"Le nouvel An"
Les festivités du Nouvel An dans le monde sont les mêmes que pour Noël, Halloween, les Pâques et la Saint Valentin – le paganisme !
Janus = Janvier. Les deux visages du Nouvel An
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Les festivités hivernales continuent, et beaucoup de gens s’y engouffrent sans se poser de questions – ne regardant ni à droite, ni à gauche, mais regardant seulement devant eux, vers une période de fêtes, de nourriture, de boissons et de dépenses.
Avec le Nouvel An, ce sera la fin d’une série de célébrations et nous pourrons tous reprendre le cours normal des choses – au moins jusqu’à la Saint Valentin, les Pâques, Mardi gras, etc.
Ah, le Nouvel An, l’époque traditionnelle où l’on regarde devant et derrière. Mais pourquoi ? D’où vient ce concept et pourquoi assiste-t-on à une telle déferlante de célébrations marquant la fin d’une année et le début d’une autre ? Y a-t-il une raison pour laquelle les gens prennent de bonnes résolutions afin de s’améliorer par rapport à l’année écoulée ?
Les réponses pour les festivités du Nouvel An dans le monde sont les mêmes que pour Noël, Halloween, les Pâques et la Saint Valentin – le paganisme ! Une fois encore, pendant le Nouvel An, l’humanité se tourne vers la création au lieu de se tourner vers le Créateur, en établissant ses propres traditions et en ignorant les commandements de Dieu (Matthieu 15 :3-9).
Des milliers de sites Internet et des dizaines de livres montrent que l’observance du Nouvel An remonte aux rites de la fertilité des Babyloniens, associés au printemps et au renouvellement des terres après l’hiver. Il semblerait que les Babyloniens aient été les premiers à prendre des bonnes résolutions au Nouvel An dans le cadre de la divination, pour savoir ce que cette nouvelle année apporterait.
Les Romains adoraient Janus, le dieu des portes, qui avait deux visages.
Les deux visages de Janus regardaient, l’un vers l’avant, l’autre vers l’arrière. En 46 av. J.-C., l’empereur romain Jules César établit le 1er janvier comme le jour de la nouvelle année et il nomma le mois de « janvier » d’après le nom de Janus. Il établit ce mois comme la bonne « porte d’entrée » de l’année.
La tradition d’utiliser un bébé pour symboliser la nouvelle année a commencé en Grèce vers 600 av. J.-C. À cette époque, c’était leur façon d’honorer leur dieu du vin, Dionysos, en promenant un bébé dans un couffin qui représentait la renaissance annuelle de ce dieu en tant qu’esprit de la fertilité (The Golden Bough, Sir James George Fraser, “Dionysus”, chapitre XLIII). Les Égyptiens utilisaient également un bébé comme symbole de la renaissance.
Les premiers Romains croyaient que le vacarme, l’obscénité et l’ivrognerie étaient nécessaires pour célébrer l’arrivé de la nouvelle année. D’après leurs légendes, ils espéraient que de tels comportements séduisent Pan et d’autres dieux malicieux, afin de les empêcher d’interférer dans leurs vies quotidiennes d’êtres mortels pendant l’année à venir.
Les Écossais, célèbrent la fête d’Hogmanay lors du passage à la nouvelle année. Cette célébration trouve son origine dans leur histoire passée, à l’époque des invasions vikings, dans les superstitions et les anciens rites païens. Elle est réputée pour ses excès d’alcool et pour faire la fête jusqu’au petit matin.
Mais, de telles célébrations, faites de scènes d’ivrogneries publiques et de comportements dépravés, sont-elles appropriées pour des personnes raisonnables et posées, en particulier pour celles qui se nomment « chrétiennes » ?
Janus - Le dieu à double face
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