de sa phrase.
Mais la première est juste (mon prénom, c'est François, pas Juste).
Mais comment donc un Dieu bon peut imaginer une nature dont les membres ne peuvent survivre qu'en dévorant ce qui est vivant autour d'eux?
Si l'on observe cette nature, c'est l'esprit de corps qui demeure, l'esprit guerrier, seule compte la survie de l'espèce, et tant pis pour ceux qui ne suivent pas.
Suffit de jeter un oeil sur l'organisation (au demeurant fabuleuse) des fourmis pour se rendre compte de la cruauté de notre mère Nature.
On peut me répondre que l'homme n'est pas un insecte.
Mais même, ça me chatouille ...
Sais pas, je suis bon, je n'imagine pas un truc pareil.
Mais suis pas Dieu (peut-être heureusement pour beaucoup )
La troisième : ne serions nous pas des bienfaiteurs devant l'Eternel si nous supprimions les bébés à la naissance (après les avoir baptisés, cela va de soi)?
Bah oui, ils n'ont pas le temps de faire le mal, donc, paradis direct.
On leur sauve l'Eternité.
Il y en a d'autres, mais je vais m'arrêter là pour ce soir.
C'est sur un ton léger et humoristique que je pose le problème, mais mes questions sont réelles.
Le débat est ouvert, et je suis tout ouïe (vraiment!)